Collés l'un à l'autre, c'est une étreinte sans bruit.
Caresses imprécises qui égarent nos mains.
je m'abreuve du mouvement de ses cheveux.
Je sens sa chair sous l'étoffe fragile de sa robe d'été.
J'entrevois la naissance d'un sein.
Je surfe lentement à la lisière des dentelles.
Je goute les prémices des sucs qui transpirent,
j'ouvre patiemment une fente qui se gonfle, humide.
Je la sens frémir, goûter à ces caprices immobiles.
ses seins contre ma poitrine. le contact est chaud,
les pointes sont douces. Je me laisse coulisser au creux de sa tanniere
Je perçois sa liqueur douce, qui coule le long de ses chairs roses.
je la mouille encore plus, j'observe ses seins se tendre, mon sexe fusionne au sien.
Je la caresse au plus chaud de son envie.
L'explosion vient de la succion du puit qu'elle m'ouvre.
Je me déverse longuement. Diluant mon plaisir dans le sien,
La prendre et être pris. Échange total.