Esmeralda passait l'aspirateur à quelques mètres de moi.
Sa jupe serrée soulignait une croupe genereuse.
Son chandail bien au corps dévoilait une belle poitrine, légèrement mobile.
je la voyais se retourner, se baisser, se relever, de maniere excitante,
je sentis un désir inextinguible monter en moi.
En quelques pas, j'étais près d'elle. Je mis ses mains sur ses hanches
Elle se retourna, me vit, pâlit et laissa tomber le manche de l'aspirateur.
Debout, elle semblait attendre.
Je pris ses mains et l'attirai vers moi, très doucement.
Je mis mon bras autour de ses épaules et la guidai vers la chambre d'ami.
Ses yeux à demi-clos me scrutaient. Les bras écartés, offerte, immobile,
elle attendait.
Je repris ses mains dans les miennes, j'entrepris de la déshabiller.
Elle était totalement passive mais dans ses yeux brillait le désir.
Je détaillais ses formes, sa peau sombre, sa toison développée,
ses beaus seins, legerements tombant et dont les longs tétons dardaient.
Je bandais comme un fou.
j'écartai lentement ses cuisses. Nos regards se croisèrent.
Docile, elle écarta les cuisses plus encore lorsque je commençai à lui masser la vulve,
elle se mit à soupirer et à murmurer des mots que je ne comprenais pas.
Ma main fouillait sa chair intime d'où sourdait un musc très parfumé, presque âcre et très abondant.
Je titillai la hampe de son clitoris et elle eut un petit spasme, doublé d'un cri rauque;
ses mains se glissèrent sur mes joues, me caressant doucement le visage.
Elle criait en secouant la tête. Je l'embrassai goulûment à pleine bouche.
Sa bouche, un peu froide, se donna mais ses mains me bloquèrent aux épaules
quand je voulus m'introduire en elle.
- "Oh...Monsieur.." me dit-elle entre deux soupirs.
Je n'en pouvais plus, je la voulais. J'avançais mon gland à l'entrée de sa vulve.
le gland entra immédiatement dans son ventre. Elle eut un soupir
puis se cambra avant de se détendre.
Je la pris alors par les hanches et continuai d'enfoncer ma grosse queue.
Quelle extase!
Son vagin commença à répondre à mes sollicitations.
Elle se cambra un peu plus et je pus m'engager jusqu'à la garde, avec infiniment de douceur.
Je commençai mon va-et-vient lent. L'étreinte de son vagin était forte, sublime.
Ses gemissements à chaque poussée, ses soupirs plus rauques à chaque dégagement.
Je n'allais pas poursuivre longtemps.... Ses propos étaient incompréhensibles
mais disaient son excitation et son plaisir.
Ses spasmes contractaient mon mat et je sentis le plaisir monter.
N'y tenant plus,
je coulissais en elle comme un animal en rut.
Mes couilles, trempées de sueur et de musc, venaient frapper sur ses cuisses,
toujours plus vite, toujours plus sonores.
Les claquements venaient à un rythme hallucinant.
Soudain, je sentis l'orgasme, j'enfonçai ma bite à fond et déversai mon foutre en longs jets dans ses entrailles en une succession de cris rauques.
L'ultime jet nous terrassa. Pendant de longues minutes, nous restâmes collés l'un sur l'autre
dans un mélange de sueur, de musc et de foutre, qui dégoulinait maintenant entre ses cuisses.
Nous reprîmes nos esprits. Je fus le premier à me lever et à lui apposer un baiser tendre sur la nuque.
Après mes ablutions, je la conduisis vers la salle de bains.
Là, Esmeralda, le visage défait et épanoui à la fois, pris pour la première fois une douche chez moi.
je la regardai se laver.
- "Merci, Monsieur" parvint-elle à me dire.
Je voulus l'embrasser mais elle se détourna. Déçu, je voulus lui dire quelque chose mais elle me devança:
- "Il vaut mieux non, Monsieur. Je vais aller travailler. Il y a encore beaucoup choses à faire dans la maison".