J'étais dans un demi sommeil lorsque Mme Granger frappa à ma porte Lorsque la porte s'ouvrit, elle m'apparut vetue d'un voluptueux déshabillé de soie blanche, resserré sous la poitrine, laissant son corps libre sous le fin tissu, Belle, provocante. mes sens étaient imprégnés d'une odeur à la fois subtile et raffinée. Il était déjà tard. Elle me sourit d'un sourire étrange, gêné presque. elle jouait des plis de sa robe de nuit, ses poitrines genereuses bougaient. des poitrines souples et légèrement tombantes, de longues jambes fines et moulées par le tissus luisant, Elle ferma la porte, et me parla de sa voix chaude en me fixant d'un étrange sourire. J'avais de plus en plus chaud.
- Je n'arrive pas à dormir ! ... Je peux ?
Elle s'allonga près de moi, se tourna vers moi, me fixa un bon moment
- Je peux rester avec toi cette nuit ?
Je ne trouvais plus mes mots.
- Je te sens inquiet ? détends toi ... je suis bien contre toi
Je n'arrivais plus à articuler (ma défaite), Je ne savais plus ou me mettre, où poser mon regard Elle posa sa main sur mon torse puis posa ses lèvres sur les miennes, Je me contenais de plus en plus difficilement.
- j'ai besoin de tendresse.
Elle commenca à écarter sa robe de nuit, Je ne répondais pas et déglutissais difficilement. Elle dévoila son buste, sans complexe, degrapha son soutien-gorge, ses seins s'affaisserent, lourdement devant mon regard ahuri.
- mes seins te plaisent, apparement !
- Je suis chaude ! Je mouille ! ... à cause de toi !
Elle defit sa robe ... qui tomba sur le tapis. Elle retira délicatement sa culotte de soie. Et elle se blottit nue contre moi dans le lit.
- Serre moi contre toi !
- J'ai envie ! Tout de suite ! Le veux tu ?
J'étais sans voix. Elle ne perdit pas de temps. Elle me déshabilla, Elle ouvrit mon pantalon de pyjama, glissa sa main jusqu'à ma verge dure comme le bois ! Je n'arrivais plus à dissimuler quoi que ce soit
- C'est pour moi ? ... Je suis sure que c'est pour moi !
Je n'eu pas le temps de réagir. Elle m’embrassa, sensuellement, me suça littéralement. Ma bouche chercha sa bouche,son corps, ses seins, Nous étions nus l’un contre l’autre. je lui palpais les seins, je les suçais goulument. ils étaient enduit de ma salive. Elle me regardes tendrement, me fusilla du regard
- J'ai envie de toi ! Je veux te sentir dans mon ventre. Je te veux en moi. Viens !
Je me positionnais sur elle. Elle dirigea mon sexe. je suis littéralement senti aspiré en elle, je m'enfonçais, je me perdais en elle, un glissement onctueux, une plongée lente, une progression lourde, un frottement délicat irisé de plaisir. Ca glissait tout seul; Elle commenca à jouir au milieu de bruits de clapotis et de succion. les va et vient furent de plus en plus rapides. Elle gémissait, ondulant son bassin. ma verge fouillait son ventre, se frottait, se soulèvait, redescendait, ondulait, se tendait en elle. elle me tenait profondément serré en elle. Elle me suçait, m’aspirait, me tirait, me poussait en jouant de mon corps. Elle râlait de plaisirs, je gémissais de bonheur. Nous lançions des mots sans suite Elle se retourna vers moi avec des yeux gourmands.
- Baises-moi ! Fort ! Violemment ! bien au fond !
Elle avala mon sexe en jouant de ma résistance. Je sentais chacune de ses muqueuses s’occuper du plaisir de mon gland. Elle s’enroulait, se défaisait, plongeait se retirait, me dévorait. Puis elle me serra, se contracta, brutalement ... Un orgasme sans égal la secoua de spasmes durant de longues minutes… Je n'en pouvais plus, je me sentis venir. Elle me regarda intensément
- Jouis ! Maintenant ! Je veux garder un souvenir de toi dans mes chairs.
- Donne-moi ton sperme ! Vite !
Un trait. Un trait puissant et massif. Un trait plein monta. Un frisson. Elle le sentit venir, je m’enfoncais en elle, loin très loin. Je me rapetissais. Le trait m’échappa dans un cri rauque .... Je lâchais tout. J'ouvrais les vannes. je me libèrais .... sans retenue, avec tout le délice du havre d’une paix conquise. Je giclais en elle, par spasmes riches et généreux. Elle reçut mon offrande liquide. Elle me suça, je me vidais au fin fond de son ventre. Elle suca tout, ne gâcha, ne perdit rien. C’etait insoutenable. Elle me prit par la hampe et frotta contre ses lèvres mon gland qui trempait dans mon sperme. Elle avala presque tout mon corps, lapa avec sa vulve ma queue dressée. Nous étions épuisés. Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre