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samedi 13 décembre 2025 - 04h27rech / rep
-mat-12-allongbrigittelahaienudeux

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(taille reelle)
sur la moquette ()
la porte du salon est maintenant fermée, Marthe est allongée sur la moquette, au pied du canapé, sa combinaison froissée sur le coté. Elle s'abandonne, se livre totalement aux ardeurs de Julien qui coulisse en elle, laissant échapper de petits bruits de succion, de glissement mouillé terriblement suggestifs. La respiration de Julien est bruyante, Marthe mouille de plus en plus, et gémit de plus en plus fort. Il donne et il donne. il se retire ... doucement, un long sexe ... énorme, avec un bruit de siphon caractéristique. Elle reprend sa respiration, contemple ce grand sexe gluant. Elle inspire un grand coup. Elle le regarde en souriant, les yeux brillants. Elle se mordille la lèvre.
Julien, fort excité, enfonce alors profondément sa longue verge dans les moiteurs du sexe féminin, éprouvant un plaisir extrême à sentir les chairs brûlantes et humides de Marthe envelopper sa verge dure et tendue. Marthe ne tarde pas à sentir la jouissance arriver. Lançant ses jambes sur les fesses agitées de son jeune amant, elle l'emprisonne entre ses cuisses trempées. De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s'échappe, éclaboussant le bas-ventre et les bourses masculines. Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations érotiques de sa maitresse, Lucien s'active de plus belle dans le ventre féminin, faisant coulisser sa verge tendue à un rythme effréné, un bruit de clapotis monte, les affolant encore plus. Sous son corps en sueur, Marthe s'est mise à haleter en s'arquant frénétiquement, s'offrant avec rage à chaque pénétration. De nouveaux va et viens. Elle semble prendre son plaisir, Il coulisse puissamment en elle, Elle se masturbe avec le sexe de Julien, ferme les yeux, se mord la lèvre, remue son bassin, pour le faire rentrer encore plus profondément. Ses cuisses tremblent. Elle tremble de tout son corps ! Elle se contracte, se fige puis elle explose ! Elle vient de jouir.
Julien s'arrête quasiment, laissant Marthe reprendre ses esprits. Elle se caresse la poitrine. se malaxe les seins, allongée, offerte, jambes écartées. Lucien ne tarde pas à sentir le plaisir monter inexorablement le long de son sexe prêt à exploser. Marthe comprend qu'il est en train d'atteindre le point de non retour, aussi l'enserre-t'elle fortement entre ses cuisses nerveuses l'empêchant de s'extraire de son vagin affamé. Alors tel un cheval pressé de rentrer à l'ecurie, il accélére encore le mouvement saccadé de ses reins, afin d'atteindre l'extase libératrice le plus vite possible. Il sort sa queue et la rentre ... tout au fond... Il donne de nouveau ... accelère, l'orgasme est bientot là, Il va éjaculer, il va plus au fond, encore, encore, encore... Et il lâche. Dans un véritable feu d'artifice, il décharge sa semence à longs traits dans la vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible, par giclées successives, dans un grognement bestial déversant le sperme abondant au plus profond du sexe de Marthe. Celle-ci se laisse emporter à son tour par la jouissance dans un long râle qui se mêla au gémissements plaintifs du jeune amant. Pour la troisième fois un orgasme foudroyant la soulève, la cambre, la tétanise, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartés lui aussi totalement vidé et anéanti. La tête de Julien tourne, il ferme les yeux, la serre un peu plus, puis laisse tomber sa tête au creux de son épaule, Il respire toujours fort. Haletants les deux amants restent ainsi intimement unis par leurs sexes, emboîtés l'un dans l'autre pendant prés de dix minutes. Les corps se séparent, le sexe sort doucement, ramolli et gluant de sperme. Elle est trempée, en sueur. Puis, la première à reprendre ses esprits, Marthe fait basculer le corps devenu trop lourd de Lucien à ses cotés, libérant ses seins douloureux du poids qui les écrase. De son sexe soudain délivré, un flot de sécrétions chaudes et blanches s'échappa aussitôt, l'obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps du lit :
- Eh ben mon chéri, qu'est-ce que tu m'as mis ! J'en ai de partout… C'était bon ? Tu as aimé ? Moi aussi tu sais, tu m'as vraiment donné du plaisir