Angela était devant moi, nue, dans une position d'attente. Je mis ses mains sur ses hanches. Elle se retourna, me vit, pâlit. Je pris ses hanches et l'attirai vers moi, très doucement. Les bras écartés, offerte, immobile, elle était totalement passive mais dans ses yeux brillait le désir. Je caressais ses formes, sa peau sombre, puis ses beaux seins, legerements tombant, les pointes agressives.
- Angela !
- Laissez moi prendre tes beaux seins,
- Laissez moi les caresser, les palper.
- Laissez moi pétrir tes belles poires.
- Laissez moi les empoigner et les serrer doucement
- Laissez vous aller au gré de mes caresses.
Je bandais comme un fou. j'écartai lentement ses cuisses, docile, elle les écarta un peu plus et je commençai à lui masser la vulve, elle se mit à soupirer et à murmurer des mots que je ne comprenais pas. Ma main fouillait sa chair intime et moite. Elle eut un petit spasme, doublé d'un cri rauque. Je n'en pouvais plus, je la désirais violemment et elle semblait receptive. Je lui dis mon désir d'enfin la pénétrer. J'avançais mon gland à l'entrée de sa vulve et mon sexe glissa immédiatement, comme aspiré, dans son ventre chaud. Elle eut un soupir de surprise, se cambra avant progressivement de se détendre. Je la pris alors par les hanches et continuai de m'enfoncer en elle. Quelle extase ! Son vagin commença à répondre à mes sollicitations. Elle se cambra un peu plus et je pus m'engager jusqu'à la garde, avec infiniment de douceur. L'étreinte de son vagin était forte, sublime.
Ses gémissements à chaque poussée, ses soupirs plus rauques à chaque dégagement. Ses propos devenaient incompréhensibles. Ses spasmes contractaient mon mat et je sentis le plaisir monter.
N'y tenant plus, je coulissais en elle comme un animal en rut. Mes couilles, trempées de sueur et de musc, venaient frapper sur ses cuisses, toujours plus vite, toujours plus sonores. Les claquements venaient à un rythme hallucinant. Soudain, je sentis l'orgasme, je m'enfonçai à fond et déversai mon foutre en longs jets dans ses entrailles en une succession de cris rauques. L'ultime jet nous terrassa. Je me répandis dans son ventre en une longue apothéose. Pendant de longues minutes, nous restâmes collés l'un sur l'autre dans un mélange de sueur, de musc et de foutre, qui dégoulinait maintenant entre ses cuisses.