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dimanche 14 décembre 2025 - 22h14rech / rep
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(taille reelle)
le désir (05) ()
Quand je sens ta ferveur se poser sur mes lèvres Je suis ce paysage où palpite le ciel,
Où la vie accomplit son acte essentiel Dans l’appel des rameaux et le flux de la sève.
Si tu me contemples, je resplendirai Je serai l’herbe emperlée de rosée.
Évelyne Laurence - L’étreinte de la terre

aime moi sans retenue fais de moi ta deesse entre les draps toute nue comble moi de tes prouesses
Dévore ma peau avec de tendres baisers dis moi tout bas tes plus folles pensées
Enmene moi au paradis de l'amour et du desir donne moi de la magie de la passion et du plaisir
fais moi l'amour j'ai envie de toi de sentir la chaleur de ton corps contre moi
fais moi l'amour donne moi tes caresses dessinant mes contours en manque de tendresse
Spatifi

De mon visage que tu touches De tes baisers que je sens sur ma bouche
De mon corps tu pars à la découverte De tes caresses je suis couverte
De mes seins que tu embrasses De tes gestes je reçois ta tendresse
De mon ventre que tu frôles De tes douceurs je perds le contrôle
De mon sexe que tu effleures De tes délicatesses je deviens Fleur
Dont le corps s'abandonne à Toi
Marie

Merveilleux jouvenceau que j'aime et que j'attends; J'ouvre à ton pas joyeux le seuil de ma chaumière,
Sous la cuirasse de diamant, ô Printemps, Casqué d'or flamboyant, chevauchant la lumière,
Avance et montre-toi! - Tes caresses premières Ecartent déjà les chèvrefeuilles flottants
Des phalènes au coeur de mes roses trémières, A ma fenêtre; et, parmi les vols palpitants
Ce sont tes baisers que j'entends. - Beau chevalier, Prends ta lance d'argent et pourfends le geôlier
De mon âme, cette princesse ensorcelée Qu'enferma le maléfique Hiver dans sa tour;
En croupe, conduis-la vers ces bois où, voilée, Ressuscite la fleur de l'éternel amour.
Marie Dauguet

Ton souffle dans mon cou. tes lèvres sur ma nuque. frisson. Et les doigts de ta main qui soulignent mes rondeurs.
Tu effleures mon sein qui gonfle sous tes caresses, Tes lèvres attirent les miennes. Tu enflamme ma bouche
puis ta langue s'insinue et danse avec la mienne. Mes bretelles s'affaissent et d'une main assurée
tu fais éclore mon buste degageant mes appats. tes yeux brillent de desir devant mon corps nu.
Tu me noies de caresses, de tes joues, de tes lèvres.
Nos vetements s'étirent, se dechirent et s'envolent. Je m'abandonne à toi, toute en ébullition.
Nous nous caressons de sublimes instants, désireux de savoir qui fera chavirer l'autre.
Nos corps se desirent. Je veux sentir ta chair. Viens en moi, je t'en prie. J'ouvre mes ailes pour toi,
Tu es là, Je te sens, sillonnes-moi de ton membre, Prend le temps, arretes-toi et sens la caresse de mon ventre.
Laisses-toi aller en moi, laisses-moi te recevoir. reprend ta course tendre au plus profond de moi,
Rechauffes mon corps de ta semence chaude, Restes en moi je t'en prie. Je reçois ton désir.
Je sens ta chaleur dans mon intimité. Tu t'inquiètes de mes larmes. Mais je pleure de joie.
nos regards se croisent et maintenant se sourient. Gardes moi dans tes bras encore quelques instants,
ne bouges pas. Une bulle lumineuse nous coupe du monde. Dans quelques minutes, nous reprendrons la route
et tu me ramèneras chez moi, heureuse.

Je veux te serrer dans mes bras, approcher mes lèvres des tiennes, doucement, jusqu'à les effleurer,
Te serrer plus fort, m'allonger avec toi, nous contrôler un peu puis ne plus nous contrôler,
j'ai besoin de tes caresses dessinant mes contours en manque de tendresse
Je veux te toucher au plus vif, nous serrer l'un vers l'autre pour offrir nos sens,
te caresser sans cesse, faire naitre ton plaisir. cueillir ton desir
Plonger en toi enfin quand tu es prête. aime moi sans retenue
fais de moi ta deesse dis moi tout bas tes plus folles pensées

J'ai envie de te retrouver ici ou ailleurs de voir l'horizon avec toi de partager ta joie
J'ai envie de toi qui soudain m'étreint J'ai envie de te caresser dans les dunes
de te regarder sous la lune J'ai envie de te faire l'amour avec entrain
J'ai envie de t'offrir ma bouche de sentir la chaleur de ton corps de t'embrasser très fort
J'ai envie de voir tes fesses se balancer J'ai envie de caresser tes seins
de te prendre par la main de sentir tes bras m'enlacer
J'ai envie de toi ma jolie fleur J'ai envie de me laisser enchanter
J'ai envie de t'entendre chanter J'ai envie de faire fuir ta peur

En un prochain printemps la rose de la vie Je planterai, pour ne plus attendre demain
Que fleurissent les pétales de mon envie, Qu'enfin je les pose à l'abri entre tes mains.
A l'été nous cueillerons la rouge cerise, Entre tes lèvres je la mangerai, gourmand...
Dans les prés nous jouerons, caressés par la brise D'une aurore naissante, enlacés tendrement.
A l'automne je peindrai ton corps de mil feux En trempant mon pinceau aux feuilles rougeoyantes
Qu'un vent malicieux mêlera à tes cheveux Humm... Tu seras douce princesse flamboyante !
Avancera l'hiver et son glacial cortège Que nous repousserons par de tendres câlins
Renouvellant sans cesse l'heureux sortilège : Un sourire sur nos lèvres chaque matin...
Djoe L'indien

Tu es la vigueur du soleil Et ta sève embaume.
Elle est un ruisseau de mai sous l'aubépine, Plus douce que la fleur du sureau.
Tu te dresses et tu es la force de la forêt! Tes reins blessent mes mains nouées,
Tu es rude comme un chêne. Je t'ai baisé comme un rouge-gorge dans ma main,
J'aime la tiédeur de ton corps dans ma main. Je me rassasie de ton odeur sauvage;
Tu sens les bois et les marécages Tu es beau comme un loup, Tu jaillis comme un hêtre
Dont l'énergie gonfle l'écorce. Le nœud de tes épaules est dur sous les mains;
L'axe du monde est dans ta chair. Mais je louerai ton cri sauvage,
Mais je louerai ton corps qui embaume, C'est un bois sauvage aux rudes fleurs.
Je louerai ta brutalité, Le sanglot rauque de ta chair;
Je louerai ta sève immense Où l'univers est en puissance.
Je louerai tes poings et comment ils se dénouent
Tout à coup quand tu retombes Au creux d'une épaule,
Plus doux qu'un petit enfant Et plus innocent qu'un ange.
Marie Dauguet

murmure dans tes boucles à la soie de tes lèvres
africaine cuivrée le ciel rebondit dans tes yeux et y laisse son empreinte signe de toi
ton corps de liane m'enroule m'ondule piment vaudou écarlate
à l'or de ton baiser splendeur boubou à l'opium de ta peau parfum de ton secret
mille saveurs senteurs le long de tes hanches à ta bouche déchirent ma chair de jouir
ta bouche source fleuve m'attire m'enlise ta croupe chute de reins ton ventre marelle
cascade de ton sexe à ta bouche ivoire au nectar de ta source
à l'arabesque de ta carresse coeur frémissant aux mailles de tes doigts
Lambert Savigneux

Prends-moi comme on cueille un fruit, Déguste-moi avec délice et gourmandise,
Effeuille mon corps dans un soupir, Caresse mes lèvres à ta guise.
Fais-moi danser, fais-moi rire, Donne-toi tel un cadeau sucré,
Fais jaillir en moi le feu sacré, Celui qui fait rougir de plaisir...
Ne te lasse pas de me regarder, Laisse pétiller tes yeux dans les miens,
Ne cesse jamais de me désirer, La foudre sur nous est tombée.
Nul paratonnerre pour nous protéger, Que surgissent les éclairs,
Que tonne la romantique mélopée, C’est si bon de s’abandonner !
Ainsi va ma vie, prends-moi telle que je suis...
Anne H

Effleurez moi, Effleurez le contour de mes joues, Ecoutez moi, écoutez le murmure de ma voix.
Enserrez moi, Enserrez mon corps troublé de vos bras, Frôlez moi, Frôlez le creux de mes reins,
Caressez moi, Caressez le galbe de mes seins, Embrassez moi, Embrassez ma nuque qui s‘offre à vous.
Découvrez moi, Découvrez l’intérieur de mes cuisses. Savourez moi, Savourez la pointe de mes seins, soyez délicat.
Touchez moi, Touchez mes lèvres lestement. Pénètrez moi, Pénètrez ma chaleur vaginale
Excitez moi, Excitez ma chair gourmande, Ne vous arrêtez pas
Envahissez moi, Envahissez mes sens d’obscènes sensations.
Provoquez moi, Provoquez l’ultime exaltation,
Abandonnez vous, Abandonnez votre sexe aux caresses de mes mains.
Appellez moi, Appellez ma bouche qu’elle enserre votre sexe tendrement.
Soumettez vous, Soumettez votre esprit à la volupté sans chercher à vous contrôler.
Offrez vous, Offrez moi votre liqueur douce amère, Lâchez vous !
Jouisssez en moi ! Maintenant ! Aimez moi, je suis votre amante
Arianne

Tu es de mes aurores et de mes crépuscules, Aussi long soit le jour, tu vis en mes pensées.
Aux songes de mes nuits, telle une libellule, De tes ailes légères, tu me souffles un baiser.
Ces jours où je te vois et qui se font trop rares, Mon cœur endimanché ne se sent plus de joie.
Mes lèvres se font douces, les tiennes se séparent, Et en un long baiser, s ‘éveillent nos émois.
Envahis d ‘un Amour, parcourus d ‘une ivresse, Mon désir et le tien, dès lors ne font plus qu ‘un,
Ma main cherche ton sein qui se tend et se dresse Sous ce tissu léger de soie ou de satin …
Je ne te veux encore qu’à peine dévêtue, Juste un peu de désordre semé à tes atours.
Ce n est qu’un peu plus tard que je te verrai nue, Si douce est cette attente qui précède l ‘Amour !
Ton corsage est ouvert sur tes formes divines, Ta jupe est remontée au plus haut qui se puisse.
Ma bouche, tour à tour, prend tes pointes mutines, Tandis que de ta main, tu me guides à ta cuisse.
Durant un long baiser où se cherchent nos langues, Tes jambes lentement, s ‘ouvrent à mes caresses.
Il n est pas temps encore d’aller à ce triangle, Il nous faut prolonger l ‘attente de l ‘ivresse.
De mes doigts je te frôle, sur cette peau si douce, A quelques millimètres de ce velours intime,
Tournant et retournant sans que je ne le touche, Amenant nos désirs au point le plus ultime


j'aime ton corps, la joie qui coule en moi quand je détiens ta bouche,
la possession qui me brûle de tous les feux du monde, le jaillissement de mon sang au fond de toi,
ton plaisir qui surgit du volcan de nos corps, flamme dans l'espace, embrasement.
Francois Mitterand (lettre à Anne)

Tes longs cheveux noirs Coulent sur tes joues En cascade, profond miroir, Jusqu’à ton genoux.
Ta jambe longue et fine Aux muscles tressaillant Forme un arc qui dessine Un paysage troublant.
Un sein au téton tendu Presque érectile Esquisse sur ta cuisse Une caresse subtile.
Cyr

- Marie ! Mon oiseau veut ton nid !
- Prends garde Lucas ! Mon chat Mangera ton oiseau
- Jeanne ma bien-aimée Bâton d'amour est baguette de fée
- Bouche fleur de chair qui veut ta chair Je voudrais que nous soyons unis Comme croûte et mie
- Viens Lucas Viens ! Mettre ton bijou dans mon écrin
- Jeannette aimons-nous veux-tu Je mettrai Une queue à ta rose
Pierre Albert-Birot

Grain satin et soyeux de ta peau me donnent frissons, douceur exquise.
Quand mes mains, ma langue, ma bouche, de ton corps proie soumise, se repaissent à ne plus faim !
Mouvements de tes hanches, comme flots déchaînés, m'enfoncent en toi, pour m'y noyer.
Tu es ma Terre, je suis ton roi, prêts à querelle si l'on t'ôte à moi.
Tu es la Mer, je suis ton roi, comme Poseidon vivant en toi.
Tu es fontaine de l'Amour, je m'y baigne comme aux beaux jours... Mon Amour.
sweetgen

Je peindrai tes cheveux De mes mains hésitantes J'y tracerai les lignes Des poèmes non dits
Et nous aurons des nuits Longues et délicieuses.
Je broderai ton corps de caresses. Frissonnante, ta peau Sous les effleurements De mes lèvres enfiévrées
Et nous aurons des nuits Lentes et amoureuses.
Je jouerai sur ta peau la musique éternelle.Ton corps sera guitare Je le ferai vibrer, je le ferai chanter
Et nous aurons des nuits Longues et langoureuses
Je clorai de baisers tes soupirs. Palpitante, ta bouche Sous ma bouche amoureuse Je boirai ta salive à tes lèvres enivrées
Et nous aurons des nuits Longues et savoureuses.
Je grifferai ta peau De voluptés étranges Je serai tour à tour mi démon ou mi-ange
Et nous aurons des nuits Longues et tumultueuses.
J'explorerai doigt à doigt, lèvre à lèvre Le continent vierge de ton corps.Enivrantes, les découvertes
Et nous aurons des nuits Longues et somptueuses
Frémissantes, tes mains Voletant sur ma peau. Tour à tour intrépides Ou timides, inexpertes
Et nous aurons des nuits Longues et voluptueuses.
Haletante, enfin, Dans la joute amoureuse Abandonnée, grisée Tu me voudras à toi Ta voix sera sanglot Ton cri sera victoire
Et nous aurons des nuits Sans fin et fabuleuses.
Je puiserai l'amour A ta source précieuse. Impatientes tes lèvres Que l'on ne nomme pas A m'aspirer en toi.
Et je m'engloutirai dans ta chair délicieuse
Et nous aurons des nuits Ardentes et fiévreuses.
Saphire

Je veux briller dans ton âme. Je veux fondre sous ton œil.
Je veux serpenter sous tes doigts. Je veux disparaître sous ta bouche.
Je veux plonger dans ta couche. Je veux vivre sous ton plaisir.
Je veux partager avec toi, Tout.
Offre moi ton envie, Désire moi. Offre moi ton regard, Dévore moi.
Offre moi ta main, Caresse moi. Offre moi des baisers, Embrasse moi.
Offre moi ton lit, Allonge moi. Offre moi ton sexe, Pénétre moi.
Offre moi ta vie, Comble moi.
Arthemisia

Je me nourris de toi Comme un savoureux à la crème
Je suce tes lèvres que j'aime. Comme un délicieux sucre d'orge
Je te mets en bouche au fond de ma gorge. Comme un abricot juteux
Je te lèche, à n'en perdre peu. Comme de bonbons mentholés
Je te goûte et te savoure amusée.
Alicia Démon

Sens. Respire. Goûte. Touche. Ecoute. Le clapotis des doigts fouillant la moiteur de mes tropiques.
Ecoutes mon corps qui s'ouvre et se ferme mes pensées qui vadrouillent
Touches. Respires. Goûtes. La sueur qui perle à ma peau rougissante.
Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur. Ma bouche affamée qui cherche tes baisers.
Mes doigts trempés que je te donne à goûter. Les larmes salées que je laisse s'écouler.
Touches. Mêles tes doigts aux miens. Voles ma jouissance avant que je ne te l'offre.
Fais-moi ce cadeau, fais-moi plaisir, fais-moi jouir.

L'amour nous fait trembler comme un jeune feuillage, Car chacun de nous deux a peur du même instant.
Mon bien-aimé, dis-tu très bas, je t'aime tant... Laisse... Ferme les yeux... Ne parle pas... Sois sage...
Je te devine proche au feu de ton visage. Ma tempe en fièvre bat contre ton coeur battant.
Et, le cou dans tes bras, je frissonne en sentant Ta gorge nue et sa fraîcheur de coquillage.
Ecoute au gré du vent la glycine frémir. C'est le soir ; il est doux d'être seuls sur la terre,
L'un à l'autre, muets et faibles de désir. D'un baiser délicat tu m'ouvres la paupière ;
Je te vois, et, confuse, avec un long soupir, Tu souris dans l'attente heureuse du mystère.
Charles Guérin

Et c’est au fil de nos sourires que se noua le premier fil.
Et c’est au fil de nos désirs qu’il se multiplia par mille.
Était-ce au fil de mes espoirs qu’en araignée tu fis ta toile ?
Car c’est au fil de tes départs qu’au piège je fus l’animal…
alors qu’au fil de ton plaisir se brisera… le dernier fil.
Esther Granek

De mes doigts pèlerins j’onde ta terre ambrée. Tel Modigliani j’en trace les contours.
Chaudes couleurs, rougeurs, sont tes nouveaux atours, Lorsqu’aux assauts mutins, tu te soumets, cambrée.
En vagues de désir, nous porte la marée Pour nos corps exaltés : nul espoir de retour.
L’univers est plaisir, quand, enfin, à mon tour, Je fléchis sous ton joug, belle enfant de Nérée.
Qui donc saurait alors, tous nos sens apaiser, Quand, sur mon sein dressé se pose ton baiser,
Quand ma rose orchidée sous ta lèvre agonise ? Au-delà du charnel, un bonheur résolu
Se fait jour, et c’est grâce à toi, mon absolu. Toi, mon double, ma sœur : ma chair... amante exquise.
Naiade