A l’abri ddes taillis, nos corps se mêlaient,
cherchant le bonheur subtil et éphémère.
tu étais en moi, et plus rien ne comptait.
tu m’offrais ton plaisir,
je t'offrais mon plaisir.
Nos râles devenaient des cris,
dérangeant la sieste des cigales.
Après une ultime convulsion,
nos corps se relachèrent, épuisés,
ne formant plus qu’un seul être.