Je rangeais quelques articles dans la remise. Sans dire un mot, il m'a agrippée et s'est jetée sur mes lèvres pour un baiser qui m'a fait tourner la tête. Ses mains puissantes tentaient de glisser sous ma robe légère, sur mes hanches, mes cuisses, sur mon dos dénudé. Je sentais contre mon ventre le relief indécent et excitant de son pantalon. Les coutures de ma robe ont craqué, il était presque brutal de maladresse. il m'a poussée contre les étagères et s'est jeté sur mes seins qu'il a sucés et mordillés longuement.
Je me suis rappelée ses regards furtifs au bureau, les semaines précédentes. Et maintenant, j'étais sous son emprise. Ses mains d'homme me caressaient avec audace et gourmandise. Son pantalon est tombé et son sexe brûlant s'est mis à frotter contre mes cuisses. J'agrippais sa tige de chair dure que je recueillais dans ma main. Il gémissait, respirant profondément, les yeux fermés. Doucement, en guettant sur son visage les signes du plaisir, je le branlais. Il se crispa, se détendit. Son plaisir montait irrémédiablement. J'étais ravie de le voir ainsi abandonné, lui si conquérant quelques secondes auparavant. Je m'émerveillais de la grosseur de son sexe. Il se redressa sur son séant et me regarda avec une imploration muette. Je lui souriais. Il me caressait les cheveux. Puis sa main se referma sur ma nuque et poussa mon visage vers son sexe. J'obtempérais à son caprice d'enfant gâté et l'accueillais dans ma bouche. Son sexe glissa jusqu'à ma gorge, ma mâchoire presque se décrocher, il semblait heureux. La fellation fut douce pour cet homme de trente-huit ans, plein de santé. Je le suçais, longuement, surprise du plaisir que je ressentais à le sentir dans ma bouche, chaud et vibrant, à la merci des ondulations de ma langue que j'enroulais autour, montant et descendant sur sa verge tendue. chacun de ses gémissements se répercutait en moi en frisson de luxure, au fur et à mesure que mon ventre se tordait de désir et que grandissait le sentiment de vide, plus bas entre mes cuisses affamées.
Je montais à califourchon sur ses hanches, de part et d'autre de sa taille, et pointais son sexe contre ma vulve humide. Je fis passer son gland dans mes plis, le placait contre mon entrée brûlante, et je descendis lentement sur lui. La pénétration fut délicieuse. Son sexe était en moi, énorme et brûlant, d'une dureté incroyable. Doucement je me balançais, le savourant au fond de mon vagin. Je l'embrassais avec sauvagerie, violant sa bouche de ma langue, pinçant mes tétons. Il pétrissait mes fesses. Je jouissais intensemment, empalée sur cette jeune bite qui me fouillait et me bouleversait jusqu'au fond, butant contre ma matrice. L'orgasme lui noua le ventre jusqu'à ce que je le libère en coulissant jusqu'au bout sur ce pieu de chair. Nous avons crié ensemble, comme un sanglot et un éclat de rire, libérés. Quand je m'effondrais sur sa poitrine, je serrai mon vagin pour le sentir en moi, encore dur, allant et venant entre mes muqueuses, lubrifié par son sperme. Le ciel par la fenêtre était bleu et magnifique, comme je ne l'ai jamais vu.
Je l'ai regardé se rhabiller. Il est revenu Apres de moi, m'a embrassée timidement sur la joue. Je me suis rhabillée, me suis remaquillée et peignée devant le miroir. Mon maquillage était ravagé, mais pas mon sourire. En remettant la clé à l'accueil, j'ai regardé franchement la gardienne, qui a souri sans rien dire. Les cigales dans leur folie font retentir la garrigue de leurs tribulations.