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dimanche 14 décembre 2025 - 12h57rech / rep
-amour poetique fel

-amour poetique fel
(taille reelle)
mon bien aimé (fel) ()
Sens mes mains, voyager sur ton corps, laisse les se promener au gré de leurs envies,
Partout où elles peuvent, inventer de la vie, en te faisant crier, tous ces mots, comme encore.
Tu attends de ma bouche ton plaisir, tu sens entre mes lèvres, arriver ton bonheur,
Perdre ici la notion de l’endroit et de l’heure Et te laisser aller, au bout de ton désir.

Je veux que tous tes sens, partent dans tous les sens,
que ta peau se hérisse, d’océan de frissons
Et que ton explosion arrive à l’imminence,
Je veux te voir jouir, te gardant dans ma bouche, enfin à l’unisson,

Ton arbre Je le sens, frémissant sous la brise, tremblant mais résistant de toute sa force blonde,
Cet arbre m’attire, me provoque, m’interpelle. Mon âme en est captive, y nage et se délecte
se pare de son or, s’empare de son corps.Je voudrais le prendre, le serrer, le goûter,
Ce matin, dans la lumière du matin, ton sexe c'est mon arbre divin. (Arthémisia)

Quand au petit matin je te sens érectile, Je pense à ces fruits rouges aux saveurs subtiles,
Aux framboises juteuses, aux fraises purpurines, Aux drupes lisses et sombres recouvertes de pruine
Aux grenades de cinabre, aux muscats diaprés, Aux groseilles carminées, aux pommes ensorcelées…
Ton éveil tendu fais le moi vite goûter ! Tant que mes lèvres gourmandes de lui s’amuseront ! (Arthémisia)

Ton sexe est en joie, d’une lubricité humide et chaude bordée de mousse écumante.
Ton sexe scintille, venant et revenant, du ressac éternel, de tes marées viriles.
Ton sexe s’exhibe, nu, suintant dans l’océan orgiaque qui fait rire les mouettes.
Ton sexe disparait, englouti par ma caresse dévoreuse, mon sensuel baiser porteur de tous mes rêves. (Arthémisia)

Ma bouche est une sucrerie au nectar de framboise Et tu fonds quand je me fait grivoise
Ma bouche est une passion quand, vorace, je fond sur ton simple appareil
Ma bouche est tropicale, chaude humide à la fois, arc en ciel bucal que j' aime autant que toi
Ce plaisir fou sauvage qui s'empare de nous, ce fabuleux voyage sans honte ni tabou...

Sens-tu ma langue douce au sortir de ma bouche qui, amoureusement glisse le long de ton sexe lisse.
Et mes lèvres humides qui, sur ton sceptre dressé s'entrouvrent comme un calice sur ta peau embuée.
De mouvements lascifs en caresses secrètes, ton sexe durcit et c'est toi qui fléchit.
Et je ne sais plus de mes lèvres, de ma langue ou mes doigts caressants le comment de ta fièvre


Gonflé sous ma chaleur, mûri par mon ardeur, couleur lie-de-vin, son grain de raisin.
arrière-goût capiteux, presque moelleux, saison de vendange, parfum très étrange.
Le faire chambrer, et pour ça le lécher, jusqu'à la dernière goutte, je tiendrai la route.
Mes seins en calice, véritables complices, je récolte son vin, Ce nectar divin! (Dentelle)



Quand perle ta rosée en goutte riche et tendre, ton fruit rouge, en ma main qui le presse un peu fort,
Me stimule encore plus, tout en venant se tendre, vers ma bouche gourmande où l’attend un doux sort.
Aspiré sans vergogne, il trouve bien sa place dans ma gorge profonde, avec empressement,
Car mon fourreau soyeux est loin d’être de glace : Il prise tes assauts au moindre glissement.

Raidi par ton désir et par ma langue experte, Il a pris de l’ampleur, c’est un fruit tropical
Dont la taille étourdit par sa mesure offerte en comblant un banquet… tel un dessert royal !
Allant, venant, d’ivresse, il inflige à mes lèvres un rythme plus rapide et, déjà, l’avant-goût
De cette quintessence, affluant par mes fièvres, qu’il me délivrera, me grise plus que tout.

Les remous de ta sève élèvent leur cantique. Mais, voulant savourer encore un peu ton jonc,
Je retarde son flux d’une habile pratique, Juste avant que, d’émoi, n’explose ton bourgeon.
La passion l’emporte, alors d’un bel entrain Je suce goulûment ce fruit qui me rend folle
Pour recueillir son flot robuste, souverain, sur mes papilles où leur seul sens en raffole


J'aime ta sucette, ta sucette à l'anis, ta sucette à l'anis donne à mes baisers un goût anisé
lorsque ton sucre d'orge parfumé à l'anis coule dans ma gorge lisse, je suis au paradis
Pour quelques pennies, je suçe ma sucette à l'anis. Elle a la couleur de tes grands yeux
La couleur des jours heureux (Serge Gainsbourg)

Tu adores, quand ma bouche sur ta verge coulisse
c'est divin, quand je salive sur ton gland turgescent, lustrant bien ta lance
Tu te pâmes, quand je vais et je viens sur ton pieu en feu
Ton plaisir en râles et gémissement atteint des sommets indiscibles

Tandis qu'au rythme de mes succions tu garde l'illusion de garder le contrôle
Allons donc, La fièvre te traverse de part en part.
Tu voudrais retarder l'instant mais, savoureuse et profonde, je te possède trop bien
Et soudain l'éclair ! Je sens que tu viens ! Tu t''abandonnes enfin

Tu cris et tu jouis, dans ma bouche, mon essence
Tes muscles tremblent, tu coules en moi, nectar nacré
A mon doux palais, sur ma langue velours,
tu t'essaimes ... je te suçe, je te bois ... je t'aime (Cyr)

J'adore les petits fruits, j'aime les raisins autant que les quetches, la goûteuse prunelle, la juteuse mirabelle...
Je n'oublie pas non plus la cerise aigrelette montée sur ta queue.
Mais celui que je préfère te donne tant de plaisir que lorsque je le déguste
Tout son être se déchaîne. Je raffole du gland, ce petit fruit oblong abondant de fécule...

En jupe-culottes Un soir à Joinville, je t'ai sucé la bite
Mon joli chignon En papier doré te faisait bander comme un cuirassier
Puis nous nous branlâmes Le con et la trique
Attendant un tram Pour la république (Raymond Radiguet)


Profondément endormi, tu rêves dans le lit. J'entre dans ta chambre, doucement, à petits pas,
Je me glisse sous les draps et cherche une raideur à tâton. Je le trouve un sexe entre tes cuisses, à plat.
Ainsi abandonné, si tentant, ma main s'y pose frémissante, j'enveloppe ta chair au repos
Ma langue vient goûter ta peau douce et chaude de sommeil et tendrement elle suçe ton gland.

Ton dard alors se raidit par un afflux de sang, je l'avale et tu souris ... De contentement...
Des images érotiques viennent troubler tes rêves tandis que je réanime ta verge qui toute entière se soulève.
Tu gémis dans tes songes... Et dans ma gorge profonde ... toute ta raideur je gobe
Et, d'un féroce appétit, en sonde je la suçe telle une bonde. Toute ma fringale te submerge,

Un amour liquide qui trempe ta verge, et coule, impérieux, dans ton sommeil pour y verser mille merveilles...
Soudain ! Un feu d'artifice Irise tes paupières closes et les vagues de ton volcan dans ma bouche explosent !
Tu jouis Ca te fait du bien. J'avale tout, rien,
Et je ris Jusque dans tes rêves. Somptueux travail d'orphèvre..., (Cyr)



Au bout de ta plume mon ami Pierrot, moi, ta jolie brune te joue du pipeau
Ta chandelle est morte Je fais de mon mieux et la réconforte pour plaire à mes vœux.
Caresse opportune, ta chandelle se raidit, prend du volume, entre en appétit
Claire ma voisine Vous me voyez prêt Chevauchez câline C’est nôtre intérêt.

Je pose ma prune Sur ton bel engin Si c’est la coutume Qui mieux te convient.
Si d’une autre sorte tu aimes le cours Face à ta porte Ce sera mon tour.
Sur ta tendre enclume, le jeu du marteau te plait, te consume. Attends un peu
Fais de la sorte qu’un feu délicat enchante ma porte d’un sublime éclat. (Carimo)


Ton corps entier s’offre à ma bouche Et j’aime cet intime cadeau
Cet abandon de ta personne A ma salive à mes envies
Je me délecte de ta peau Je la caresse et je la touche
Tout doucement lente alanguie Je m’insinue je te sillonne

Je te possède mon bel objet Sur le bout des doigts de la langue
Comme un bijou dans son écrin Mon corps de femme mon âme mâle
Et lorsque las ton sexe exsangue Me quitte vidé plein de regrets
Je me repose horizontale Ton souvenir entre mes reins (Cécile)


Sens tu ma douce chaleur humide et moite qui envahit ton bas ventre.
Tes yeux s’ouvrent à peine, il fait encore nuit.
Sur le haut de tes jambes tout juste une douce caresse qui effleure ta peau.
Sens tu mon parfum capiteux qui flotte dans l’espace de la chambre.

Ton sexe te brûle comme si tu allais te liberer tout seul.
Ta main glisse au bas de ton ventre dans ma chevelure fine et soyeuse.
Tes mains caressèrent ma nuque, qui fléchit en de longs mouvements réguliers ,
effleurant à peine les sillons de ma peau si douce et tiède.

Tu caresses mon épaule qui ondule, en légers soubresauts réguliers.
Ma gaine humide, onctueuse enveloppe maintenant ton sexe
Ma langue fougueuse léche ton gland avec plus d’insistance.
En mouvements circulaires, je m’enroule autour de ta verge.

J'entreprends de te sucer plus profondément en accélérant la cadence.
Et ton liquide se répand dans ma bouche. Je te léche alors
avec le même soin qu’une chatte élégante qui fait sa toilette,
pour nettoyer ton gland de la dernière goutte.

Tu veux me susurrer des mots tendres. Mais brusquement je me redresse
et je disparais dans l’embrasure de la porte.