Nous avions fait ensemble tout le voyage depuis Moscou, la nuit était tombée et le couloir du wagon s'était progressivement vidé. Elle se tenait, seule, dans l'ouverture de la porte du compartiment en robe de nuit, a demi denudée. Sensuelle, aguicheuse, des yeux brillant. J'etais hypnotisé. Elle s'approcha de moi, m'attira à l'intérieur et referma la porte derrière moi. Elle me plaqua contre la porte et se colla langoureusement à moi. Elle caressa mon visage de ses lèvres, de sa bouche, de son souffle, de son nez, humant chaque parcelle de ma peau pour s'imprégner de mon odeur. Je commençais à reagir a ce parfum capiteux et envoûtant de feminité, un mélange étrange de fleurs, de chair, de désir, et de passion. féminité, sensualité, lascivité, volupté, je la désirais. Elle posa un doigt sur ma bouche. le glissant sensuellement sur mes lèvres. Ses lèvres remplaçerent son doigt, et c'est sa langue qui s'introduisit dans ma bouche. Ce fut un baiser sauvage, profond. Ses mains m'enlacerent pour me coller encore plus fortement à elle. Les fines bretelles de la robe de nuit tombèrent. Je lui rendis son sauvage baiser et cherchais moi aussi à pénétrer sa bouche, Nos lèvres s'écraserent les unes contre les autres dans un obcène bruit mouillé, Nos langues se cherchaient, se repoussaient, s'enlaçaient à nouveau. Ce fut un ballet violent, animal, sauvage, melant nos souffles, nos haleines, nos salives. Ses doigts courraient sur ma peau, à la limite de l'asphyxie, Elle planta ses yeux dans les miens, un regard de feu, de passion, et c'est en feulant qu'elle me murmura :
- Baise-moi !
elle se laissa couler le long de mon corps, Toute la dentelle de sa combinaison caressa mon sexe qui se dressait de plus en plus. Sa voix était chaude, rauque. Elle prit mon membre et commenca un lent massage. L'autre main empoignait mes bourses. Je me contractai pour ne pas jouir immédiatement. Elle enserra fortement mon membre pour retenir la montée de la lave en fusion. Ses yeux brûlaient de passion, elle était devenue une véritable lionne. Son vagin était en ébullition, trempant littéralement la dentelle de sa fine culotte. Elle voulait jouir. Alors comme une démente, elle prit mon sexe et l'enfonça dans sa fournaise détrempée Dans un mouvement frénétique elle pompa mon dard, se coulissa sur moi. Et là, dans un cri... je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans mes bourses, Un terrible orgasme emporta tout son corps dans un océan de jouissance. Ma verge eut plusieurs soubressauts, j'envoyai de nouvelles giclées de mon jus épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de ma tige brûlante, laissant échapper de delicieux bruits de succion et de déglutition. Mon sexe était encore dur, Elle m'adressa un regard langoureux, auréolé de douceur, de tendresse, de sensualié. Un regard allangui, une bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Je l'embrassai à pleine bouche. Nos lèvres s'épousaient profondément, nos langues s'enlaçaient, s'unissaient intimement. Le goût de sa bouche était plus fort, plus chaud, plus entêtant. Ce baiser se prolongea hors du temps et nous redonna des forces, nous revitalisant. Je ressentis dans mon sexe les effets de nos caresses. Mes mains caressaient le dos feminin, s'aventuraient sur ses fesses. les flattant, les palpant et les empaumant pour mieux les pêtrir. Toujours collée à mes lèvres, elle se cambrait et tendait ses reins pour répondre à la caresse. Je m'enhardissai et passai mes mains sous la fine dentelle tendue pour n'être en contact qu'avec sa peau. Ainsi soudé à elle, je la fis pivoter pour la plaquer contre le mur. Je m'écrasai un peu plus contre elle, glissant à nouveau une cuisse dans son entrejambe. Nos bouches ne s'étaient pas encore séparées et nos souffles commençaient à se faire court. On n'entendait plus que nos soupirs, nos halètements et des bruits mouillés de lèvres qui se séparent pour s'unir à nouveau. Nos regards étaient chauds, intenses, brûlants du désir de posséder l'autre. Ma cuisse se mit à comprimer davantage la vulve de ma chaude compagne. Mes lèvres se remirent à dévorer celles de ma maîtresse, alors que mon autre main s'accaparait de sa poitrine. Malaxant les deux mamelles l'une aprés l'autre. Le compartiment était envahi de bruits de bouche, de succion, de soupirs. Elle s'aggripa encore plus fortement à moi, elle écarta sa culotte mouillée et amena mon mat à l'entrée de son sexe trempé.
Ondulant du bassin, elle enduisit mon gland de ses sécrétions intimes et commença à le faire tourner autour de ses lèvres vaginales.
Elle promenait l'extrémité de mon sexe sur toute la longueur du sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. C'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Puis, s'accrochant à mes épaules, elle me souffla à l'oreille :
- Viens, vas-y !
Je propulsais alors mon bassin vers l'avant, enfonçant du meme coup mon sexe dans le fourreau ardent. Elle s'aggripa plus étroitement à moi, murmurant ses encouragements à mon oreille en me caressant amoureusement les cheveux. La pénétration ample de mon membre la comblait, c'était un véritable envahissement. Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions que la penetration se fit facilement. Elle enfonca son visage dans le creux de mon épaule et me souffla à nouveau :
- encore, Je t'en prie,
Son souffle chaud dans mon cou, ses baisers mouillés sur ma peau, ses tendres caresses dans mes cheveux, Je me mis à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Ses râles augmentaient en intensité. Mes mouvements se firent plus amples, plus profonds. Mon sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux,
coulissait profondément dans le vagin, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Mon penis était complètement enserré dans son ventre chaud. Je continuais mes va et vients réguliers, méthodiques. Elle était en extase. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice. Elle était brûlante. J'étais en nage. Une chaleur torride irradiait son corps, Mes lèvres dévoraient à nouveau les siennes, Mes dents jouaient avec ses mamelons. Je la pénétrais de plus en plus profondément, la faisant soupirer de plus en plus bruyamment. Elle n'en finissait pas de râler sous mes caresses intimes. Une nouvelle penetration plus ample lui déclencha un orgasme qui la tétanisa contre le mur. Elle me mordit l'épaule pour ne pas hurler. Je continuais mes mouvements ondulatoires accélérant ma cadence amplifiant ainsi sa jouissance. Elle s'aggripa a mes épaules, passa sa jambe autour de ma hanche pour que je la pénètre encore plus loin, encore plus fort. contractant ses muscles internes pour enserrer ma colonne de chair. Le contact du bas soyeux m'électrisait. La pression emprisonnant mon gland fut le signal. Je bandais mes muscles et de toute la puissance de mes reins, je me ruais au plus profond de son ventre, hurlant des rales d'effort à chaque violente poussée. Elle n'en pouvait plus, son sexe était investi, envahi Ses deux jambes autour de ma taille, s'empalant davantage sur mon pieu. Elle fut térassée par une série d'orgasmes en continu. Elle gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, ralait ses orgasmes. Je sentis l'imminence de l'eruption. J'accélérais la force de mes coups de butoir dans son ventre brûlant.
Je sentis ma semence partir de mes bourses pleines, remontant le long de la hampe de mon sexe tendu, explosant enfin par mon gland congestionné. Le jet puissant inonda le point le plus profond de son vagin. C'était un volcan, un flot bouillonant de lave en fusion.
A bout de souffle, j'enfouis ma tête dans son cou, lui assenant mes dernieres giclées pour lui exprimer ma gratitude. Nous recherchions notre respiration. Je continuais de coulisser doucement dans son ventre. Elle laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder mon dard planté en elle. Les dernières caresses de mon sexe d'acier la comblait de bonheur. Elle carressait doucement mes cheveux et ma nuque, m'embrassant tendrement dans le cou. Sa langue envahit délicatement ma bouche pour une dernière étreinte puis elle me repoussa doucement et me fixa dans les yeux, Mon sexe glissa doucement de sa gaine soyeuse, liberant un flot de secretions amoureuses.