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samedi 13 décembre 2025 - 09h35rech / rep
vnhsd3-Eststore@1

vnhsd3-Eststore@1
(taille reelle)
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Je passais dans la rue, et dans l'encadrement d'une porte, une femme ... aguicheuse ... en tenue légère, la trentaine. Brune, provocante. Elle me sourit. Je lui souris. Elle m'invite, Je rentre dans son alcôve. Je ferme ma porte, et la rejoint. Étonnant la vie. Elle se déplace avec toute la sensualité de son corps. Elle me sourit étrangement, s'assoit près de moi, me fixe un bon moment. Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté, Je ne réponds pas et déglutis difficilement. Je suis subjugué que tout soit si simple. Elle me déshabille, vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir. Elle me caresse et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques. Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins, Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir. je la fouille. Elle se lève devant moi, me regarde tendrement, pose un préservatif sur mon sexe, me darde du regard puis s'allonge sur le lit, ouverte, provocante. Je me penche vers elle. Elle dirige mon sexe. je m'enfonce, je me perd en elle, un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde, un frottement délicat, ma verge fouille son ventre, se frotte, se soulève, redescend, ondule, se tend en elle. elle me tient profondément serré en elle. Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Nous lançons des mots sans suite, juste pour apaiser le silence de notre jouissance. Elle se retourne vers moi. Ses yeux sont gourmands. Elle sourit. Nous nous balançons l’un en l’autre, nous puisons tous les instants. Elle avale mon sexe et joue de ma résistance. Je vais éclater en elle. Je sens chacune de ses muqueuses s’occuper du plaisir de mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. elle me serre et me dévore. Un trait. Un trait puissant et massif. Un trait plein monte. Un frisson. Elle le sent, m’enfonce en elle loin très loin. Je me rapetisse. Le trait m’échappe .... Je lache tout. J'ouvre les vannes. je me libère .... sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je gicle en elle, par spasmes riches et généreux. Elle reçoit mon offrande liquide Elle me suçe, je me vide au fin fond de son ventre. Elle suce tout, ne gâche, ne perd rien. C’est insoutenable. Elle me prend par la hampe et frotte contre ses lèvres mon gland qui trempe dans mon sperme. Elle avale presque tout mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. C'était un soir d'été