Il est très tendre, un ange de douceur. Je me suis sentie des le debut amoureuse, folle. J'aime quand sa main se glisse tout autour de mon visage, lentement, à m'en faire devenir folle. Je sens mes nerfs se hérisser tout autour de ma nuque. J'aime quand il m'enlaçe de ses langoureuses caresses sans cesse répétées, comme si j'étais un objet précieux, un joyau dans son écrin. Mon corps tout entier est là pour te dire que j'adore ça, que j'en ai envie, au plus profond de moi-même, sans aucune restriction,
J'aime quand il me prend dans ses bras tendrement, passionement, un vrai feu d'artifice. il me rend insatiable et enflammée, nos regards crépitent d'envie. J'ai alors envie de l'aspirer goulûment en moi,
Je veux tout, la profondeur, la rapidité mais surtout la jouissance et alors, le rythme insidieusement s'accélére par la magie de nos désirs sans cesse renforcés.
Je veux sa force animale quand il s'empare de moi, et qu'il m'ensevelit sous les ondes de plaisir qui me dévorent encore et encore, qui me donnent la chair de poule et des frissons partout. C'est bon, merveilleux, pétillant...
Ce matin, une nouvelle fois, nous avons fait l'amour. Nous avons joui ensemble, mélangeant nos corps et nos sueurs. Puis, une fois le maelstrom achevé, la tourmente a fait place à un calme absolu, à une détente totale. Son sperme chaud coulait encore entre mes cuisses et m'inondait de bonheur.
Il s'est retiré de moi, lentement, nous étions imprégnés de nos sécrétions amoureuses, J'en tremble encore de plaisir, comblée par notre corps à corps torride. Mes seins restaient couverts de marques de tes douces succions. Je me sentais encore toute ouverte pour lui.
Il est total, ardent et directif, câlin, joueur, félin et attentif. Il est mon bel et merveilleux amant, Il donne et prend sans retenue. Il usé, et abuse de mon corps, de mes sens, de mes forces. Il est vigoureux, infatigable de ton corps. Ses jouissances sont rapides, sont violentes. Les miennes sont plus sauvages.
Nous avons fait l'amour longtemps, il m'a remerciée de ses caresses appuyées, de ses enlacements enfiévrés, du plaisir qu'il ressentais. Je m'avouais perverse et imaginative alors que je ne me connaissais que passive et classique. Il n'y était pour rien. J'ai été là au bon moment, où nous avions besoin l'un de l'autre.