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samedi 13 décembre 2025 - 04h28rech / rep
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(taille reelle)
la douce lingerie de Mme Granger (6) ()
Seule dans sa chambre, Mme Granger attendait souvent un mari trop absent et semblait se morfondre ce jour là au premier étage. J'étais moi aussi seul au premier étage, elle me vit sortir de ma chambre, Elle ouvrit la porte en grand et m'appela. Je tournais doucement la tête, et vit cette belle femme à moitié dévétue qui se tenait appuyée contre le chambranle de la porte. Mme Granger était une belle femme, terriblement attirante et sensuelle. Hypnotisé, je commençais à m'avancer vers Mme Granger qui s'approcha de moi. Elle me remonta maternellement mes habits, puis elle prit délicatement ma main qu'elle porta à son visage pour se caresser la joue. Elle se rapprocha de moi pour me sussurer quelques mots à l'oreille :
- Julien, c'est mon anniversaire aujourd'hui, Tu es seul ... moi aussi
- tu vas me faire plaisir ... et je vais te faire plaisir, Viens !
Elle m'attira aussitôt dans sa chambre et referma la porte derrière nous. Elle me plaça doucement contre le mur et se colla langoureusement à moi, caressant mon visage de ses lèvres, de sa bouche, de son souffle, de son nez, humant chaque parcelle de ma peau pour s'imprégner de mon odeur, pour s'exciter encore davantage, elle me caressa le torse, le ventre, puis desserra ma ceinture. Elle glissa une main dans mon pantalon, prit dans sa main mon membre turgescent et commenca un lent et délicat massage. La douce caresse féminine sur mon sexe endolori lui apportait apparement calme et réconfort. Inconsciemment, je recherchai le contact de la peau de Mme Granger que je n'avais jamais songé à pouvoir un jour toucher. Je cherchais à remplir mes poumons du parfum capiteux et envoûtant de cette femme, mélange étrange de fleurs, de chair, de désir, et de passion. Je posai mes mains sur les épaules dénudées et articulai un début de phrase :
- Madame Granger, je voudrais vous...
Bien que toute à son émoi, elle avait bien compris ce qui se passait dans ma tête. Elle posa un doigt sur ma bouche pour me faire taire. Puis sa main se posa et caressa ma joue. Son pouce se mis à glisser délicatement, sensuellement sur mes lèvres. Ce pouce se fit plus pressant afin d'entrouvrir mes lèvres et de pénétrer dans ma bouche. Mais au moment où je succombais, elle se plaqua d'avantage contre moi et ce sont ses lèvres qui finirent d'ouvrir les miennes, c'est sa langue qui s'introduisit dans ma bouche. Ce fut un baiser sauvage, profond. Nos lèvres s'écrasaient les unes contre les autres dans obcène bruit mouillé, nos langues se recherchaient, se repoussaient, s'enlaçaient à nouveau.
C'était un ballet violent, animal, sauvage et beau à la fois, mélangeant notre souffle, notre haleine, nos salives. Elle semblait au paradis dans les bras de ce jeune homme qui l'enlassait si fortement. Elle en profita pour se frotter contre ma protubérance indécente. Instinctivement, je fis balancer mon bassin pour amplifier ma caresse appaisante. Nous étions à bout de souffle, à la limite de l'asphyxie, Mme Granger dégagea ses lèvres de ma bouche, planta ses yeux dans les miens. C'était un regard de feu, de passion, un regard de lionne en furie, de tigresse en chaleur, et c'est en feulant qu'elle me murmura :
- Je veux te faire jouir, te sucer, te pomper, je veux te vider de ton élixir de vie mon amour.
Sans attendre elle m'entraina vers le lit me demandant de m'allonger. Elle se laissa couler le long de mon corps, me caressant de toute la dentelle de sa combinaison. Sa douce main continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait mes bourses pleines. Déjà le souffle chaud de ma divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de mon sexe. Elle posa d'abord ses lèvres sur mon gland violacé puis l'embrassa délicatement. Mon premier frisson l'encouragea, et du bout de sa langue elle vint effleurer ma muqueuse. Les spasmes qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient, et c'est mon sexe entier qu'elle lécha, sur toute sa longueur. Elle montait, descendait, sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle. Les tréssautements, les contractions de cette verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point. Mon sexe était tout luisant de sa salive, Les caresses de ma sublime maîtresse, m'avaient amené à la limite du cataclysme. Je me contractais pour ne pas jouir immédiatement J'attrapais la tête de Mme Granger pour bloquer son mouvement de va et vient le long de mon dard.
- Madame Granger ... je ... je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Elle dégagea sa tête, enserra fortement la base due mon membre pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers mon visage.
- Julien, mon chéri, tu vas me donner toute ta sève, au fond de ma gorge.
Et elle engloutit aussitôt le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Elle voulait se faire jouir immédiatement. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait mon dard accumulant sa salive pour mieux coulisser sur mon sexe et pour se préparer au déferlement de mon sperme qui s'annonçait proche
- Madame Granger !
Et dans mes feulements, mes soupirs, mes ronronnements ... je déchargeai tout ce que je pouvais avoir dans ses bourses, Mme Granger resserra ses lèvres à la base de mon gland pour ne rien perdre de mon nectar qu'elle semblait déguster, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance qu'elle n'avait encore jamais connu buvant littéralement ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Et pourtant, pour elle, un véritable hydromel, un nectar. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de ma tige brûlante encore dure dans sa bouche, elle se délectait de cette masse de chair si suave, elle n'en finissait pas de sucer, de pomper ma verge bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, Madame Granger m'adressa un regard langoureux, à moi, son jeune amant pour me remercier de l'avoir ainsi abreuvée. Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de ma délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux.
Je recherchais mon souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti ma salive, je regardais Mme Granger à mes genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de ma sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualité. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore mon sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme assouvie.

Je pris Madame Granger par les épaules pour la relever, je l'embrassais à pleine bouche, de toute la fougue de mes dix-huit ans et de toute la passion qu'avait fait naître en moi la divine fellation prodiguée par ma merveilleuse initiatrice. Ce baiser était moins sauvage, moins barbare que le premier mais beaucoup plus intense. Nos lèvres ne se dévoraient plus mais s'épousaient profondément, nos langues ne se repoussaient plus mais s'enlaçaient, s'unissaient intimement. Le goût de cette bouche aussi était différent, plus fort, plus chaud, plus entêtant et tellement plus excitant.
Ce baiser se prolongea car, tous deux, nous voulions profiter de cette union hors du temps. Ce baiser nous calmait aprés cet orgasme violent. Il nous permettait de savourer la pleinitude d'une telle jouissance. Mais ce baiser nous redonnait des forces, nous revitalisait, nous revigourait
et nous étions prêts pour une nouvelle étape dans la découverte du corps de l'autre. Ce baiser déclenchait en chacun de nous l'envie de s'unir à l'autre pour ne plus former plus qu'un seul corps ! Déjà je ressentais dans mon sexe les effets de nos caresses buccales,

Je fis pivoter Madame Granger pour la plaquer contre le mur. Je m'écrasais un peu plus contre elle, glissant à nouveau une cuisse dans son entrejambe. Nos bouches ne s'étaient pas encore séparées et nos souffles commençaient à se faire court. On n'entendait plus alors que nos soupirs, nos halètements et des bruits mouillés de nos lèvres qui se séparaient pour s'unir à nouveau. Nos regards étaient chauds, intenses, brûlants du désir de posséder l'autre. Ma cuisse comprima davantage la vulve de Mme Granger, écrasant son clitoris tendu. Ma main coincée par le mur chercha à s'aventurer plus profondément entre ses deux masses charnues. Ses fesses se faisaient profondément fouillées, ses seins virilement malaxés. Elle m'avait fait pénétrer dans sa chambre, moi, un jeune garçon et la voilà dans les bras d'un amant vigoureux qui prenait possession de tout son corps. C'était véritablement un homme puissant qui allait la pénétrer, elle, dans un instant.

La chambre était envahie de bruits de bouche, de succion, de soupirs. C'est moi qui rompit notre étreinte pour murmurer à son oreille :
- Madame Granger, je...je voudrais faire l'amour...
Elle s'aggripa alors encore plus fortement à moi
- Oui, Julien, J'ai envie de toi, moi aussi, j'ai envie de te sentir dans mon ventre ...
- Viens mon ange, viens me faire l'amour !
Elle disait tous ces mots pour s'exciter, pour m'exciter, mais aussi pour me rassurer et me mettre en confiance. Elle aussi désirait ardemment faire l'amour avec moi, être possédée par moi. Debout Contre le mur de sa chambre, de la chambre conjugale, tant pis pour son mari, il n'avait qu'à pas être en retard. Un corps de déesse aux formes harmonieuses, sublimes, parfaites. Des seins que l'on a envie de caresser, d'effleurer tant la peau parait douce et délicate, une taille que l'on voudrait enserrer de ses mains juste au dessus de hanches .

Elle écarta sa culotte trempée, et la roula sur le coté de ses grandes lèvres échauffées pour dénuder sa vulve et rendre sa chatte brûlante accessible a mon bâton de feu qu'elle tenait toujours en main. J'étais subjugué par tant de grâce, de douceur, émerveillé par la beauté du corps de mon initiatrice. Elle se hissa sur la pointe de ses escarpins et amena mon mat à l'entrée de sa chatte. Ondulant de bassin, elle enduisit mon gland de ses sécrétions intimes le caressant de ses lèvres vaginales. Elle promenait l'extrémité de mon sexe sur toute la longueur du sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. Je n'en revenais pas, c'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Puis, brusquement, Madame Granger me plaqua fermement contre elle. S'accrochant a mes épaules, elle me souffla à l'oreille :
- Viens, Mon amour, maintenant vas-y !
Ce fut comme un coup de fouet pour moi et je propulsai brutalement mon bassin vers l'avant à la rencontre du pubis de ma maîtresse, la clouant littéralement contre le mur. Ce fut un véritable coup de butoir qui fit hoqueter Lea, lui coupant le souffle. Elle s'aggripa plus étroitement à moi,
essayant de retrouver ses esprits le moment de surprise passé. Je m'affolai un peu :
- Vas-y, bouge et ne t'arrête pas !
Madame Granger murmurait ses encouragements en me caressant amoureusement les cheveux. Elle était bien. Ma pénétration brusque l'avait surprise, c'était un véritable envahissement de son vagin par mon pieu de chair. Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions que ma pénétration se fit facilement et que mon gland put buter au plus profond de son ventre. Elle était remplie, comblée de ce gourdin planté en elle.
Elle enfonca son visage dans le creux de mon épaule et me souffla à nouveau :
- Viens, Julien, baise moi.
Le souffle chaud de ma maîtresse dans mon cou, ses baisers mouillés sur ma peau, ses tendres caresses dans mes cheveux me rassurèrent et j'entamai un lent retrait de mon membre durci. Sur mon épaule Mme Granger se crispa :
- Non reste !
Et je replongeai à nouveau dans la chatte moelleuse de Madame Granger qui eut un nouveau soupir de plaisir. Je me mis à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Les râles de ma maîtresse me firent comprendre que j'avais vu juste, il me fallait combler cette femme merveilleuse. Je voulais lui donner tout le plaisir qu'elle m'avait procuré. Mes mouvements se firent plus amples, plus profonds pour le plus grand ravissement de mon amante qui maintenant ronronnait comme une chatte.

Pour moi, c'était de nouvelles sensations. Mon sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux. Mon membre raidi coulissait profondément dans le vagin de ma sensuelle maîtresse, il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Je sentais ma barre rigide complètement enserrée dans son ventre chaud bien qu'étrangement libre d'aller où elle voulait. Je continuais mes va et vients réguliers, méthodiques qui extasiaient Mme Granger. Le goût de sa peau que je lapais comme un petit chat au creux de son cou, derrière son oreille, le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice pour moi. Madame Granger n'était pas chaude, elle était brûlante.
J'étais en nage et une chaleur torride irradiait du corps de ma maîtresse, j'enfonçais mon sexe dans l'antre d'un volcan, ma queue plongeait dans un véritable flot de lave en fusion. Je devenais fou. Les sensations qui me remontaient de l'intérieur vers mon cerveau me faisait totalement perdre le contrôle de mes actes. Chaque partie de mon corps semblait évoluer pour son propre compte. Ma bouche courait sur tout le visage et le cou de mon égérie, dégustant chaque parcelle de sa peau, buvant chaque goutte de sueur. Mes lèvres dévoraient à nouveau celles de ma maîtresse, mes dents jouaient avec les mamelons turgides de mon initiatrice. Mes mains couraient elles aussi frénétiquement sur le corps féminin pour le caresser, lui pétrir les seins ou les fesses mais surtout cherchaient la position pour posséder totalement ma partenaire et mieux investir de mon pieu ardent le puits d'amour de Madame Granger.
Un seul mot d'ordre pour moi, jeune mâle, contrôler les spasmes de mon sexe pour prolonger le plaisir, pour honorer ma charnelle déesse, pour combler ma muse volupteuse. Et je me consacrais entièrement au culte d'amour dans la douce caverne aux délices, la pénétrant de plus en plus profondément, la faisant soupirer de plus en plus bruyamment. La gémissante Madame Granger n'en finissait pas de râler sous mes perverses caresses internes. Décidément, je me révélais être un vrai démon. Je la pénétrais, la forçais à s'ouvrir à mes profondes avances. Son vagin était un four dégoulinant. Mon pieu de chair, qu'elle imaginait monstrueux, lui ravageait les entrailles puissament. Sa tête roulait sur mes épaules, son souffle était court, ses narines palpitaient au rythme de chaque lente progression de cette masse envahissante. Elle ne se souvenait pas d'avoir été aussi bien possédée par son mari. Chaque nouvelle poussée la précipitait au bord du gouffre de la jouissance. Une nouvelle bourrade plus ample de son amant lui déclencha un orgasme qui la tétanisa contre le mur. Je lui avais totalement perforé le ventre et venait de lui écraser le clitoris avec son pubis. Cette nouvelle vague de plaisir l'amenait encore plus haut vers les sommets de la jouissance. Elle me mordit l'épaule pour ne pas hurler,
mais ses vagissements étouffés témoignaient de la force de ce maelstrôm. J'avais compris ce qui était en train de se passer mais je continuai mes mouvements ondulatoires accélérant la cadence pour amplifier la jouissance de ma maîtresse et aboutir à son plaisir.

Mme Granger voulait que j'explose maintenant au plus profond de son ventre. Elle s'aggripa a mes épaules, et soulevant sa jambe gauche, elle la passa autour de ma hanche pour que je la pénètre encore plus loin, encore plus fort. Ma divine initiatrice contracta ses muscles internes pour enserrer encore plus ma colonne de chair qui ravageait ses muqueuses les plus sensibles. Elle y mit toute son énergie comme si elle voulait totalement écraser cette hampe monumentale dans l'étau de sa chatte. Le contact du bas soyeux, la caresse de sa chair tendre de l'intérieur de la cuisse de ma partenaire sur mes fesses m'électrisèrent. La pression de la gaine brûlante emprisonnant mon gland fut le signal de l'assaut final du ventre de Madame Granger.

Tel le bûcheron voulant abattre le plus gros arbre de la forêt, je bandai mes muscles et de toute la puissance de mes reins, je me ruai dans cette chatte baveuse comme si je voulais faire traverser le mur à ma partenaire. je lui pilonnais son con torride pour la propulser jusqu'au plafond. j'hurlais des rales d'effort à chaque violente poussée, j' implorai le nom de ma maîtresse à chaque coup de butoir. J'étais devenu un barbare ravageant l'Empire Romain, un vandale dévastant Rome, la ville éternelle. j'étais un guerrier sauvage violant la belle patricienne offerte à ses formidables assauts. Mme Granger n'était qu'une frèle poupée emportée dans une folle chevauchée, ballotée par un étalon furieux. Elle n'en pouvait plus, son sexe était violé, sa chatte défoncée, son ventre ravagé, son con explosé. Profitant de mes poussées fulgurantes elle avait passé ses deux jambes autour de ma taille, s'empalant davantage sur ce pieu béni des dieux de l'amour. Je lui avais empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de ma proie et la pénétrer jusqu'à la garde.
Madame Granger était prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et elle jouissait. Elle était térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de ses entrailles une horde de chevaux sauvages investissait son corps, se répandait dans la plaine profonde de son ventre. Leur galop résonnait jusqu'au bout de ses seins que la bouche vorace de son amant déchiquetait à pleine dent. Elle hurlait mon nom, me suppliait d'arréter, me priait d'aller plus fort.. Elle gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, ralait ses orgames. C'était comme une vague qui l'emportait, elle surfait sur cette vague ne révant que de plongée dans le bouillon d'écume du plaisir, elle atteignait l'orgasme absolu.
Enfin le jet puissant de ma semence chaude inonda le point le plus profond de la chatte de Mme Granger, enfin le flot libérateur de son puissant étalon envahit son sexe ravagé. Enfin elle pouvait s'abandonner à la pleinitude de sa jouissance sous les salves successives de ma divine colonne de feu. J'avais senti l'imminence de mon éjaculation et j'avais encore accéléré la force de mes coups de butoir dans le ventre brûlant de ma maîtresse. Je sentis tout le trajet de ma semence partant de mes bourses pleines, remontant le long de la hampe de mon sexe tendu, explosant par mon gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de cette chatte torride.
j'étais l'Etna et le Vésuve réunis, j'étais l'homme le plus puissant au monde !

A bout de souffle, j'enfouis ma tête dans le cou de Madame Granger, je continuais de limer mon amante comme le sprinter poursuit sa course même aprés la ligne d'arrivée. elle revenait lentement à la réalité et laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder mon dard planté en elle. Les dernières caresses de ma longue barre d'acier la comblait de bonheur. Elle carressait doucement mes cheveux et ma nuque, m'embrassant tendrement dans le cou.
Je voulus exprimer mes sentiments mais elle me fit taire avec ses lèvres. Sa langue envahit délicatement ma bouche pour une dernière étreinte puis elle me repoussa doucement et me fixa dans les yeux.
- Julien, mon mari ne va pas tarder. Il faut t'en aller !
Je voulus protester, mais mon initiatrice me posa la main sur ma bouche puis me caressa la joue.
- Julien ce fut merveilleux, tu as été un amant formidable. Tu m'a faite jouir divinement mais maintenant il faut vraiment que tu y ailles !
Et comme pour confirmer ses dires, mon sexe commença à glisser doucement de sa gaine soyeuse, nous faisant sursauter et nous laissant une impression de vide immense.
- Pars, maintenant, souffla Mme Granger ...
Un peu déconfit, je remontai mon slip et mon pantalon. j'y rangeai rapidement mon sexe flasque et tout poisseux et mes bourses trempées de la jouissance de ma maîtresse. Elle replaça la dentelle de sa culotte pour masquer sa vulve éclatée au regard énamourer de son amant et, m'embrassant tendrement au coin des lèvres, me poussa vers la porte.
- Fais le pour moi, mon amour, va vite rejoindre les autres !
Je me retrouvai seul dans le couloir et la porte se referma doucement derrière moi. Le clac de la poignée me ramena définitivement à la réalité.

Appuyée contre la porte de sa chambre Madame Granger essayait d'analyser ce qui venait de se passer. Comment, elle, femme de quarante-cinq ans, bourgeoise mariée, avec un enfant à la faculté avait-elle pu se laisser aller à de tels égarements. Mais les dernières contractions de son vagin, et l'odeur de sperme et de transpiration qui planaient dans la chambre lui rappelèrent qu'elle venait de vivre le moment de plus fort de sa vie. Sa main plongea vers son entrejambe pour se caresser la vulve. Ses doigts glissèrent sur la dentelle puis s'insinuèrent à l'intérieur de sa culotte détrempée de sa jouissance et de celle de son amant. Son clitoris encore sous le choc la fit frémir, la moiteur de ses lèvres entrouvertes l'incita à s'enfoncer le majeur dans sa chatte dégoulinante.
Son autre main était partie à l'assaut de sa poitrine et cajolait chacun des mamelons toujours dardés. elle commençait à onduler du bassin pour le projeter sur son doigt investigateur. Celui ci clapotait dans un océan de sperme et de cyprine. Sa main remonta vers ses lèvres et son doigt pénétra sa bouche pour lui apporter à nouveau la saveur de la semence de son amant, agrémentée de la liqueur de ses propres sécrétions. Les effluves de leurs étreintes et de leur union enivrérent ses narines.