Viens contre moi, détends toi, et sens les désirs de ton roi.
Viens goûter mes caresses, celles de mes mains, de mes doigts parcourant tes formes de déesse,
de tes gracieuses épaules à tes tendres fesses,
suivant tes courbes invitantes, séduisantes, appétissantes,
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Déshabillez-moi. Oui, mais pas trop vite Sachez me convoiter, me respecter, me désirer, me captiver
Ne soyez pas trop pressé. Dévorez-moi des yeux, mais avec retenue, pour que je m'habitue, peu à peu...
Sachez m'hypnotiser, m'envelopper, me capturer, avec délicatesse, en souplesse, et doigté.
Choisissez bien les mots, dirigez bien vos gestes, ni trop lents, ni trop lestes
Mais d'où provient cet art que vous exercez sur moi, cette prouesse ?
Je fonds sous vos mains exquises et tremble de la tête aux cuisses !
Je me découvre fougueuse, sauvage et tigresse ! il n'y a de plus ardent et a la fois doux,
Mes émois, acceptez-vous ? Voilà, ça y est ! Je suis frémissante, et offerte
- Sentez-vous Monseigneur, mes seins qui sur vous se frottent doucement ?
- Sentez vous mes mains vagabondes qui sur vous se promènent ?
- Caressez-moi, Explorez moi de vos mains sont douces et chaudes,
- Vous sentez ? là ... plus bas ! une tendre humidité. Je suis prête !
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Laisse moi petrir tes seins généreux de femme fecondée, flatter ton ventre rond qui déjà frémit.
Suivre la courbe du dos, atteindre ce paradis luxurieux, théâtre de plaisirs délicieux.
Pouvoir profiter d’un séant à la chair généreuse, d’une rondeur si exquise,
au temple rose orné de grandes lèvres béantes comme des portes ouvertes invitantes.
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- Je vous offre mon corps de femme aux braises alanguies,
- sentez mes deux seins lourds d’ombres douces, mourantes, ocres rouges sanguines,
- écoutez le trouble appel de mon corps dans la nuit, Je vous offre ma chair nue, découverte, chaude.
- mon corps pour vous se fait dunes, courbes incendiaires, vagues de sable chaud, oasis brulant.
- Sous vos doigts pénétrants, franchissez mes humides frontières.
- Devenue faible proie, je suis prête à glisser dans l’ultime, femelle de mon mâle.
- Je suis prête à me donner à vous tel un cadeau sucré ! Laissez-vous aller à votre plaisir !
- C'est si bon de s’abandonner !
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Laisse ton maître prendre soin de toi,
laisse ton corps profiter des bontés de ton roi.
Detends toi sur notre lit, et enlève ta robe de soie.
Cesse de frotter ta vulve, donne la moi.
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- Sentez-vous la chaleur de mon corps qui vous enveloppe doucement ?
- Ne dissimulez rien ! J'aime vous sentir, sentir votre désir qui se dresse contre moi,
- Dites moi tout bas vos plus folles pensées. Emmenez moi au paradis.
- De votre corps, je veux tout ! Donnez moi de la magie, de la passion et du plaisir !
- Que vos lèvres me savourent, qu’elles me sucent, m’engloutissent.
- Que votre bouche déguste les épices de nos salives qui se mélangent.
- caressez mes seins lourds, qui vous troublent Qu'ils soient l’oasis de nos jouissances partagées.
- Je veux que mon corps chaud vous enveloppe, vous enflamme, qu'il vous brûle.
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remonte bien ta croupe et laisse mon dard te butiner, ma belle fleur adorée.
Quel délice, de sentir tes grandes levres se chauffer, se mouiller, vibrer, frémir de plaisir.
Laisse moi te faire jouir avant de t’envahir. Laisse moi entrer dans ta jungle humide
reçois ma lance, fièrement dressée, prête pour sa mission: inonder ta grande vallée.
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- Je vous sens contre moi ! Je sens votre sexe s'enfoncer dans ma chair,
- qu'il s'enfonce loin en moi, qu'il m'explore, me penetre, profondement, sans concession.
- Je suis prête à ce que, dans mon nid parfumé, mouillé de mon nectar, vous vous libèriez en moi
- et que vous me donniez toute votre sève chaude, que vous me remplissiez de vous,
- que votre liqueur jaillisse et coule le long de mes lèvres tout au fond de moi.
- Je veux que vous m'abreuviez de votre onction liquide,
- que vous fassiez jaillir votre miel d'homme, que vous m'inondiez de vous !
- Sans attendre ... Aimons-nous !
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Jouons de nos sexes, mélangeons nos fluides. Fais plaisir à ton roi,
écarte tes cuisses humides, que je glisse en toi.
De grands frissons te parcourent, ton corps me demande de lui faire l’amour, jusqu’au petit jour.
Ta croupe, de champagne pétillant bien arrosée, tes orifices mouillés, dans tes trésors de jouissance je glisse.
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- Prenez-moi comme on cueille un fruit, dégustez moi avec délice et gourmandise,
- caressez moi à votre guise, Ne vous lassez pas de me regarder, de me désirer.
- Donnez moi vos lèvres chaudes ! Laissons nos langues se caresser, s'emmêler, se reconnaitre.
- Echangeons ce baiser bien mouillé, bien profond ... Je suis collée à vos lèvres ... et c'est bon !
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Cris, gémis, j'aime entendre ta voix, les louanges de tes plaisirs procurés par ton roi.
Je veux jouir en toi, ton corps est si beau. ma verge te brûle les entrailles,
je t’empale sans demi mesure.
Dans ton nid je me vide. Dans ta croupe, un joyeux festin.
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- Quelles caresses ! Je ploie, je dérive Je suis exsangue, écartelée! Je ne bouge pas, je tremble.
- Votre sexe raide bat la mesure de mon cœur affolé, bougeons dans nos chairs, profondément ! plus vite !
- Mes muscles se contractent, des vagues de chaleur envahissent mon ventre.
- Tout bascule. Je crie, mon corps est en branle. Je m'ouvre tout entière pour vous.
- Venez ! ... Donnez moi tout ! ... Oui ! ... C'est si bon ! ... Votre jouissance est à moi.
- Qu'ils étaient doux ces instants de désirs partagés, avivés par vos mots impudiques à mon oreille murmurés.
- J'ai senti le plaisir au fonds de moi tressaillir, puis comme une eau vive ruisseler et jaillir,
- en soubresauts insaisissables dans mon corps brulant
- Délicieux plaisir de la chair, vertige des sens libérés.
- Vous avez ensorcelé votre belle aux jupons parfumés !
- Vous êtes mon bel amant !