Nous étions seuls dans cette partie de la salle. Il m'installa profondément au fond du canapé. Il s'excitait sur les boutons de mon chemisier. Je vins à son secours Il dégrafa mon soutien-gorge libérant mes seins. Il s'affolait. Sa main glissait d'un sein à l'autre, s'activant en tous sens et de tous cotés. Je sentis alors très nettement un sexe énorme pointer entre mes cuisses. Je me tortillais des hanches pour mieux le sentir contre moi. Il infiltra ses mains sous mon corsage et se saisit de mes deux seins. Il jouait de mon corps. J'avais envie de jouir de lui. Je me suis dégagée doucement de son étreinte, Je glissai une main dans son pantalon et pris sa verge dans ma main. Il introduisit son doigt entre mes lèvres intimes, et titilla mon clitoris. Je sentis son sexe, dans ma main, prendre encore de la vigueur. sa main caressait mes seins, mon ventre. J'écartai inconsciente mes cuisses. Il suçait mes tétons, mordillait la peau de mon ventre. Sa bouche me fit frémir.
Je pris sa tête dans mes deux mains, la tira vers moi et lui fit sentir mon envie de lui Il baissa son pantalon. J'écartai mes cuisses et dirigeai sa verge vers ma vulve trempée. Son gland se lubrifia à mon humidité et il glissa en moi avec facilité. nos ventres se rencontrèrent, Il s'enfonça dans mes entrailles avec douceur. Nous restions immobiles un moment. Je sentis sa verge fremir dans mon ventre, je fus secouée d'un spasme délicieux. Je relevai imperceptiblement mes genoux. J'offrai ma bouche. Je reçus sa langue
en même temps que je reçus sa virilité dans mon vagin. Je fermai les yeux pour mieux goûter l'instant. Mon amant d'un soir vint de s'enfoncer dans mes entrailles jusqu'à la garde. Il se retira, puis revint. Une fois, puis deux puis de plus en plus souvent, Ses mouvements furent de plus en plus amples, puis son sexe se dégagea du mien. J'avais une impression de vide. Il me penetra de nouveau
- Vous êtes bien ? me demanda-t'il d'un voix suave
- Oui... C'est bon...
- Vous voulez ? ... maintenant ?
- Non...Pas encore... .
- Vous me direz ?
- Oui...
Mon beau mâle s'agrippa alors à mes épaules et entama un ample mouvement de va et vient. Ses coups de reins firent claquer son ventre et ses bourses contre mes cuisses. Leurs puissances ébranlaient mes seins qui sursauterent à chaque coup de boutoir. Je soulèvai et j'abaissai mon bassin pour accroître les sensations. Je sentais qu'il me regardait, intensément. J'ouvris les yeux. Nos regards se souderent l'un à l'autre. Lorsque d'un violent coup de rein, il me pénètra plus profondément, je fus prise de vertige et je fermai les yeux un instant. Je me concentrai sur ce sexe énorme qui me fouillait et que j'aime. La transpiration perlait entre mes seins. Elle gouttait au front de mon amant Nous poursuivions notre course, jusqu'au moment ou il me supplia :
- Je crois que je viens !
- Je suis prête ! lui dis-je en le rassurant.
La force avec laquelle il s'attella à mes épaules, l'ampleur et la puissance de son va-et-vient, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs qui se heurtaient me propulserent à des hauteurs inconnues. Je jouis et il poursuivit sa chevauchée. Je jouis encore et il s'enfonca un peu plus dans mes chairs. Je jouissais à en gémir. Puis il se raidit soudainement avec des grondements d'ours blessés. Je sentis alors des flots de sève chaude envahir mon ventre par saccades successives. Il s'affaissa sur moi. Je caressai amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. J'abaissai mes cuisses. Je conservai son sexe emprisonné dans mon ventre.
Des larmes de bonheur inondent mes paupières.Il me sourit. Je l'embrassais, Je ne connais pas son nom