Pendant toute la soirée, il ne cessait de me dévisager. Je décidais d'aller vers lui. L'homme était d'âge mûr, cheveux déjà gris mais plutôt bien conservé pour son âge. Je me suis assise sur le canapé à coté de lui. J'ai senti que ce n'était pas lui qui allait lancer les hostilités.
- il fait chaud ! Vous permettez que je me mette à l'aise ?
je dégagerai un peu mes poitrines ... Je m'approchais de lui. Je lui posai d'entrée un doux baiser sur les lèvres. Quelque peu désarçonné, il me regarda avec des yeux luisants. je ne portais rien sous ma robe de soie légère, Il devait d'en rendre compte et je m'amusais à sentir son regard qu'il essayait de faire discret sur mes seins. Je lui pris doucement la main et la posa sur mon sein. Il le caressa à travers la soie.
- c'est doux ! ... vous ne trouvez pas ?
Il maintenait ses doigts sur ma robe. Je défis un premier bouton.
- Je m'aère un peu, vous permettez ?
- vous voulez continuer ? lui demandai-je
il s'appliqua à poursuivre le travail, degageant mes belles poitrines, lourdes et fermes à la fois, L'entrée en matière était faite. Je lui caressais le torse, puis, plus bas, son entrejambe de plus en plus volumineux. Je lui glissais à l'oreille:
- Je ne vous laisse pas indifférent !
Ma robe de soie épousait la forme de mes seins comme un soutien gorge. Ses doigts glisserent sur le satin avec de longs va et vient puis il descendit sa main plus bas.
- Là sous ma robe, Oui !, … Allez-y, doucement.
Le tissu devenait manifestement mouillé. Je ne me pressais pas. Je commençais à soupirer. Ses caresses devenaient insistantes. Il glissa ses doigts sous la soie, écarta le satin dévoilant ma vulve trempée. et il commença à me masturber doucement, profondément. Je gemissai. Il introduisit son index et le fit coulisser de plus en plus profondemment.
- Vous savez faire ! lui avouai-je en lui glissant un baiser sur les lèvres
- Continuez, c’est très agréable. Vous êtes très doux !
Il alternait caresses profondes et sensuelles.
- Attendez, ma culotte vous gene. tirez-la vers le bas, je veux mieux sentir vos doigts.
C'est alors que j'eu mon premier orgasme, mes premiers frissons. Je lui pris alors la main pour qu'il continue à me masturber Puis, je le regardai avec insistance:
- Je suis prête ! Je sens que vous aussi !
- Je suis toute ouverte ! Venez !
Je l'allongeai sur la banquette et je dirigeai son sexe vers ma fente trempée. Sa pénétration fut absolument divine ! Je l'encourageai avec passion
- Je vous sens bien ! Mettez le moi bien profond !
- Je vous sens fort, puissant, fougueux. Donnez moi vos lèvres !
- Laissez vous aller, je suis à vous.
- Allez-y ... encore ... OUIII ! .... Oh que c'est bon !
- Venez, emmenez moi dans votre chambre ! La nuit est à nous !