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dimanche 14 décembre 2025 - 08h20rech / rep
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(taille reelle)
dans l'arrière bureau ()
Il est venu contre moi, et, rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. sa main a soulevé le bord de ma jupe et j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve à travers le nylon de ma petite culotte. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. Il avait touché un point sensible. il a délicatement empaumé ma vulve humide par dessus ma culotte. C'était vraiment bon. Je l'ai laissé faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter, craignant que nous n'allions trop loin. Mais il ne s'arrêtait pas ! Il avait déjà passé un doigt sous l'élastique de mon slip, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité. Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai finalement realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte.
- Mon Dieu ! nous nous laissons emporter.
- Je m'arreterai dès que vous me le direz. .
Rassurée, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. et il a continué à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, il semblait venir de si loin, paraissait si profond. J'avais trop besoin de jouir. J'étais tellement chaude que je gémissais très fort. Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et s'était mis entre mes jambes. Je le vis avec effroi et envie sortir son enorme sexe bandé et le diriger vers ma vulve trempée.

Je ne bougeais pas. Je le laissais faire, je sentais ma culotte se soie se mouiller sous ses caresses intrusives. je sentais la chaleur de son corps tout contre le mien. Sa main maintenant parcourait mon ventre et remontait doucement vers mon aisselle, provoquant des frissons. Ses doigts se promènaient sur mon bras, remontaient vers mon cou, caressaient mon oreille puis mes cheveux, sensations délicieuses. Il glissa ses mains sous mes épaules et me serra contre lui. Je sentis mon bassin onduler au rythme de ses baisers, j’avais envie qu’il me penetre. Je sentais son sexe chercher l’entrée de mon puit, je glissais ma main pour l'aider. Son sexe était est chaud, gros, gonflé, prêt à exploser, je le tenais bien en main et j’en profitais pour promener son gland sur mes levres ouvertes, c’était bon. Puis, j'avançais un peu mon bassin pour lui faire sentir que j'étais prête. il commenca aussitot à pousser et à me pénétrer, une pénétration puissante, lente, je sentais mes chairs qui s’écartaient, j’aimais cette possession de mon corps par cet homme.

J’ai relevé les genoux pour mieux le sentir et pour qu’il puisse aller loin en moi. Il allait et venait, je sentais son bassin venir au devant du mien, pubis contre pubis, imbriqués l’un dans l’autre. J'étais trempée, je sentais ma cyprine couler le long de mes cuisses.
Je sentis son gland buter contre mon utérus tellement il me pénètrait loin et pourtant j’avais envie de lui donner encore plus,
je relèvais les jambes et je les nouaient derrière ses reins. Mon bassin vint à sa rencontre chaque fois qu’il écartèlait mon sexe,
je sentais ses testicules qui frappaient mon entre jambes. Que c’était bon, mais que c’était bon…
Nos corps en sueur qui s’embrassaient, qui s’embrasaient qui partaient ensemble à la recherche du plaisir, dans la communion de la jouissance. Je sentais le plaisir monter de mes jambes, de mes reins de mon sexe, je sentais cette vague, cette déferlante qui allait me déborder. Lui aussi sentait que le plaisir montait en moi, son sexe s’est fait encore plus dur à l’intérieur de moi, je me sentais complètement ouverte par ce pieux de chair qui me possèdait entièrement.
Son rythme se fit plus rapide, il m’entraîna dans un plaisir indescriptible. Je criais mon plaisir, je le griffais dans le dos, ca y est, il jouissait, je le sentis qui éjaculait, qui inondait mon vagin, nous ne faisions plus qu’un dans la jouissance. Petit à petit, nous avons repris notre souffle, toujours enlacés, grisés. Puis, nos corps se sont séparés à regret. Je suis venue me blottir contre lui, la tête dans son cou, je l’embrasse doucement là ou la peau est encore douce, juste sous la barbe dure. Il a glissé son bras autour de mes épaules, j’ai glissé une jambe entre les siennes et c’est la tête dans les étoiles que nous avons trouvé le sommeil.