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dimanche 14 décembre 2025 - 22h00rech / rep
--ma bien aimee 05

--ma bien aimee 05
(taille reelle)
ma bien aimée (05) ()
J'aime, ô pâle beauté, tes sourcils surbaissés, D'où semblent couler des ténèbres;
Tes yeux, quoique très-noirs, m'inspirent des pensées Qui ne sont pas du tout funèbres.
Tes yeux, languissamment, me disent: «Tu trouveras au bout de deux beaux seins bien lourds,
Deux larges médailles de bronze, Et sous un ventre uni, doux comme du velours, Bistré comme la peau d'un bonze,
Une riche toison Souple et frisée, Nuit sans étoiles, Nuit obscure ! (Charles Baudelaire)

L'amour nous fait trembler comme un jeune feuillage, Car chacun de nous deux a peur du même instant.
Mon bien-aimé, dis-tu très bas, je t'aime tant... Laisse... Ferme les yeux... Ne parle pas... Sois sage...
Je te devine proche au feu de ton visage. Ma tempe en fièvre bat contre ton coeur battant.
Et, le cou dans tes bras, je frissonne en sentant Ta gorge nue et sa fraîcheur de coquillage.

Ecoute au gré du vent la glycine frémir. C'est le soir ; il est doux d'être seuls sur la terre,
L'un à l'autre, muets et faibles de désir.D'un baiser délicat tu m'ouvres la paupière ;
Je te vois, et, confuse, avec un long soupir,
Tu souris dans l'attente heureuse du mystère. (Charles Guérin)

Grain satin et soyeux de ta peau me donnent frissons, douceur exquise.
Quand mes mains, ma langue, ma bouche, de ton corps proie soumise,
se repaissent à ne plus faim ! Découvrir tes endroits les plus secrets, endroits interdits aux étrangers.
Tu es ma Terre, je suis ton roi, prêts à querelle si l'on t'ôte à moi.

Tes courbes sont comme océans et mers à dompter, telle une Armada je m'y lance à naviguer.
Mouvements de tes hanches, comme flots déchaînés, m'enfoncent en toi, pour m'y noyer.
Découvrir tes endroits les plus secrets, endroits interdits aux étrangers.
Tu es la Mer, je suis ton roi, comme Poseidon vivant en toi.

A ta fontaine d'Amour je veux m'arrêter, pour y déposer un doux et long baiser.
Y assouvir ma soif de désir, en buvant ton hydromel du jouir.
Découvrir tes endroits les plus secrets, endroits interdits aux étrangers.
Tu es fontaine de l'Amour, je m'y baigne comme aux beaux jours... Mon Amour. (sweetgen)

Ecoute ma voix écoute ma prière Ecoute mon cœur qui bat laisse-toi faire
Je te veux confiante je te sens captive Je te veux docile je te sens craintive
Je t'en prie ne sois pas farouche Quand me viens l'eau à la bouche

Laisse toi au gré du courant Porter dans le lit du torrent
Et dans le mien Si tu veux bien Quittons la rive Partons à la dérive

Je te prends doucement et sans contrainte De quoi as-tu peur allons n'aie nulle crainte
Je t'en prie ne sois pas farouche Quand me viens l'eau à la bouche (Serge Gainsbourg)

De ton corps je veux tout Que mes lèvres te savourent Qu’elles te sucent, m’engloutissent.
Que ta bouche déguste les épices De nos salives qui se mélangent.
Qu’elle crie le plaisir de nos corps De tes seins lourds et chaleureux que je caresse et qui me troublent
Je veux qu’ils soient l’oasis de nos jouissances
Je veux que mon soleil t’enflamme Qu'il te brûle, me vide de mon corps.
Que dans ton nid parfumé d’encens tu me mouille de ton nectar. (Luciano )


Ecoute nos corps qui respirent et vivent de plaisir, nos draps se froissent,
nos pensées s'agitent et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
ton regard brille, ton visage s'éclaire tu te cambres, tes yeux s'illuminent
nous sommes secoués d'un indicible frisson qui nous ébranle

J'ai envie de toi, toi qu'amoureusement j'étreins
J'ai envie de te caresser dans les dunes, de te regarder sous la lune
J'ai envie que tu m'offres ta bouche, que tu m'embrasses très fort
de sentir la chaleur de ton corps de sentir tes bras m'enlacer

J'ai envie de faire fuir ta peur J'ai envie de toi ma jolie fleur
J'ai envie de me laisser enchanter J'ai envie de t'entendre chanter
J'ai envie de te prendre par la main, de caresser tes seins,
et de te faire l'amour avec entrain (Djoe L'indien)


Je veux te prendre, toi que je tiens haletante, Glisser mon corps sur ta nudité,
Te fixer, te dévorer les yeux jusqu'à l'âme, Et m'assouvir d'une possession ingrate
Je voudrais t'atteindre, te posséder, te prendre jusqu'au coeur !
Je voudrais te combler, fouillant amoureusement ta chair profonde et délicate !...
Bref, Je veux être ton amant,


Marie ! Mon oiseau veut ton nid ! - Prends garde Lucas ! Mon chat mangera ton oiseau
Jeanne ma bien-aimée Bâton d'amour est baguette de fée
Bouche fleur de chair qui veut ta chair Je voudrais que nous soyons unis
Comme croûte et mie - Viens Lucas ! Viens ! Viens mettre ton bijou dans mon écrin
Jeannette aimons-nous veux-tu Je vais mettre une queue à ta rose (Pierre Albert-Birot)






Quel âge peux-tu avoir, ma belle petite fée? Tes seins sont déjà lourds, et déjà durs contre moi,
tu te colles tu provoques, mon sexe devient dur, il danse avec le tien, il l'enlace il l'embrasse
il le presse et dans le noir, ta main s'y pose et tu serres, tu serres, je frémis, je bondis
de baisers en baisers tout le long de ton cou puis j'attrape ta bouche, tes lèvres sont humides
et tu t'agrippes à moi, et je te fais aller partout où je veux bien,
tandis que tout au bout de mes doigts, roule, s'étend, soupire le début de ton sein droit
qui se gonfle en sourire, rire, Tu ne portes pas de slip et mes mains se baladent
autour de tes poils chauds, tu tressailles, tu sursautes, et les yeux dans les yeux nous regardons au fond,
tout au fond de nous-mêmes, tu as compris ? Tu as compris je sais, puisque tu lis en moi tout ce que je te donne…
Incrustée et collée consciemment tu t'écroules et je trouve que c'est bien, et maintenant c'est toi qui dirige ma main, et tu pleures de joie,
Des couples nous regardent et sourient gentiment, je cherche comme un malade les clefs de l'appartement,
je finis mon cognac, nous traversons la salle, voilà que je vois double,
les odeurs de ton corps volent au-dessus des tables et tes jantes miroitent sur la piste glacée.
Sur mon cheval noir qui nous conduit au pas ta jupe est retroussée et tes cuisses bronzées éclatent sous mes mains.
Le vent prend la musique qui tourne dans tes cheveux. (Pierre Vassiliu)
On arrive chez moi, tu m'écrases le bras tu entre dans la chambre et tu te déshabilles, tu m'attrapes,
tu m'agrippes et tu m'enfonces en toi tu me veux tout entier,
tu me manges, tu me bois, tu me veux, et tu ris, et tu cris et tu jouis, tu jouis, tu jouis, (Pierre Vassiliu)