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samedi 13 décembre 2025 - 06h02rech / rep
-prost-13-andrallong09-01

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(taille reelle)
Ses chairs sont douces et chaudes ()
Ses chairs sont douces et chaudes. Elle absorbe mon gland, elle s'empale sur moi, je me perds en elle. C'est un glissement onctueux, une penetration lente. Elle suçe ma verge comme une sucrerie. un frottement délicat irisé de plaisir. Elle monte et descend sur mon sexe, rythmant les mouvements au gré de son plaisir, c'est suave, je suis au paradis, ma queue bien enfouie dans son ventre chaud. Le spectacle de ses seins lourds ballottant au-dessus de ma tête ne tarde pas à renforcer ma vigueur ! Elle le remarque
- je te sens bien dur en moi !
Elle soulève son bassin puis se laisse retomber en poussant en avant pour mieux sentir mon penis investir son ventre. Je vois ma verge tantot enfoncée, tantôt presque sortie, nos ventres l'un contre l'autre. Empalée à fond elle remue ma queue pour bien me sentir en elle tout en me fixant de ses yeux brillants avec une expression mi-souriante mi-grimaçante, elle m'encourage !
- regarde bien mes seins ! Prend les ! Caresse les !
Elle se penche vers moi. Ses yeux sont magnifiques. Elle sourit et s’empale tout au fond. Elle se frotte, se soulève, redescend. Elle ondule et fait grossir mon membre qui se tend en elle. Elle l’aspire, le tire, le pousse en jouant de son corps. Elle râle de plaisirs, je gémis de bonheur.
Nous nous balançons l’un dans l’autre, nous savourons chaque instant.

Sa frénésie redouble. Elle est en sueur, scintillante de son abandon. Elle veut jouir, vite. Elle avale mon corps, lape avec sa vulve ma queue dressée. Chacune de ses papilles flatte doucement mon gland. Elle s’enroule, se défait, plonge, se retire. Elle me serre et me dévore, littéralement. Je m’enfonce en elle, loin, très loin. Elle se raidit et, dans un long spasme, se laisse aller à l'orgasme. Elle se déchaîne, ses seins ballottent de droite à gauche, elle se met à gémir, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement elle se met à vibrer en une série de spasmes ininterrompus, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Je n'en peux plus, moi non plus. Son corps convulsé déclenche mon propre orgasme: Un trait monte, puissant et massif. Un frisson. Elle le sent. Le trait m’échappe ... je me libère en elle, sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je sens mon sperme gicler par saccades au fond de son ventre. Je gicle par spasmes riches et généreux. Elle suce et aspire ma queue qui se vide. Elle suce tout, ne gâche rien, ne perd rien. Et caresse mon gland qui trempe dans mon sperme. Un immense sentiment de bien être m'envahit ! Je suis comblé. Elle s'affaisse sur moi, je serre tendrement son visage contre ma joue. Nous restons pantelants et ruisselants pendant un bon moment, sa tête dans le creux de mon épaule, assouvis et heureux,