J'ouvre pour vous ma robe qui glisse consentante,
offrant mon corps de femme aux braises alanguies,
Parant mes deux seins lourds d’ombres douces, mourantes,
ocres rouges sanguines, trouble appel dans la nuit.
Ma langue se fait saillie de mes lèvres entrouvertes,
d’un désir si intense appuyé, infini,
Amenant à vous, ma chair nue, découverte,
balayée par un vent brulant d’Abyssinie.
Éclairé des étoiles sublimant cet instant,
Mon corps se fait dunes, courbures incendiaires,
Vagues de sable chaud, oasis brulant.
Sous vos doigts pénétrants mes humides frontières.
Devenue faible proie, je glisse dans l’ultime,
tenaillée de cette faim d’appétence animale,
Buvant au creux du corps, des replis de l’intime,
L’oued libérateur, femelle de mon mâle.
Angela était devant moi, la robe ouverte sur sa combinaison de soie, deux beaux seins généreux, dans une position d'attente. Je mis ses mains sur ses hanches. Elle pâlit. Je pris ses hanches et l'attirai vers moi, très doucement. Les bras écartés, offerte, immobile, elle était totalement passive mais dans ses yeux brillait le désir. Je caressais ses formes, sa peau sombre, puis ses beaux seins, legerements tombant, les pointes agressives. Je bandais à la limite de l'indécence. Elle devait s'en apercevoir. Elle écarta lentement ses cuisses, docile, et je commençai à lui masser la vulve, elle se mit à soupirer et à murmurer des mots que je ne comprenais pas. Ma main fouillait sa chair intime et moite. Elle eut un petit spasme, doublé d'un cri rauque.
Je n'en pouvais plus, je la désirais violemment et elle semblait receptive. Je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge, dégageant ses épaules. Ses seins s'affaissèrent un peu tout en gardant leur lourde rondeur. Je lui dis mon désir d'enfin la pénétrer. Me regardant droit dans les yeux, elle releva sa combinaison pour se libérer de sa culotte de soie qu'elle fit glisser sur ses cuisses: bruit d'élastique. Je la tirai vers moi, ses seins au creux de mes deux mains. Je les caressais toujours avec douceur. puis je soulevais sa douce combinaison le long de ses hanches. Je dirigeai mon gland et le frottais sur toute la surface de sa vulve, et ... je la sentis ... impression delicieuse ... absorber mon gland. J'avançais mon sexe dur qui glissa immédiatement, comme aspiré, dans son ventre chaud. Elle eut un soupir de contentement, se cambra avant progressivement de se détendre. Je m'enfonçais entre ses lèvres larges et humides. Elle s'empalait profondément d'un seul coup de rein. je la pénétrais puissement au plus profond de ses reins. Je la pris alors par les hanches et continuai de m'enfoncer en elle. L'extase ! Son vagin commença à répondre à mes sollicitations. Elle se cambra un peu plus et je pus m'engager jusqu'à la garde, avec infiniment de douceur. L'étreinte de son vagin était forte, sublime. Ses gémissements à chaque poussée, ses soupirs plus rauques à chaque dégagement. Ses propos devenaient incompréhensibles. Ses spasmes contractaient mon mat et je sentis le plaisir monter. Elle gémissait comme une petite fille, profondément empalée sur ma verge. Son jus tiède m'inondait le bas ventre. Elle se mit soudain à trembler de tous ses membres et a un spasme violent la désarçonna. je glissais en elle de plus en plus vite et fort.
Complètement excité, je coulissais en elle comme un animal en rut. Mes couilles, trempées de sueur et de musc, venaient frapper sur ses cuisses, toujours plus vite, toujours plus sonores. Les claquements venaient à un rythme hallucinant. Soudain, je sentis l'orgasme arriver, La pression montait en moi. Je me bloquais bien au fond d'elle et je partis en de longues giclées dans son ventre. je m'enfonçai à fond et continuais à déverser mon foutre en longs jets dans ses entrailles en une succession de cris rauques. L'ultime jet nous terrassa. Je me répandis dans son ventre en une longue vibrante apothéose. Pendant de longues minutes, nous restâmes collés l'un sur l'autre dans un mélange de sueur, de musc et de foutre, qui dégoulinait maintenant entre ses cuisses.
Angela est là devant moi, sans complexe, en combinaison de soie blanche, resserré sous la poitrine, laissant son corps libre sous le fin tissu, Les caresses du tissu laissent saillir les pointes de ses seins, épousent au plus prêt son corps souple et chaud. elle joue des plis de sa combinaison, en se tenant ses poitrines genereuses se balançant légèrement sous sa chemise transparente. Elle remonte ses mains sous ses seins qu'elle soupese et les malaxe lascivement sous le tissu leger. Mes yeux boient la masse oscillante de ses seins lourds mais fermes. une peau somptueuse, de longues jambes fines, moulées par le tissus luisant,
La plénitude de ses seins, de ses hanches, font monter mon excitation. J’ai chaud. J'ose: Je pose mes mains sur ses hanches, je les glisse sur la fine dentelle, je flatte son ventre, Je remonte vers ses poitrines,
- Monsieur !
- Détendez vous Angela ! Laissez moi les caresser, les flatter ! Ils sont si beaux et tendres
je les caresse maintenant à pleine main et les masse doucement. Elle se met à gémir et s'approche de moi, imperceptiblement. Je bande ... et je n'arrive pas à le cacher.
- Angela, vous me troublez !
- Monsieur, je ne sais pas quoi vous dire. Je vous fais tant d'effet ?
Mes mains caressent son ventre, descendent plus bas. Elle commence à réagir mes caresses.
- Monsieur ! Vous me mettez dans tous mes états !
je la serre plus fort, incrustant plus avant mes reliefs contre son corps, je l’embrasse dans le cou. Elle commence à soupirer et a avoir quelques mouvements erratiques
- Monsieur ! Nous ne sommes pas raisonnables !
Elle se frotte contre moi. la pression monte. J'empoigne ses seins encore enveloppée par sa combinaison de soie blanche. Je les malaxe doucement, la chair a un moélleux exceptionnel. Je les tiens serrés l'un contre l'autre. Puis je glisse ma main sur sa vulve mouillée, la masse doucement
- Monsieur ! Vous touchez des endroits intimes !
Elle commençe alors à trembler de tous ses membres, des frissons de plus en plus forts la secouent. Elle se cambre dans un spasme violent et retombe toute molle dans mes bras. Elle mouille énormément. elle ouvre les yeux, me lance un regard intense, et me dit d'une voix que je ne lui connais pas :
- Oh Monsieur ! Je suis désolée ! Je ne sais pas ce qui m'est arrivé !
Son visage se transforme, elle semble réfléchir, je l'interrompt
- Angela ! On ne va pas en rester là ! Venez ! Emmenez moi dans votre chambre !
Une fois dans la petite chambre, Je fais glisser la bretelle droite de son soutien-gorge, puis je dégage l'épaule gauche. Ses seins s'affaissent un peu tout en gardant leur lourde rondeur. Je saisis sa culotte de soie que je fais glisser sur ses cuisses: bruit d'élastique, silence. Je la tire vers moi, Je saisis ses seins au creux de mes deux mains. Je les caresse toujours avec douceur. puis je soulève sa combinaison de nylon le long de ses hanches. Je dirige mon gland et le frotte sur toute la surface de sa vulve, et ... je la sens ... impression delicieuse ... absorber mon gland. Je m'enfonce entre ses lèvres qui baillent larges et humides. Elle s'empale profondément d'un seul coup de rein. je la pénétre puissement au plus profond de ses reins. Elle gémit comme une petite fille. Elle est profondément empalée sur ma verge. Son jus tiède m'inonde le bas ventre. Elle se met soudain à trembler de tous ses membres et a un spasme violent la désarçonne. je glisse en elle de plus en plus vite et fort. La pression monte en moi. Je me bloque bien au fond d'elle et je pars en de longues giclées dans son ventre.
- Eh bien ! Je crois que ça va mieux ! Embrassez moi !
- Venez allons dans ma chambre !
Je la prend par la main, l'emmène dans la pièce adjacente et referme la porte derrière nous. Délicatement, je dégage les bretelles de sa combinaison. Sans qu'elle fasse un geste, le fin tissu glisse doucement le long de son corps et s'étale en corolle à ses pieds.
- Je peux la prendre ? je la garde ... en souvenir
Je prend la combinaison encore tiède et respire ses effluves. Je profite de la douceur du nylon sur ma queue tendue, La douceur, la fraîcheur du tissu fait gonfler ma verge comme jamais encore. Sa douce lingerie sent la femme, c'est chaud, c'est doux ! je me caresse le torse, les cuisses, les fesses, avec le doux tissu la jolie dentelle de la poitrine titille agréablement mon torse.
- Tenez ! prenez ma nuisette dans la table de nuit !
En ouvrant le tiroir, je tombe sur ses dessous intimes. Ses petites culottes rangées sommairement, sophistiquées, en soie ajourées de dentelles.Je m'empare de sa nuisette, une magnifique nuisette tout en satin jaune paille très fluide. Je la passe au dessus de sa tête et l'ajuste sur sa poitrine. le haut épouse la forme de ses seins comme un soutien gorge. Mes doigts glissent sur le satin; descendent vers ses cuisses, avec de longs va et vient. Le tissu devient manifestement mouillé. Je glisse mes doigts sous la soie. Je passe une jambe entre les siennes, j'entoure ma cuisse du velouté de sa combinaison. Je sens le doux tissu effleurer mon ventre avant de sentir ensuite le contact de sa poitrine Puis elle écrase ses seins contre mon torse et ne bouge plus. Je suis fou. Elle me regarde en souriant.
- Eh bien ? qu'attendez vous ?
J'avance mes doigts plus bas dans son pubis, j'écarte bien ses lèvres, elles sont toutes distendues, pretes pour m'accueillir. J'en profite, je hume pleinement l’odeur de son sexe, je m'enivre de ses effluves. J'approche mon sexe, et je l'enfouis bien profondément, écartant bien ses lèvres,
- Hummmm comme je te sens bien, Angela, et toi au fait ? Tu tiens toujours ?
- Je vous sens fort, périlleux, fougueux. Laissez-vous aller mon bel homme, je suis tout à vous.
- encore ... ouiii ... ça vient ! OUIII ! .... Moi aussi j’ai joui, Oh que c'est bon !
Ma queue reste bien enfouie dans son sexe, elle diminue un peu de volume mais reste quand même bien dressée. Elle en profite pour continuer à se coulisser un peu elle-même sur moi prolongeant son plaisir, le spectacle de ses gros seins ballottant sous mes yeux ne tarde pas à me redonner de la vigueur ! moins de cinq minutes plus tard je bande de nouveau au fond de son ventre,
- oh oui, je vous sens, remplissez-moi encore, enfoncez moi, là, je vais jouir !
Je la tiens par les hanches et elle soulève son bassin puis se laisse retomber en poussant en avant pour mieux sentir le frottement de mon penis sur ses parois, je vois ma verge tantôt presque sortie, tantôt enfoncée au maximum, nos ventres se touchent. Empalée à fond, elle remue pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encourage à lui en donner encore plus !
- Regardez bien mes seins, c'est bon ! vous êtes bien profond en moi, allez-y, coulissez fort !
Elle se déchaîne, ses seins ballottent de droite à gauche elle se met à crier, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, elle jouit au-delà de l'imaginable, tous ses sens tournés vers le plaisir, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Je jouis une deuxième fois, je sens un flot de sperme gicler par saccades au fond de son ventre et un immense sentiment de bien être m'envahit ! Elle se couche sur moi, je serre tendrement son visage contre ma joue, nous sommes haletants, apaisés, heureux. Je contemple sa lingerie fine et douce, trempée de nos sexes qui coulent de nos jouissances.
Cette lingerie, pleine de mon odeur, de son odeur
Pleine de mes mains, de mes lèvres, de mon sexe, de ma faim, de ma soif de plaisir,
Cette lingerie que j'aime écarter un peu pour venir en elle, pour me glisser en elle.
Cette lingerie qui alors se tache, de ma jouissance et de la sienne,
Qui me fait comme un souvenir le jour durant.
Cette lingerie, qui retient les coulures chaudes de notre orgasme
Joyeusement partagé, et que je garde en haut de mes cuisses.
Cette lingerie si remplie de nous deux,
Ses joues sont légèrement rougies. Elle prend ma main, la dirige vers elle. Elle me guide sous sa robe et me laisse en chemin. Tout se precipite.
Je glisse mes doigts entre ses cuisses qu'elle resserre fermement comme pour me garder. Je sens sa douce chaleur au contact de ma main.
Puis ses cuisses se deserrent comme pour m'inviter. Son visage fremit, sa respiration s'accelere. J'atteins une culotte soyeuse déjà humide. Je caresse les formes qu'elle recouvre. Elle tressaille. Je sens les muscles trempés se dilater. Sa main serre mon bras. J'ecarte sa culotte et approche de ses levres intimes, mes doigts s'y introduisent. Son corps se cabre saisi d'un long spasme qu'elle ne parvient pas à dissimuler. Je ne tiens plus en place. Je me metourne sur le coté vers elle et remonte un peu plus nos couvertures. Ses yeux traduisent un desir. Elle se tourne vers moi, nos visages se rapprochent. Je sens alors sa main defaire la ceinture de mon pantalon qui explose. Elle degage mon sexe sous le slip, le serre, le masse legerement, lui fait faire de legers va et viens. Je sens que tout se mouille. Elle me sourit. Sa vulve hurlante de desir s'ouvre totalement au contact de mes doigts, j'introduis l'index puis un autre et taquine les parois. Un nouveau spasme la secoue, je me mouille completement. Nous n'y tenons plus. Elle se retourne alors sous la couverture, defait rapidement sa robe et sa culotte. Je me colle contre elle. Mes mains remontent sous son corsage et prennent possession de ses seins, mon sexe se dresse entre ses deux cuisses. Je sens sa vulve entierement ouverte. Je m'y introduis, je la pénetre. Nous demarrons un doux va et vient, qui s'accelère. Elle me serre contre elle. je lui presse les seins au rythme de mes penetrations. La pression monte, nos mouvements, s'accelerent. J'explose en elle. Nous restons collés l'un à l'autre. Nos levres se cherchent. Elle approche alors sa tete au contact de la mienne, puis nos bouches se touchent, subtilement, puis de manière plus appuyée, nos langues s'enroulent, glissent l'une contre l'autre. Le moment est sublime. Nous restons ainsi une éternité, bercés de vagues de plaisir, mon sexe dans sa main qu'elle caresse tendrement, mes doigts enfouis dans sa chaude intimité. Ma main remonte le long de son ventre, je saisis un sein ferme et rebondi, je le petris, le palpe. Nous passons de longs moments nos chairs sous l'emprise de nos mains.