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samedi 13 décembre 2025 - 06h01rech / rep
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Peu à peu, l'ambiance de la soirée se fit plus chaleureuse. Ses mains s'étaient posées sur mes épaules et les miennes, sur ses hanches. Je ressens encore son parfum qui montait en vagues effluves. la musique me fit accentuer ma pression sur ses hanches, très lentement. Elle semblait ne rien voir. Soudain, je sentis sa poitrine frôler ma chemise. Puis le contact se fit plus dense. Je sentais ses seins posés contre moi et son ventre qui, par moment, touchait le mien, ses mains étaient toujours sur mes épaules, un peu plus enveloppantes. La nuit était belle et chaude. J'osais un peu bouger mes mains sur son dos, dans un silence que je trouvais pesant. Nous nous frolions imperceptiblement. Je sentis alors le poids de sa poitrine que je trouvais plus lourde. Elle ne disait rien. Mes mains, plus audacieuses, se plaquerent sur ses reins, en bougeant lentement sur son corps jusqu'à ce que son ventre soit en harmonie avec le mien. Nos ventres se touchaient désormais. Je me sentis durcir subitement et elle le sentit tout aussi vite. Immédiatement j'essayais de me detacher. mais je sentis nettement deux mains plus fermes qui retenaient mes épaules. Elle avait conservé ma main comme pour me rassurer, comme on calme un enfant qui a peur du noir. Je ne savais que dire et que faire. Je sentis son souffle près de mon oreille. Ma main prisonnière de ses doigts s'éleva comme par magie puis je sentis qu'elle la posait sur sa poitrine. je sentis ses seins fermes vibrer sous la paume de ma main. Nos corps se frottaient tendrement l'un contre l'autre. Nous étions joue contre joue. je sentais ses doigts sur ma nuque se glisser sous ma chevelure, je me sentais bien contre elle, et lui laissais percevoir sans retenue mon desir. Elle ferma les yeux, et se laissa aller au lent mouvement de la danse, Contact de mes levres avec le coin des siennes. Elle ne reagissait pas, et gardait les yeux fermés. Nouveau contact, elle tourna légèrement la tête. Je sentis ses levres contre les miennes. Nos lèvres s’écarterent, se rejoignirent, augmenterent leur pression, s’écraserent l’une contre l’autre, nos langues se chercherent, se trouverent, se goûterent, s'enroulerent. Je la serrais contre moi. Elle s'agrippa à mon cou. Mon désir devenait de plus en plus violent.

les derniers convives prirent congés furtivement Nous nous retrouvions seuls, dansant dans les bras l'un de l'autre, les bouches toujours scellées l’une contre l’autre. Mes mains caresserent son front, glisserent sur son visage et ses joues, descendirent le long du cou. Le contact était chaud. Mes doigts écarterent doucement le tissu du corsage, entrerent, et rencontrerent le tissu de dentelle qui abritait la poitrine ronde et ferme. Ma main suivit la courbe du sein, Sa respiration saccadée soulèva sa poitrine. Mes doigts glisserent, sentirent une pointe durcie, la firent jaillir de son nid, Elle était offerte, impudique. Je glissais une main derrière son dos, détachais une agraphe, je libèrais enfin définitivement deux adorables seins roses. Ses joues, roses de plaisir, elle me pressa contre elle pour prolonger la caresse. elle me regarda, radieuse, reconnaissante. Mes mains glissaient desormais sous sa jupe, ecartait une fine culotte de soie. Elle se dehanchait pour m'aider dans ma tache. La fine lingerie glissa lentement le long de ses cuisses, et se retrouva sur le sol. Je retroussais la jupe, découvrant la peau claire de son ventre. Elle écarta ses jambes. Elle s'approcha de moi. Le baiser était brûlant, avide et gourmand. Elle se retrouva offerte, les cuisses écartées. Je plongeai alors ma main vers la fine toison. J'y posais une caresse, plantant mes doigts dans ce nid suintant et chaud, fouillant entre les lèvres gonflées d’où un fort parfum de plaisir féminin se dégageait. Elle se cabra, comme pour mieux sentir les doigts qui la fouillaient. Elle empauma ses seins, les pressa l’un contre l’autre les doigts crispés dessus. Me saisissant par la chemise, elle rechercha ma bouche. Elle glissa fébrilement sa main sous ma chemise. Ses doigts s'infiltrerent sous mon pantalon à la recherche de mon membre rigide comme du bois. Elle le branla lentement pour mieux le sentir vivre sous ses doigts. Elle le regarda avec envie, ferma les yeux et le posa sur son ventre. Nous perlions de sueur.
- J’ai envie de toi, lui dis-je.
- Viens ! répondit-t'elle
Elle plongea son regard dans mes yeux, ouvrit ses jambes et de son autre main, guida mon sexe vers le sien. Je m’appliquais, augmentant progressivement la pression. Le sexe s'enfonca, glissa lentement dans le ventre chaud. Elle passa sa main libre autour de ma taille pour que j'aille plus loin, elle avanca son bassin, repris son élan et recommenca. Elle voulait me sentir au fond d’elle. Je la penetrais plus profondemment, en de lents mouvements puis de plus en plus rapides, de plus en plus profonds, de plus en plus violents. Elle se mordit les lèvres. Elle ondulait de tout son corps. Je sentis ses muscles se tendre, son corps s’arquer, les veines de son cou se gonfler, son souffle manquer. Je continuais à coulisser en elle. Elle poussa un cri déchirant. Je n'y tins plus, j'explosais dans son ventre, par longs jets successifs, jusqu'à lui donner la dernière goûte de mon sperme chaud. Epuisée, elle s’écroula sur moi, j'étais toujours en elle, elle m’embrassa avec fougue, elle m’aimait.

Elle fut totale, amante, secrète, soumise et directive. Elle fut câline, joueuse, féline et attentive. Elle donna et prit sans retenue. Elle usa, abusa de mon corps, de mes sens, de mes forces. Elle m'apprit en quelques heures des plaisirs différents et nouveaux. Elle m'offrit sa bouche, ses mains, son ventre et ses reins. J'étais jeune, j'étais infatigable de son corps. Mes jouissances furent d'abord rapides, violentes. Les siennes vinrent plus tard, elle furent rauques. J'entends encore résonner à mon oreille ses gémissements, ses cris de gorge quant, à l'apogée, je la sentais se crisper et me saisir comme pour mieux me garder. Nous fîmes l'amour longtemps. J'étais maladroit, malhabile. Elle me fit passer pour un amant d'exception, tant elle me remercia de caresses moites, d'enlacements enfiévrés, du plaisir qu'elle ressentait. Elle avoua, ce fut l'une des rares phrases échangées lors de pauses reconstructives, qu'elle s'était découverte, ce petit matin là, perverse et imaginative alors qu'elle ne se connaissait que passive et classique. Je n'y étais pour rien. J'avais juste été là au bon moment lors duquel, je ne sais par quel hasard, par quel enchantement, elle avait voulu être femme.

Au matin avancé, elle me raccompagna au portail. Sa main glissa une seconde sur ma joue. J'étais ému aux larmes, amoureux, transis de bonheur. Un je ne sais quoi dans son dernier sourire, dans son dernier au revoir me fit comprendre de ne jamais chercher à la revoir.







Elle porte une robe de soie legere fortement décolletée et assez transparente. les mouvements de son corps sous le tissu leger sont sensuels. Elle prend un journal et jette un bref regard dans ma direction à chaque page tournée. Son regard s'illumine, puis elle se touche un sein au travers du tissu. Je reprends péniblement mes esprits, mon front perle. Elle vient de recroiser ses jambes très haut et m'observe… Un silence pesant de quelques secondes s'installe ... Elle me sourit, Elle arrange un peu ses cheveux, degage son decolleté qui devient étourdissant. Ses parfums sont enivrants : mon membre durcit de nouveau, à m'en faire mal, elle s'en rend compte et sourit de nouveau.

Une main se pose sur ma jambe. Je sursaute, une sensation intense, je soupire. Je suis tétanisé.
- \"ferme les yeux ! promets-moi de les laisser fermés\"
Puis je n'endends plus rien. Le silence dure une éternité. Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je parviens à peine à déglutir. Je ne peux pas parler. Je sens à coté de moi une bouffée d'air chaud subtilement parfumé ... puis le contact d'une main sur ma peau. Je tremble. Je sens l'autre main venir sur mon ventre. Elle se rapproche de moi. Sa chaleur m'envahit. Mon corps se raidit.
- Détends-toi ! Laisses moi faire ! souffle-t'elle à mon oreille, et ferme bien les yeux.
Puis je sens le fauteuil plier à mes cotés. Je sens des gestes lents. Elle est à côté de moi, près de moi, son parfum est discret, entêtant. Mon sexe est dressé et durci comme une barre. Je sens maintenant sa main prendre la mienne et la diriger vers elle. Je sens une forme arrondie et molle. Je palpe doucement et je sens sous ma main le sein se raffermir, puis un mamelon qui ne cesse de grossir entre mes doigts. Mes mains saisissent maintenant deux genereuses poitrines. Sa respiration devient plus saccadée, mon désir s'accroit. Elle m'attire alors vers elle et plaque sur mes levres son mamelon durci. Je le suce, tout en continuant à pétrir son sein. Je bande à me faire mal. Elle me serre contre elle, haletant legerement, me caressant les cheveux. Je sens ses jambes nues, s'enrouler autour de mes cuisses. Puis elle s'écarte. Ses mains explorent mon corps. Mon ventre, mes jambes, chaque parcelle de ma peau frémit sous ses caresses. Elle saisit mes bourses gonflées. Je n'en peux plus. Elle se met alors à m'embrasser passionément. Je me cambre. Le désir enfle en moi. Je sens sa poitrine au contact de mon sexe. Je caresse ses cheveux, son visage, essayant de deviner ses traits. J'agrippe ses chairs à pleines mains. La sensation me comble. Sa respiration s'accélere encore. Elle dirige alors mon membre, dur comme du marbre vers ses levres intimes. Je monte au paradis. Je suis exténué, vidé, j'ai envie d'elle, je veux la posséder, entièrement.
Je cherche sa poitrine, la touche avec douceur. Je sens son corps s'embraser. Je me cabre vers elle.
- non ! pas tout de suite ! me dit-elle, ..... pas encore !
Elle se dresse vers moi pour faciliter mes caresses et me murmure de continuer.
Je me mets à serrer ses seins entre mes mains, à les tirer pour les sucer encore, pour les frotter contre mon visage.
Elle s'asseoit alors sur mon ventre. Nos sexes sont au contact et je sens sa vulve ruisselante m'humecter. Elle halète de plus en plus fort puis elle saisit mon sexe, le fait de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, elle s'allonge sur moi de toute sa longueur. Je n'en peux plus, j'essaie de relever le bassin pour hâter la pénétration. Elle tient mon sexe à distance, un court moment seulement. Puis elle cède:
- maintenant ! viens !
Elle redescent alors lentement, tout doucement. Je m'enfonce en elle avec un rare délice, je m'enfouis dans sa moite et chaude intimité. La sensation est puissante. Un va et vient s'amorçe comme dans du beurre, ses parois me compriment, me relachent, m'aspirent. Elle gémit lorsque j'atteints ses profondeurs intimes. Je deviens fou. Je m'empare de nouveau de ses seins que je pétris au rythme de ses allées et venues. Je veux accélerer. Elle s'agite de plus en plus. Je la serre contre moi, mon visage niché entre ses poitrines gonflées, je l'étreins désespérément tout en remuant le bassin en même temps qu'elle. Ses gémissements me précipitent. Je sens un corps voluptueux. Suit un furieux corps à corps. Les mains serrées sur ses hanches, je la guide de plus en plus vite sur mon sexe, bercé par ses gémissements, qui montent en intensité au rythme de son bassin, je commence à crier moi-aussi, en même temps qu'elle, tandis qu'un puissant orgasme nous dévaste simultanément et nous laisse pantois. Une vague nous inonde. Les corps se tendent une derniere fois, puis retombent. Nous retrouvons le calme avant de cesser le moindre geste pour nous abandonner sur le lit, repus. Quelques minutes s'écoulent, sans que ni l'un ni l'autre n'éprouve le besoin de parler ni de bouger. J'ai encore les yeux fermés et je brûle de les ouvrir pour la découvrir. Elle m'en empeche
- reposes toi maintenant
et, ne me laissant pas le temps de continuer, elle pose fougueusement ses levres sur les miennes pour la première fois, m'embrasse avec passion, sa langue cherche la mienne, la trouve et s'enroule autour, nos bouches se tordent l'une contre l'autre. Puis elle se retire de moi tout doucement et quitte le lit Je reste immobile, le corps assouvi.

Elle me prend la main et m'emmène dans sa chambre.
- Viens t'allonger sur le lit avec moi
me dit-elle tendrement. Nos corps detendus se posent sur les draps de soie blanche. Je la caresse, doucement. Elle souris. Je dépose un baiser dans son cou, mes levres sur sa peau, lui faisant pousser un soupir. Je me tourne vers elle. Je défais la ceinture de son peignoir, passes ma main sous le tissu, provoquant son emoi, relancant son desir. De nouveau elle s'offre à moi. Je la caresse, et embrasses son cou. Mes doigts se dirigent vers ses parties intimes et les massent en douceur, sa source s'écoule. Mon sexe se dresse sur son ventre, elle frémis d'impatience. Elle relève brusquement sa robe, elle s'ouvre et gémis: J'approche mon sexe bandé de désir, je le plonge en elle, je l'investis, je la fouille de mon membre, elle jouit, tout va vite. Je me retire, elle me retient, je la reprends, je m'inscris en elle. Je lui arrache un cri, puis des gémissements.
Mes coups de reins sont vigoureux. mon souffle sur sa nuque, court, chaud. Chacun de mes mots l'excite davantage. Elle me sens aller, et venir. Elle explose, j'explose aussi, et mon nectar coule entre ses cuises. Je m'effondres sur elle, cherche ses lèvres. Nous échangeons un baiser,

Elle semble abandonnée dans une robe fine, largement echancrée. Une jambe totalement découverte. Le trouble m'envahit. Ses cuisses sont legerement écartées. Le désir reprend possession de moi… Mes sens sont affolés. Elle est belle, exhibée, offerte. Mes mains ne m'obéissent plus et se tendent vers ses epaules découvertes. Je caresse son bras. Le désir me submerge, sa respiration s'accélère. Ses seins dardent leurs pointes sous le leger satin. Imperceptiblement, ses cuisses se désserrent un peu plus, lentement comme une invitation. Ses lèvres humides et chaudes s'entrouvrent. Ma main gauche se glisse sur le satin pour atteindre sa peau, chaude et douce… Je pose un baiser sur ses levres, je les sens fremir. Tout en maintenant ma bouche sur la sienne, je pose ma main sur son ventre et en prends possession. Je la sens tressaillir. La soie de sa culotte se mouille sous mes caresses. Mon désir de la prendre, la fendre, la posséder m'envahit, me submerge… ! Mon membre se durcit un peu plus. Ses hanches louvoient, son torse se bombe. Je me penche vers elle. Ma main gauche s'avance et saisit sa chair pour la caresser longuement. Elle me reponds de ses mains, prends possession de moi, me sourit tendrement. Elle sillonne mon corps, caresses mon ventre, atteint mon muscle, le contournes, puis explore mes bourses gonflées. Le desir ne cesse de monter en moi. Doucement, lentement, je fais glisser une fine bretelle, elle m'aide à délivrer son corps de ces derniers remparts. Ses seins jaillissent, fermes et voluptueux ! Leurs pointes durcies Mes mains en prennent possession, pétrissant, malaxant cette chair rosée. Ma bouche se lance à son tour à la conquête de cette pomme génereuse, tendre et fine… Mes levres s'emparent des bourgeons durcis. les aspirent. Elle gémis. Sa respiration s'accélère. Puis mes doigts tournent autour de sa vulve grande ouverte. Excitée à l'extreme. Je la regarde gouter du plaisir que je lui donne. Je glisse un doigt dans la fente humide , un spasme la saisit, inonde son corps entier telle une décharge électrique. Sa poitrine se soulève furieusement. Elle s'agrippes vers moi.
- Je te veux au fond de moi !
Mes mains saisissent ses hanches… et mon dard, bandé à l'extreme s'introduit doucement…, tendrement… en elle. Il se retire un peu, et replonge un peu plus, jusqu'à l'immersion totale. Ses muscles pressent mon sexe, l'aspirent, le devorent. Nous ne faisons plus qu'un…! Les lents va-et-vients aiguillonnent son désir, irradiant ses reins de poussées de plaisir. Elle s'abandonne complètement, accompagnant mes mouvements…
Ma main caresse ses jambes ou remonte sur son dos. L'autre passe sur son ventre ou s'empare d'un sein ballotté par mes penetrations… Son corps se couvre de frissons. La jouissance atteint son paroxysme. Je retire mon sexe de ce fourreau ardent, elle veux me retenir,
sa croupe se soulève, sa vulve est gonflée de désir, mon sexe gonflé d'envie de la reconquérir. De nouveau je m'enfouis dans son intimité moelleuse. Sans ménagement cette fois, je l'empale et je l'enflamme. Mes mouvements augmentent de puissance, accélèrent…
Elle gémis au rythme imposé par mes assauts de plus en plus vigoureux, de plus en plus rapides… Mes mains emprisonnent ses hanches. Je la tire à moi. Ses parois intimes gonflent et compressent mon sexe tel un étau. Je sens petit à petit monter une rivière. Comme une lame de fond amenant la vague ...je jouis ! elle jouis ! Ma semence l'innonde comme la lave crachée d'un volcan déchaîné… Les salves se succèdent irradiant nos sens. De nouveau, elle s'effondre et laisse son corps mollement glisser entre mes mains. Je murmure son nom, elle murmure le mien… nous nous aimons !

Une journée se passe. Je la trouve le soir dans sa chambre, allongée, nue. Elle est majestueuse de beauté. Je m'approches, je me penche vers elle, je pose mon sexe chaud en contact avec sa peau fraîche. le desir monte de nouveau en elle, brutal, impatient, ses lèvres reçoivent les miennes, se collent l'une contre l'autre. Nos sexes se touchent. Elle supplie
- Je te veux en moi, longtemps
J'introduis ma langue entre ses levres brulantes. Ma main saisit un sein dont la pointe se gonfle. L'autre caresse sa vulve deja ouverte
- Pénètres moi !, me lâche-t-elle presque rageusement alors que je retire ma langue de sa bouche mouillée.
Je lui caresse le visage, tendu sur elle, comme en attente d'un signe, elle ferme les yeux d'attente et de plaisir. J'écarte alors tendrement les cuisses offertes.
- Tout de suite ! Viens !
Elle incline ses reins, se positionne à ma hauteur et prenant mes deux mains les tire vers elle. Puis elle saisit mon membre en érection, l'introduit dans sa vulve avec un halètement. Je ne résiste plus et je m'enfonce en elle. Elle se cabre, gémissant plus fort. Je la maintiens sous moi, je sens le doux contact du satin et la sens frémir sous mes mains. La relevant encore un peu, je m'efface legerement puis reviens à l'intérieur d'elle, savourant l'instant où nous ne faisons plus qu'un, elle sent un puissant orgasme monter progressivement. Elle veut faire durer la jouissance et me repoussse un peu. Mais je reponds par un mouvement de reins pour m'enfoncer plus loin encore. Elle s'offre alors totalement, les cuisses écartées au maximum. Je la pénetre de toute la longueur de mon muscle. Je commence à bouger en elle, lentement,
et, au meme moment lui prodigue de mes levres un profond baiser, capturant sa langue, la maîtrisant, roulant la sienne autour.
Puis je la laisse respirer. C'est elle maintenant qui ouvre une bouche gourmande en signe d'appel. Les langues se rejoignent, se renouent, les sexes se pénètrent de nouveau. Je vais et viens de plus en plus vite dans son intimité, à rythme régulier, elle noue ses jambes autour de moi, pour ne pas me laisser m'echapper. Je me penche pour l'embrasser puis descends sur ses seins et les mordille. Elle se redresse, roule sur le côté avec moi. Elle gémit lorsqu'elle sent mon sexe changer de position en elle, lorsque je fouille les moindres recoins de ses parties intimes. Elle est maintenant sur moi accompagnant mes mouvements, montant et descendant le long de son axe, je la serre un peu plus, puis, remontant le long de son ventre , saisis au creux de mes mains ses deux poitrines gonflées. Nous roulons de nouveau de côté. Je reviens sur elle, reprenant mes profondes penetrations. Le contact des muscles intimes se frottant l'un à l'autre declenche des bouffées de plaisir. Elle sent arriver l'orgasme et se cambre entièrement, la tête en arrière, relevant son bassin pour qu'au moment crucial, je sois au plus profond d'elle, en m'offrant sa poitrine.
Je me tends alors comme une fleche a son arc. Ses cuisses réagissent et se resserrent encore plus fort autour de moi. Nous poussons un cri ensemble, de longs souffles succédent. Elle sent ma sève chaude couler en elle, l'inonder. Nous nous reposons cote à cote. Puis elle veut me reprendre. Elle est assise sur moi. Mon membre se raffermit et en redemande. Elle me redresse, me plaquant la tête contre ses seins brulants,
Je savoure la douce chaleur de sa poitrine tendue, nos sexes sont enmelés. Elle noue alors de nouveau ses jambes autour de moi, bougeant son bassin au rythme de mes pénétrations. les muscles de ses fesses se tendent brutalement et au moment où je vais jouir en elle, un orgasme fulgurant remonte de son bas-ventre Elle laisse s'échapper un cri. Je me laisse couler en elle. Le plaisir redescend, laissant place à l'extase, je retombe sur elle, repus.
- Je t'aime. lui dis-je à l'oreille.