C'était une soirée mondaine, je m'en souviens tres bien, la musique était douce. J'étais contre lui, et à un moment, je sentis ses mains s'affermir sur mes hanches. Il accentua la pression sur mon bassin, et je sentais son souffle chaud dans mon cou. Devais-je si vite lui succomber ? Cétait un bel homme, plutôt bien bâti, mais je n'avais pas prévu de succomber si vite. Je résistais tant que je pouvais, mais je le laissais quand même m'embrasser dans le cou. Glissant ses mains le long de mes épaules, ses paumes emprisonnerent très doucement mes seins et, de ses pouces, il se mis à caresser lentement mes petits mamelons fermes et souples. Tout en continuant à me caresser un sein, je l'ai senti passer son autre main plus bas, entre mes jambes. Je tentais de le repousser, gardant mes cuisses bien serrées mais sa main se faisait de plus en plus pressante sur mon intimité. Je continuais de mollement résister, mais sa manière à lui de me contrôler m’excitait bien plus que je ne le pensais. Je réalise en fait aujourd'hui que je le désirais ardemment. Je le désirais de plus en plus fort. Il savait ce qu’il faisait, il le faisait bien et je succombais petit à petit. Ce beau mâle était viril, gâté par la nature. Il dégageait quelque chose. J'étais en feu. Il me tenait. J'étais déjà à lui. Il me voulait et, de plus en plus, je le voulais.
Pourquoi se débattre ? Je n’en pouvais plus, j'avais chaud, mon entre-jambe suait d’excitation… J'étais en train d'abdiquer. Je m'abandonnais. Ses mains effleuraient maintenant mes rondeurs laiteuses, descendant au niveau de mes hanches, puis remontant lentement pour venir se caler sous mes bras. Il caressait les pointes de mes seins, et me mordait doucement le cou. Je ne portais pas de soutien gorge et il en profitait. Il se pencha vers moi et l'intensité de mon odeur de femme semblait l’exciter de plus en plus. Au travers de ma robe, je sentais pointer ses propres reliefs ce qui ne faisait que m'exciter davantage. Très clairement, je me sentais prête à m’ouvrir à lui. Comme ses mains descendaient le long de mon dos, puis remontaient sous ma jupe à la recherche d’autres endroits parfumés : J'agitais mon bassin, je glissais une main derrière moi et testais ses reliefs indécents et explicites, je les caressais et les massais doucement. Je les jugeais tres prometteurs. Bestial, animal, il me serrait contre lui, me faisant sentir de manière non équivoque la dureté de son désir.Je ne voulais pas que ça s’arrête. J'en voulais plus ! D'un mouvement rapide, je le fusillais du regard pour lui faire comprendre que j'étais prête ! Il m'entraina alors vers un coin plus sombre, à l'abri des regards, il relèva ma jupe, descendit discrètement son pantalon. A bout de force, je le laissai présenter son sexe dur contre ma vulve ouverte et déjà trempée. je l'ai alors senti s'introduire en moi, doucement d'abord, par glissades subtiles, puis plus profondément, il ressortit et rentra de nouveau dans un onctueux va et viens, il était violent et doux à la fois, m'agrippant les hanches pour me garder à sa merci. Je n'en pouvais plus. Je gémissais de plaisir, de désir. J'avais de plus en plus chaud. Je l'agrippai par les épaules comme je pouvais pour ne pas crier … Je gémissais pendant qu'il me mordillait le cou, il repris possession de mes seins, les serra. Il ne résista pas très longtemps. La fusée partit ! ... et il gicla au fond de mon ventre, abondemment, par jets successifs. Il s'immobilisa, s'affaissa sur moi. Je sentis son sexe ressortir un moment dans un délicieux bruit de succion. Puis Il se rapprocha de nouveau, pris mon visage à deux mains et me donna un baiser tendre tout en faisant pénétrer son sexe qui se dressait à nouveau et qui reprit toute sa vigueur. Je sentis des faiblesses dans mes jambes, Je m'accrochais à son cou et me collais contre lui. Avec délicatesse, sa main remonta le long de mes jambes, glissa entre mes deux cuisses et ce fut de nouveau une pénétration amoureuse ample et suave. Il s'enfonca loin, tres loin, glissant amoureusement entre mes muqueuses. Je voulais le garder en moi longtemps sans bouger. Le rythme fut d'abord calme, lent. Nous nous murmurions à l'oreille des mots sans suite, puis nous avons accélérions la cadence. Le plaisir monta de plus en plus fort, et ce fut l'explosion simultanée. Il finit par se laisser aller lui aussi et jouir en moi dans un râle aussi viril que furent nos ébats. Le coup de tonnerre passé, nous restions réunis, nos bras entrelacés, sans un mot, savourant ce moment d'intense osmose, nos deux sexes baignant dans nos abondantes sécrétions. Ce soir la, je me suis sentie pleinement femme, j'ai adoré sa virilité. Nous nous sommes quittés après un long baiser. Je ne connais pas son nom, je ne l'ai jamais revu