lèche mon vit de tes lèvres gourmandes
caresse mes bourses lentement
ta langue est douce comme l’eau
ta langue est crue comme une bouchère
elle est rouge comme un gigot
sa pointe est un coucou criant,
mon vit sanglote de salive
Georges Bataille (1897-1962)
Je saisis à pleine main votre membre vainqueur,
un met de choix s'offre à moi me délectant de douceur et de chaleur
toute de braise et d'émoi par des vas et viens enjôleurs.
J'attend votre jouissance vous défiant du regard sortant de ma bouche votre dard...
Entre mes lèvres ouvertes vous avez tendu votre tige,
mais, c'est ma main qui s'est saisi de l'érection de votre vit
et qui, à ma bouche gourmande, l'a porté pour mieux en posséder la vigueur épicée
puis, de votre jouissance jaillie en fracas et pertes, honorer ainsi mes courbes offertes...