Je passais dans la rue, et dans l'encadrement d'une porte
une femme ... aguicheuse ... en tenue légère.
la trentaine. Brune, provocante. Elle me sourit. Je lui souris.
- Bonjour ! ... de passage ?
- Oui. juste une nuit. Cette rue est tranquille.
- Venez prendre un verre ?
- Si vous voulez
- Entrez ! Je vous attends. La porte est ouverte.
Je ferme ma porte, et la rejoint. Étonnant la vie.
- Bonjour ! Entrez. Installez-vous. Je vous offre un whisky ?
J'acquiesce,
elle se déplace avec toute l’élégance de son corps. Elle me sourit étrangement.
Elle s'assoit près de moi, me fixe un bon moment
et me déclare tout de go:
- Je suis sûr que vous vous demandez si nous n’allons pas baiser ?
Je ne trouve pas mes mots.
- Ai-je tord ? Vous etes inquiet, il me semble. Votre voix n’est plus aussi sûre que tout à l’heure.
Je ne peux plus articuler (ma défaite),
- J’ai des seins qui te plaisent, j’aime sentir qu’on me pénètre,
- j’aime qu’un sexe d’homme s’empare de mon ventre.
Elle dégrafe sa robe, descend la fermeture sur le côté,
- Nous allons baiser ! Tout de suite ! Le veux tu ?
Je ne réponds pas et déglutis difficilement. Je suis subjugué que tout soit si simple.
- Vais-je plus loin ?
J’affirme de la tête
- Tu me désires car je suis belle.
Elle me déshabille, vérifiant à chaque pas nouveau la certitude de mon désir.
- Mais .... Tu bandes ! ... comme un cheval !
Elle me caresse et m’embrasse et me suce. Par petites touches féeriques.
Ma bouche cherche sa bouche, je cherche son corps, cherche ses seins,
Nous sommes nus l’un à l’autre. Je caresse ses seins. Ils sont fermes dans leur désir.
je la fouille. Elle se lève devant moi, me regarde tendrement,
pose un préservatif sur mon sexe.
- Tu veux toujours ?
Elle me darde du regard puis s'allonge sur le lit
- Viens ! J'ai envie de toi !Pénètre moi ! ... Fort ! Violemment !
- Je veux te sentir dans mon ventre ... Je te veux en moi. Viens.
Je me penche vers elle. Elle dirige mon sexe. je m'enfonce, je me perd en elle
un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde,
un frottement délicat, ma verge fouille son ventre,
se frotte, se soulève, redescend, ondule, se tend en elle.
elle me tient profondément serré en elle.
Elle me suce, m’aspire, me tire, me pousse en jouant de mon corps.
Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur. Nous lançons des mots sans suite
juste pour apaiser le silence de notre jouissance.
Elle se retourne vers moi. Ses yeux sont gourmands. Elle sourit.
Nous nous balançons l’un en l’autre, nous puisons tous les instants.
Elle avale mon sexe et joue de ma résistance. Je vais éclater en elle.
Elle me regarde me dit
- Jouis ! vite ! ... Je veux garder un souvenir de toi dans mes chairs.
Je sens chacune de ses muqueuses s’occuper du plaisir de mon gland.
Elle s’enroule, se défait, plonge se retire. elle me serre et me dévore.
Un trait. Un trait puissant et massif. Un trait plein monte. Un frisson.
Elle le sent, m’enfonce en elle loin très loin. Je me rapetisse.
Le trait m’échappe .... Je lache tout. J'ouvre les vannes.
je me libère .... sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise.
Je gicle en elle, par spasmes riches et généreux.
Elle reçoit mon offrande liquide Elle me suçe, je me vide au fin fond de son ventre.
Elle suce tout, ne gâche, ne perd rien.
C’est insoutenable. Elle me prend par la hampe
et frotte contre ses lèvres mon gland qui trempe dans mon sperme.
Elle avale presque tout mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée.
C'était un soir d'été