Le temps pour vous de d'ouvrir ma robe,
de la descendre sur mes hanches,
elle tombera à vos pieds en une fraction de seconde,
victime consentante, jouissant comme jamais
à l’ombre de cette chambre, au cœur de la ville bruissante,
se dérobant à nous comme je me dérobe à la bienséance,
dans cette ivresse, vous disant oui, soupirant des encore,
dans la nuit provocante aux effluves d’été suffocantes,
Si un rideau en face s’entrouvre, laissant percer un regard,
convoitise ou opprobre ! Je ne le saurai pas,
les nôtres seront ardents, quand dans un souffle animal
et vous ne me forçerez pas, libre et terriblement femelle,
je m’abandonnerai à vous !