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lundi 15 décembre 2025 - 01h52rech / rep
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(taille reelle)
mon jardin secret (Libera) ()
Je veux t'emmener
au fond de mon jardin secret
tapissé de terre mouillée
je suis la profondeur de l'arbre,
l'entre branches, l'entre jambes
Tu vas entrer dans ma chambre noire
pour y développer tes rêves
Tu franchiras le seuil,
écarteras les feuilles,
pénètreras dans l'ombre
pour y goûter au milieu
ma douce amande

Libera

Cette nuit c'est toi qui m'aimes
Sans que rien ne te retienne
Pour une fois, prends les devants.
Apprends moi tous tes secrets
Fais-moi l'amour sans retenue et sans gène
Deviens mon roi et je serais tout entiere à toi

Donne-moi ce tout petit peu de toi
Qui vaut tant pour moi,
L'extrait, L'intime, Le sublime,
De ton corps d'homme.
Donne-moi, de tes fascinants atours
la preuve de ton amour,
L'élixir, L'essence, La quintessence,
de ta chair amoureuse.
Donne-moi, de tes viriles splendeurs,
ce qui fait mon bonheur,
Le divin, Le céleste, Le zeste,
de tes désirs de mortel.
Christian Bailly

Prends-moi comme on cueille un fruit,
Déguste-moi avec délice et gourmandise,
Effeuille mon corps dans un soupir,
Caresse mes lèvres à ta guise.
Fais-moi danser, fais-moi rire,
Donne-toi tel un cadeau sucré,
Fais jaillir en moi le feu sacré,
Celui qui fait rougir de plaisir...
Ne te lasse pas de me regarder,
Laisse pétiller tes yeux dans les miens,
Ne cesse jamais de me désirer,
La foudre sur nous est tombée.
Nul paratonnerre pour nous protéger,
Que surgissent les éclairs,
Que tonne la romantique mélopée,
C’est si bon de s’abandonner !
Ainsi va ma vie, prends-moi telle que je suis...
Anne H

Que tes mains me fassent délicates caresses,
Sur mes seins fiers, qui de désir se dressent !
Des doigts de ta main, souligne mes rondeurs.
Donnes moi tes lèvres fraiches. Enflamme ma bouche
Tes lèvres sur ma nuque, ton souffle dans mon cou.
Frisson.

Viens, viens vers moi, oh mon roi,
et prend moi dans tes bras
Approche tes lèvres des miennes,
doucement, jusqu'à les effleurer,
Tes lèvres sont douces, ton frémissement est mien,
Je veux que tu me caresses, sans cesse,
que tu fasses grandir ton désir,
que tu me touches moi au plus vif,
Serrons nous l'un vers l'autre pour offrir nos sens,
Tes mains me rendent honneur, se plaquent sur mes chairs.
Serre moi dans tes bras, embrasse moi doucement,
fixe moi dans les yeux, caresse moi tendrement
Je veux happer tes lèvres, ma langue veut te sentir.
Saisis ma bouche chaude, introduis-y ta langue
Mélangeons nos salives jusqu'à ce que nos corps tanguent
Regarde moi dans les yeux, et cueille mon desir
J'ai les jambes tremblantes. Je veux te goûter, je te désire,
Allonge toi avec moi, et serre moi plus fort
Tu me laisses encore dans l'attente de toi.
Je m'ouvre tout entière pour toi.
Et tu viens ! le plaisir monte en vagues, mon ventre est en feu.
Tu te retires. Le vide se fait en moi. Tu te contrôles, un peu,
puis tu ne te contrôles plus,
Tu explores le brasier de mon ventre, ma chaleur infernale...
Je m'ouvre comme l'orchidée.
Mon corps comme un arc ploie sous tes assauts.
Tu m'investis. Brutalement, sans concession, tu me finis.
nos chaleurs enmelées, et nos corps emboités.
Nos sourires qui s'echangent et un parfum d'été
Je crie ma jouissance. Tu jouis avec moi,
Enflammée jusqu'au cœur, une étincelle. Le néant.
Tu m'as essoufflée, et nos yeux sont heureux.
Reste la nuit, pour que triomphe la tendresse

Souviens-toi de cette nuit, de la tendresse,
de la douceur de mon désir qui se réveille,
qu'un effleurement de ta main déclenche,
des mots que tu soupires plus que tu ne les dis,
mon corps qui s'alanguit, offert,
le mouvement que je fais presque imperceptible
pour t'inviter à venir me remplir, là où c'est si doux, si tendre,
ton membre qui me longe, me scrute puis me pénetre,
tes soupirs, la fougue qui se déclenche
quand tu serre tes muscles et que tu n'y tiens plus...
mes mots doux, encore, pour te demander d'attendre un peu.
Et la jouissance qui nous prend, tous les deux.


Ta voix est une main qui caresse mes entrailles,
un vent qui se déploie de murmure en tempête.
Je t’aime.
Tu caresses mon corps de tes deux yeux brillants.
Tu me prends sur un lit de velours et de soies,
à la lumière de bougies exhalant le santal.
Tu glisses entre mes jambes une main chaude et froide.
Tu dessines sur ma peau des oiseaux, des cascades,
Tu souffles des orages sur les méandres de mes veines,
Tu fais porter ma voix plus loin que le ciel.
Tu m’aimes.
Tu serres nos corps jusqu’à la douleur.
Tu dessines dans le vide des arabesques d’or.
Le sol, le tapis, deviennent un champ immense
où ta voix me fait l’amour entre un cri et un soupir…
Je t’aime.
Tu me mords, entres en moi comme un loup à l'affut.
Tu cambres mon corps à la fureur du tien et nos deux voix s’épousent.
Tu me souffles des mots crus et allume des incendies que tu t’empresses d’éteindre. Tu attises la faim que mon ventre conçoit pour le tien.
Tu remontes mes jambes et des feux d’artifices sillonnent notre ciel.
Tu m’aime.
Tu te glisses dans mon dos et prend mes seins en mains,
Tu me parles des étoiles, de la magie du ciel.
Tu t’appuies contre moi pour me faire sentir ton desir,
Tu te penches sur ma nuque et te glisse dans mon ventre.
Tu me fouilles de ta langue, tu m’explores de ses doigts.
Tu te glisses sur moi, je t’embrasse, te caresse.
Tes gémissements m’excitent, J’aime l’éclat de tes yeux quand tu me désires.
Je sens leur chaleur aux endroits qu’ils effleurent.
Tu remontes ma robe, la remonte encore,
et te glisse dans mon ventre.
J’aime.
Ton sexe dans le mien, ta peau sur la mienne
jusqu’à ne plus savoir où commence ton corps et où finit le mien.
Je t’aime et plus j’y pense, plus mon cœur brûle.
Tu t’enfonces en moi et le monde disparaît,
bout de chair durci qui va et vient dans mon ventre
Tes doigts qui me fouillent, ta langue,
tes mains qui me frôlent, pincent, griffent, s’agrippent,
ta bouche qui m’embrasse, me mord et toujours me fait gémir.
Il y a ton parfum sur ma peau et le poids de ton désir dans mon ventre.
La nuit est mon histoire, ma délivrance.
Tu m’aimes.

Je t'accueille et tu viens, lentement, tendrement, tu t’enfonces en mon sein.
Tu me pénètres ou tu me prends. Mon paradis de douceur qui te cerne, te boit.
Je m’ouvre à toi et te dévore, sensation délicieuse et presque douloureuse.
Tu es en moi, au plus profond de moi. Tu appartiens à mes entrailles,
tu fais partie de moi, tu m’habites. Tout s'estompe, je ressussite.
Savoure cette douce sensation à l’extrémité de ton être, ce contact intime,
cette communion de chairs qui nous soude l’un à l’autre.
Tu bouges lentement, je caresses ton membre,
je te suce, t'enroule et te déroule. Je me creuse pour toi,
de plus en plus profonde ... pour à nouveau me remplir de toi.
Module le rythme, glisse en moi, sois légèr, agile, je serai fluide, féline.
Mes muscles se contractent et se relâchent,
Tu as fermé les yeux, tu te tends, tu te crispes, tu haletes, tu gemis,
tu jouis de mon corps... tu vas jouir de moi, je vais jouir de toi.
Agonie de plaisir, ton plaisir est le mien.
J’aime ton corps qui vibre et qui se tend.
J’aime les soubresauts qui t’agitent, toi, si beau en ton plaisir.
Tu remues, imperceptiblement, ouvre les yeux, cherche les miens.
Je te serre de mes lèvres amoureuses, juteuses comme une mangue.
Sens mes contractions qui pulsent dans ma vulve.
je te sens emporté, sur le point d’exploser.
Je n’en peux plus... toi non plus !
Tu lâches tout ... un fleuve de volupté ... Tu m’inonde ...
et ce flot déclenche en moi des vagues de plaisir.
puis tu t’abas sur moi, haletant. soulagement, liberation, plenitude.
Je te serre contre moi, je t’étreins. ton visage dans mon cou,
ton souffle sur ma nuque, mes mains dans le creux de tes reins.
Tu es blotti contre moi, inerte et si vivant.
Je me sens riche de toi, toujours en moi, apaisé, vidé, comblé,
je rêve d’éternité, je veux qu’en cet instant le temps se décompose,
Je suis tienne Je te sens contre moi, Tu as bousculé ma vie.
Je t'ai donné ma douceur, ma tendresse, ma fraîcheur ... ,
tu es beau et souverain... Je t'embrasse, te caresse...
Je te laisse glisser hors de toi... Je t'aime

Regarde moi ! Dans les yeux ! Ne te lasse pas de me regarder,
Laisse pétiller tes yeux dans les miens, ne cesse pas de me désirer,
Tu vas me prendre comme on cueille un fruit,
Tu vas me déguster avec délice et gourmandise,
Tu vas caresser mes lèvres à ta guise, et effeuiller mon corps dans un soupir,
Tu vas te donner à moi tel un cadeau sucré,
Tu vas faire jaillir en moi le feu sacré, celui qui fait rougir de plaisir...
Tu vas te laisser aller à ton plaisir ! C’est si bon de s’abandonner !

Chut ! ne dis plus rien ! Donne moi tes lèvres chaudes !
Echangeons ce premier baiser pour un premier plaisir.
Puis, ce deuxieme baiser, plus mouillé, plus profond ...
Et maintenant, collée à tes lèvres, Je ne veux que tes baisers.
Laissons nos langues se caresser, s'emmêler, se reconnaitre.
Je te sens trembler et je t'entends gémir.
Sens tu la chaleur de mon corps contre toi ?
Sens tu mes seins qui sur toi se frottent doucement ?
Sens tu mes mains vagabondes qui remodèlent ton corps ?
Sens-tu ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise ?
et ces frémissements qui n'en finissent pas ?
Je veux que mon corps chaud t’enflamme, qu'il te brûle.
Je veux que mes seins lourds que tu caresses et qui te troublent
soient l’oasis de nos jouissances
De ton corps, je veux tout ! Que tes lèvres me savourent,
qu’elles me sucent, m’engloutissent.
Que ta bouche déguste les épices de nos salives qui se mélangent.
Devore ma peau avec de tendres baisers
Dis moi tout bas tes plus folles pensées
Enmene moi au paradis.
Donne moi de la magie de la passion et du plaisir

Et maintenant, Aime moi sans retenue. Fais de moi ta deesse
Entre les draps, toute nue, comble moi de tes prouesses
Serre-moi fort dans tes bras. Prends-moi avec modération
Fais-moi l'amour, tout simplement,
comme si tu me connaissais depuis toujours
Dresse toi bien contre moi, Enfonce toi dans ma chair,
Enfonce toi en moi, pénètre moi, explore moi, Perfore moi,
Investis moi, brutalement, sans concession,
Fais moi jouir, Enflamme moi, Essouffle moi, Finis moi,
Et toi, remplis moi de toi
Dans mon nid parfumé mouillé de mon nectar,
libère toi en moi et donne moi ta sève chaude
Qu‘elle jaillisse et coule le long de mes lèvres au fond de moi.
Jouis en moi ! Maintenant !
Abreuve moi de ton élixir de vie, de ton onction liquide,
Lâche toi ! Fais jaillir ton miel d'homme ! Inonde moi de toi !

Allongée près de toi, ivre de ta douceur,
A l 'orée de tes lèvres, prélude à nos caresses,,
Ton corps soudé au mien, mon cœur contre ton cœur,
Nos bouches qui se cherchent,
tant cette ardeur nous presse !
Et tant et tant que nos baisers se font brûlants.
Impatiente ta main se pose sur mon sein,
En palpe la douceur, telle la peau d 'un enfant
Elle en cherche la pointe, aux teintes de carmin.
Tes lèvres me parcourent, en hâte de mon ventre,
De ce velours si chaud qu 'en ma tendre pureté,
D'un brin de tissu rouge, j'ai laissé voilé.
Puis ton doigt reconnaît, au sillon de ce centre,
Jacques

Mon plaisir, mon bonheur ? Etre contre toi
Te sentir me frôler, m'entrouvrir
ressentir la fermeté de ton désir, m'offrir,
m'abandonner à toi, te laisser glisser doucement en moi
te sentir dans ma chair durcir et grandir investir mon ventre chaud
mes jambes écartées pour mieux te recevoir
mes jambes resserrées pour mieux te retenir
le désir qui monte en moi femme révélée Et dans mon corps,
cette sensation de puissance
Et ta semence ... qui m'envahit
Le long de mes cuisses coule la jouissance

Une douce penombre, nos corps au ralenti,
Tu t'approches, tu m'embrasses, je me laisse emporter.
Je ferme les yeux, et m'offre à ta caresse Si lourde, si légère.
Le silence d'une plainte.
Ce trop plein de désir, Ton souffle dans mon cou,
Sous l'écume de chaque mot, l'océan de tendresse,
Se frôler l'un dans l'autre, se glisser dans nos chairs.
Jusqu'au bout de la nuit il n'y a que nos corps.
le flux et le reflux, et de brefs murmures.
Comme une plainte. Comme un chant. La douceur de l'autre.
Le ciel glisse vers le soir, remonte le matin.
Rien d'autre jusqu'au silence. Le point jamais atteint.
Tu ne sais rien de moi. Il n'y a pas de fin.

Tu es là, Je te sens, arrete-toi, prend le temps,
Je sens ta douce caresse, ce glissement onctueux,
cette penetration lente, ce frottement délicat irisé de plaisir.
je t'aspire, tu ondules, tu râles, je soupire.
Je te serre, te dévore. Tu t’enfonces ... loin, très loin.
Je t’enroule, te défais, tu plonges, te retire, et reviens.
J'avale ton corps. Le flux et le reflux, les vagues de plaisir,
les montées jusqu'au ciel, tout à coup suspendues, oh tension divine.
et puis la redescente voluptueuse des mille et une nuits.
Je me donne, tu me prends, ronronnements, feulements.
Tu es ma flèche, fichée dans ma chair,
J'ai le corps frémissant, tendu comme un arc
tu remues en moi la terre et le feu, la mer et le vent.
Au rythme de ton corps, je me plie sans effort.
Ecoute mon corps qui respire et vit de plaisir,
ma chair qui s'ouvre et se ferme comme un cœur palpitant,
les draps qui se froissent, mes pensées qui s'agitent
et vadrouillent vers mille rêves impudiques.
Regardes. Ecoutes. Touches. Respires.
Goûtes. La sueur qui perle à ma peau rougissante.
Mon goût de femme, mon odeur, ma chaleur.
Ma bouche affamée qui cherche tes baisers.
Les larmes salées que je laisse s'écouler.
Courtisane lascive, soumise et attentive
Au plus profond de moi, ton sceptre devient roi,
se fondre et se confondre Et n'être qu'un, bien qu'étant deux
Se perdre dans l'espace immense Oiseaux légers au gré du vent.
Perdre doucement connaissance
Naître à nous-mêmes en même temps.
Tu t'enfonces en moi, me penetre, me comble,
le plaisir monte en vagues, mon ventre est en feu.
Tu te retires, laissant le vide. Je me débats,
tu me reprends. complètement, passionnément.
Ton corps collé au mien tu me pénètres de nouveau,
totalement. Maintenant ! ... OUI !
Tu m'as investie, brutalement, sans concession,
tu m'as finie. Je jouis.
Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée, et tes yeux sont heureux.
Tu réchauffes mon corps de ta semence chaude,
Ne bouge plus. Reste en moi je t'en prie.
Gardes moi dans tes bras encore quelques instants, Ne bouge plus.
Une bulle lumineuse nous coupe du monde.

je me sens vidée, attrapée jusqu’à l’âme.
Tu souris. Je perds pied.
nos chaleurs enmelées, et nos corps enboitées,
nos sourires qui s'echangent et un parfum d'été
Dans mon corps, cette sensation de puissance
et ta semence qui m'envahit,
le long de mes cuisses coule l'innocence
Le soir tombe, tu viens de te retirer de moi
Entre mes jambes je sens tout l'humide de notre feu
Dans mes yeux des images racontent
La nuit nous boit comme la terre apres l'orage
Et tout ce parfum s'exhalant, c'est l'haleine sage de la paix qui chante
la douceur d'aimer, d'être aimé, et d'en jouir oh le soir tombe
Philippe Forcioli

nous mourons foudroyés au sein du firmament...
Et nous restons ainsi, confondus, emmêlés, collés, anéantis,
du dernier de nos souffles au plus petit frisson, accrochés l'un à l'autre
jusqu'à l'apaisement.

Tu es sur moi, tu es en moi, tu m'a inondée de toi. tu m'a comblée
dans mon corps cette sensation de puissance et ta semence qui m'envahit,
le long de mes cuisses coule l'innocence
Restons ainsi en silence sans bouger ...
emboités l'un dans l'autre, unis l'un à l'autre
nos chaleurs enmelées, et nos corps enboitées,
Enflammée jusqu'au cœur. Tu m'as essoufflée, et nos corps sont comblés
Reste la nuit, pour que triomphe la tendresse
Restons confondus, emmêlés, accrochés l'un à l'autre jusqu'à l'apaisement.
n'être qu'un, bien qu'étant deux Naître à nous-mêmes en même temps.
la vague fougueuse se retire lentement,

Qu'ils étaient doux ces instants de désirs partagés avivés par ces mots impudiques à mon oreille murmurés
tu as senti le plaisir au fond de toi trésaillir
puis comme une eau vive ruisseler et jaillir en soubresauts insaisissables
dans mon corps brulant de l'attente fiévreuse de l'orgasme fulgurant .
Délicieux plaisir de la chair, vertige des sens libérés Tu as ensorcellé ta belle aux jupons parfumés

Tu as été créé pour moi, mon homme aux douces lèvres De toute éternité ...
Et ton corps, et tes mains, ces grappes de raisins S'immiscent, plus fervents que les douze apôtres
Pour troubler le repos où mon âme s'est assise Et pour la déranger comme une patenôtre
Où calme et solitaire, elle se croyait admise...
Je crois voir, unies par un nouveau destin Les hanches de mon Aimé, aux miennes accolées
Et sa haute taille, pliée au dessus de mon bassin De nos corps nus, émanent le bonheur,
enfin !