A l’abri des dunes et des taillis, nos corps se mêlaient, cherchant un bonheur subtil et éphémère. Pendant quelques instants nous restions immobiles l'un sur l'autre, l’un dans l’autre. une moiteur torride m'enveloppait. Elle se faisait doucement coulisser sur moi. Je glissais en elle facilement tant elle était humide et l'intérieur de son ventre brûlant. Je caressais et palpais ses deux seins de mes mains, puis ses deux fesses que je pressais vers moi. Ses seins splendides ballottaient maintenant librement sous mes yeux. Son corps inondé de sueur luisait sous la lumière. Elle s’empalait de façon de plus en plus sauvage, puis désordonnée,
J’étais en elle, et plus rien ne comptait. elle s’offrait à son plaisir, à mon plaisir. Nos râles devenaient des cris, dérangeant la sieste des cigales. Nous ne formions plus qu’un seul être. Elle accéléra et me supplia de jouir vite en elle. Je ne pu me contrôler plus longtemps et je me rependis en une vive et abondante apothéose. Elle s’effondra sur moi en me couvrant de baisers. Pendant plusieurs minutes, nous sommes immobiles l'un sur l'autre, l’un dans l’autre, mélangeant nos baisers.