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samedi 13 décembre 2025 - 06h02rech / rep
prty-05-soiree1

prty-05-soiree1
(taille reelle)
amant d'un soir ()
Je ne l'avais pas vu venir vers moi. Lui ayant à peine accordé cette danse, il m'a pris sans délai contre lui. En dansant, il appuyait sa joue contre la mienne et me tenait serrée contre lui. Il se fit de plus en plus pressant. Je ne cherchai même plus à le repousser. J'ai senti sa jambe qui se glissait plus avant entre mes cuisses, puis son bras, dans mon dos, qui m'emprisonnait plus fermement. Contre mon oreille, je sentais sa respiration s'accélérer. Sa main serra imperceptiblement la mienne. Il me pressa contre son ventre. Je le sentais vigoureux, dans toutes les parties de son corps. Les lumières se sont faites plus discrètes encore. Il a posé ses levres sur ma joue, y a déposé un baiser, puis un autre. Puis ses baisers se sont rapprochés progressivement de mes lèvres. Nos corps se cherchaient et se frottaient l'un contre l'autre. Nos jambes s'entrelacaient et s'enserraient. Sa vigueur très perceptible commençait à me faire tourner la tête. Je sentais ma vulve réagir, mes lèvres gonfler, s'humidifier. Mes seins s'affermissaient et devenaient sensibles au contact de son corps. Nos bouches se rencontrerent enfin, j'ouvris la mienne et j'accueillis sa langue. J'ai senti sa main remonter vers mon sein, le caresser Je sentais mes poitrines gonfler sous ses attouchements J'avais envie qu'elles soient libres et nues pour être au contact de sa peau. Je voulais lui murmurer que je le sens bien ferme contre moi, qu'il me fait mouiller et que je voudrais ne pas en rester là. Cependant un dernier reste de pudeur me retint. Ses baisers dans mon cou me firent frissonner. Ses mains qui s'attardaient sur mes seins me firent tressaillir.

Il m'a alors conduit doucement dans un coin plus sombre de la salle Il glissa sa langue dans ma bouche et attrapa la mienne Puis je le sentis glisser sa main sous mes fesses, dans mon entrejambe. J'étais congestionnée. Une légère appréhension m'étreignit. Il passa sa main sous ma robe, je glissai les miennes sous sa chemise. Pendant que nous nous frottions, je posai ma tête sur sa poitrine et j'entendis son cœur qui battait à coups sourds. Ses doigts frôlerent ma chair à travers ma combinaison de soie, Je m'emparais tendrement de la grosseur qui gonflait son pantalon. C'est bien la première fois de ma vie que j'osais un tel geste. Au comble de l'excitation, nos bouches se souderent passionnément. Puis il me poussa vers un profond canapé au fond de la salle.