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dimanche 14 décembre 2025 - 22h15rech / rep
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(taille reelle)
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Je t'ai fait l'amour toute la nuit Jusqu'à fouiller tes entrailles
Même quand soudain tu bailles Et ne te laissant le repos
De mes insatiables assauts
Que quand tu t'es Assoupie, puis endormie,
Lovée sur le côté, Me tournant le dos.

A contempler ton joli corps J'ai envie de toi encore et encore...
Tu m'excites comme rarement
Nous avons d'une seule nuit le temps :
Comment ne pas en abuser ? Tu es belle comme un paysage.
Je pars en rêveries La main posée sur ta hanche.
Demain c'est dimanche, Je me sens encore plein de vie.
Ma main est heureuse D'être là sur ta peau,
Elle se fait baladeuse Caresse tendre sur ton dos.

Je soulève le drap blanc Et, contemple dans la pénombre
La courbe de tes fesses : Rondeur qui m'attire,
Cercle parfait tout en tendresse
Dont la fente au milieu trace une ombre
Où je sais que repose ta chaude fève...
Et je sens l'excitation monter,
Sur mon gland perle une goutte de l'or
Que mon désir de toi fait couler.
Mes veines se gonflent de sang,
Ma hampe se redresse lentement,
Ma verge est devenue grosse et dure

Je me blotti contre ton corps : Douceur lisse de ton dos,
Satin pur délice que ta peau ! J'ouvre doucement tes fesses
Et lentement, avec adresse, Y place mon sexe qui s'y dresse.

Mon gland, tête chercheuse en désir,
Trouve facilement, en son loisir,
Ô ta rose, Fleur merveille !
Encore légèrement éclose Du plaisir trépassé,
Encore toute trempée Du foutre que j'y ai vidé,
Et bien chaude du sommeil Que je n'ai pas encore troublé...
Je pointe au plus chaud et humide
Entre tes lèvres qui palpitent au passage,
Je pousse et m'enfonce délicatement
Dans l'anneau qui m'accueille,

Tu gémis et d'instinct ouvre ta clepsydre,
Laissant entrer mon membre en désirs pas sages
Comme si tu avais attendu patiemment
Que ce familier ainsi te cueille...

Du sommeil t'éveillant Tu écartes doucement les cuisses
Facilitant ma venue Dans ta chair à nu
En toi progressivement Tout entier hum... je glisse...

Sur ta peau brûlante et torride Je dépose des baisers humides
En des soupirs imprononçables Prolongeant de ton réveil inévitable
La phase trouble et cotonneuse Qui je devine te rend heureuse...
Puis, sentant couler d'amour
Un tendre beurre Sur ma queue velours
Qui caresse tes intérieurs, Je pense venu l'heure
De passer la vitesse supérieure.

Je te bascule à plat ventre, M'arque-boute au dessus de toi
Tel un lion qui va croquer sa proie, Et d'un élan charnel j'entre
Tout au fond de toi Raide et droit !
Han ! Tu gémis, comblée, remplie
L'expression de ton visage est si belle
Que ton plaisir me donne des ailes :
Je jette alors en toi mon dévolu
Souquant ferme ton corps et le lit
Et tu t'offres à moi sans retenue
Te laissant au plaisir hum... aller...

Et je vais et je viens Si dur et plein de promesse
Entre tes reins, Et je vibre et coulisse
Frappant tes fesses De mes couilles lisses
Encore dans ton demi-sommeil
Tu reçois mon éveil,
Les yeux clos, La bouche baveuse,
Sentant sur ton dos Mon haleine heureuse
Je te chevauche de longues minutes
Amant fou de toi, plein d'ardeur,
Tu me reçois, telle une paresseuse,
Lascive, payée de ma sueur !
Je te ramones sexe érigé, Tu jouis d'être ainsi aimée,
Et enfin j'explose, roi soleil, Profond en toi une salve de miel !

Ô mon amour, je sais comme tu aimes Être câlinée au réveil.
Là, mieux ou pire, je t'ai fait mienne Jusque dans ton sommeil !

Ô mon amour, je dois t'avouer C'était un fantasme
Que j'avais en moi si fort ! Tu m'as permis de le réaliser :
Sublime orgasme Dont je tremble encore...

Cyr