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samedi 13 décembre 2025 - 04h27rech / rep
mat-12-0debmary

mat-12-0debmary
(taille reelle)
un soir avec Mary ()
Nos corps se rapprochent et maintenant se frôlent. Nous sommes maintenant joue contre joue. Nos bras s’enlacent plus étroitement, je me sens bien contre elle, elle doit deviner les premiers effets de mon trouble contre sa cuisse. Les yeux fermés, elle se laisse aller au lent mouvement de la musique, Mes mains sont plus fermes dans son dos et sur sa hanche. Je dépose mes lèvres sur son front, et les fait glisser progressivement vers sa joue. Contact avec le coin des lèvres de Mary. Elle ne réagit pas, garde les yeux fermés. Nouveau contact, elle tourne légèrement la tête et je sens ses levres contre les miennes. Nos lèvres s’écartent un moment, puis, se rejoignent, augmentent leur pression, Nos langues se cherchent, se trouvent, se goûtent, s'enroulent. Je presse maintenant ma cavalière contre moi. Elle, se pend littéralement à mon cou. Elle se serre contre moi, je suis submergé par un désir violent. Je commence à caresser le dos de Mary, puis sa nuque. Je serre la jeune femme contre moi, elle est toujours accrochée à son cou,
Je l’emmène discrètement dans un coin plus sombre au fond du salon. Elle me laisse l'emmener Nos bouches sont toujours scellées l’une contre l’autre. Je caresse son front, je glisse mes mains sur son visage et ses joues, le long du cou Sa peau est chaude, son contact apaisant et tranquille. Je glisse mes doigts dans son décolleté généreux, en écartant doucement le tissu, Je détache un, puis deux boutons, elle ne réagit pas. Mes doigts rencontrent une douce dentelle qui abrite une poitrine ronde et ferme. Je glisse ma main sous la soie du corsage et je suis la courbe du sein, Je fais courir le bout de mes doigts sur le satin. Sa respiration saccadée soulève la poitrine. Mes doigts glissent entre la peau et le tissu, sentent une pointe dressée par l’excitation. Je dégrafe les boutons qui retiennent encore les pans du chemisier et les écarte. Je sens Mary, visiblement, offerte, impudique. Elle se serre contre moi. Je glisse ma main derrière son dos, dégrafe son soutien-gorge et libère ses poitrines qui s'affaissent. Mary se presse contre mon torse pour prolonger la caresse. Ses joues rougissent, entrebaillant ses paupières, elle me regarde, gourmande, reconnaissante. Je glisse mes mains sur sa longue robe fendue, je m'immisce dans l'ouverture en haut de sa cuisse Je remonte ma main, franchis la limite des bas, entre au contact d'une peau douce, tendre et chaude. Elle se serre plus fort contre mon cou, elle semble approuver la tournure des événements. J'atteins le fin tissu d'une culotte de soie et commence à le tirer vers le bas. Mary me regarde un moment d'un regard intense, se serre contre mon cou, commence à se tortiller Et je sens la fine lingerie glisser lentement le long de ses cuisses, apparaître sous la jupe, enfin se retrouver sur le sol. Je ne me tiens plus. Son ventre contre le mien, comme si elle testait la vigueur de mon désir Je retrousse sa robe, caresse la peau chaude de ses cuisses et de son ventre. Nos corps se cherchent. Son baiser est brûlant, avide et gourmand. La piece est vide
Mary leve une de ses jambes contre moi, je la saisis et la serre contre moi. Elle se retrouve offerte, les cuisses écartées. Elle plonge alors la main vers le sexe qu’elle sait trouver là, juste sous la fine toison. Elle y pose une caresse de braise, je plante mes doigts dans son nid suintant et chaud, fouillant entre les lèvres trempées et distendues. Sous l’assaut, Mary se cabre, projetant en avant son bassin, comme pour mieux sentir les doigts qui la fouillent. Elle empaume ses seins, les presse l’un contre l’autre, crispe ses doigts dessus. Elle se sent presque hystérique, libérée de tabous qui la paralysaient. Elle m'attrape par la chemise, recherche ma bouche pour regoûter ma salive. Elle glisse fébrilement sa main dans mon pantalon. ses doigts entrent en contact avec le membre congestionné. Elle le saisit, le jauge, le branle lentement pour mieux le sentir vivre sous ses doigts. Elle le regarde avec envie, ferme les yeux et le pose sur son ventre, malaxant les testicules. Elle manque presque de respiration sous l’émotion et l’effort. Elle écarte ses cuisses pour l’accueillir. Mary plonge alors son regard dans le mien, dit oui de la tête et guide mon sexe vers le sien. Je m'enfonce en elle, je glisse lentement dans le ventre chaud. Le regard de Mary devient vitreux, elle presse ma taille pour que je m'enfonce encore plus loin, elle avance son bassin, reprend son élan et recommence. Elle me sent maintenant arriver au fond d’elle. Je commence de lents mouvements, puis de plus en plus rapides, de plus en plus profonds. Elle se mord les lèvres, ondule de tout son corps pour amplifier le plaisir. Je me concentre pour faire durer le plaisir mais je sens monter à travers quelques tremblements l’orgasme de la jeune femme, Je sens ses muscles se tendre, son corps s’arquer, les veines de son cou se gonfler, son souffle manquer, ses yeux se révulser comme si elle allait s’évanouir. Elle pousse un cri déchirant qui déclenche ma propre jouissance et j'explose dans son ventre et continue à lui donner jusqu’à la dernière goûte de mon sperme chaud.
Enfin, épuisée, Mary s’affaisse, Je suis toujours en elle, mais me retire dans un agréable bruit de succion. Elle m'essuie avec un mouchoir et me sourit avec tendresse et gratitude.