Monsieur est un homme fort, bâti comme toutes les femmes en rêvent, attirant, élégant. Je n'étais pas insensible a sa présence et parfois même au contact de son corps quand il était proche, trop proche de moi. Mais j'évitais de trop manifester ce que je ressentais.
Un jour, j'étais occupé à la cuisine, il s'est rapproché de moi et ses bras m'ont entouré de maniere affectueuse, saisissant fermement mes reins. Je n'ai pas vraiment protesté. J'ai alors tres nettement senti contre moi un relief explicite. Je me laissais aller à imaginer, l'effet d'une aventure avec lui, et je commençais malgré moi à me frotter contre lui. j'étais émoustillée. J'étais debout contre lui et me sentais plutôt instable Je l'ai alors senti m'aider à garder mon équilibre. Il caressait doucement mes hanches, frottant legerement son bassin contre ma croupe. Je sentais tres nettement qu'il bandait sous son pantalon ce qui ne faisait que m'exciter davantage.
Sans me laisser le temps de réagir ses lèvres se sont posées sur mon cou. Ses lèvres étaient chaudes et douces, je me suis laissée faire, j'ai entrouvert la bouche et j'ai cherché la sienne derrière moi, nous avons commencé à nous embrasser sans retenue. Il a poussé sa langue dans ma bouche, m'obligeant à l'ouvrir davantage, tout en me serrant contre lui. Il avait pris mes seins dans ses deux mains qu'il commençait à caresser et à palper Je ne dominais plus vraiment la situation. Je me suis détaché de lui
- Monsieur ! Nous nous laissons emporter ! Nous somme en train de faire des bêtises !
Il m'a chuchoté de vagues excuses, mais il commenca à caresser doucement mon sein gauche à travers le tissu soyeux de ma robe. J'ai senti mes genoux fléchir. Je ne parvenais plus à résister, je le laissais agir juste quelques minutes de plus, petit jeu excitant et inoffensif. Il a ecarté un peu le haut de ma robe, exposant mes seins pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. je me pris alors à caresser son corps, plaquant et frottant mes mains sur sa chemise. Cet homme était vraiment magnifique. Il a ouvert la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager un peu plus mes seins généreux. Il commençait à les soupeser, les masser, les presser l'un contre l'autre, je ne trouvais plus la force de le faire cesser. Mes genoux fléchissaient de nouveau et, rapidement, sa main commença à me caresser les jambes
- Monsieur, vous êtes doux avec moi mais ... où voulez vous m'emmener ?
Nous étions proches, trop proches. J'ai senti sa main chaude qui remontait sous ma combinaison et commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma vulve. Il venait de toucher un point sensible. C'est de ce contact direct dont j'avais besoin. J'ai étouffé un gémissement. il a délicatement empaumé ma vulve humide. C'était vraiment bon. Il avait passé un doigt sous l'élastique de ma culotte de soie, et sa main était maintenant à l'intérieur, un de ses doigts penetrait mon intimité.
- Monsieur, J'ai si chaud ... est-ce vraiment raisonnable ?
Il promenait sa main sur mon ventre, puis plus bas. il continuait à me masser la vulve. J'étais dans une sorte d'extase.
Il promenait sa bouche sur mon ventre, puis plus bas, sur le tissu de ma culotte. j'ai realisé la spirale dans laquelle nous etions quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte. Je ne cherchais même plus à résister, je soulevais instinctivement mes hanches et le laissais retirer ma culotte complètement. J'avais envie qu'il continue mais je tentais encore vaguement de me raisonner. il a continuait à masser ma vulve. J'étais dans une sorte d'extase. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps. J'avais besoin de jouir. J'étais tellement chaude que je gémissais très fort. Je n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et qu'il s'était installé entre mes jambes. Je le sentis avec effroi frotter son sexe sur ma vulve trempée. Je commencais à sentir monter l'orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, mais quand j'ai senti le contact de son membre massif sur mes lèvres intimes, je me suis mise à tressaillir. Le sexe était énorme. Je tremblais ....
- Non, Monsieur, s'il vous plaît !
- arrêtez, je vous en supplie,
C'est alors qu'il commença à pousser en moi le gland. Je résistais ... et il continuait à s'enfoncer un peu plus en moi. J'étais petrifiée, il ne s'arretait pas ! J'ai protesté encore, J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais cela ne faisait que m'exciter davantage. Je sentais son membre grossir de plus en plus en moi, il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien mes lèvres à chaque progression.
- Oh Monsieur ! Non ! Ce n'est pas bien ! Je ne sais plus où j'en suis.
Mon corps me trahissait, mes hanches commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de sa penetration. Il entrait en moi et ressortait, allant plus profondément à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement il me remplisse complètement. Je sentais son pubis collé contre le mien. Mon excitation était à son comble J'étais remplie de son sexe. j'ai senti alors mon orgasme qui commençait à monter rapidement. Il ralait de plus en plus fort au dessus-de moi, C'est alors que je l'ai senti .... Son corps entier a basculé en avant, Il a gémi très fort ... et a lâché les premiers salves de son sperme profondément en moi.
- Oh Monsieur ! Non ! Que faites vous ? Retirez vous ! Il ne faut pas !
Il jouissait dans mon ventre ! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme. La sensation était inimaginableable ! je pouvais sentir son sperme chaud envahir mes muqueuses. Il jouissait en moi.
- Mon Dieu ... votre..sperme... à l'int...érieur de moi... Qu'avons nous fait ?
Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'eu alors un orgasme intense alors qu'il continuait à coulisser en moi la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément. La vague de plaisir s'est encore intensifiée. C'était merveilleux et intense. Je pouvais sentir le liquide visqueux ressortir et couler entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa semence. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi. Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que nous avions fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement fiché en moi, luisant de son sperme. Il continuait à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. mes jambes étaient encore enroulées autour de lui Il était toujours en moi, faisant bouger son sexe encore dur doucement, lentement, tendrement. mon corps recommençait à répondre à ses lents et subtils va et viens. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons, je realisais que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui, je sentais également que son membre recommençait à durcir. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons recommencé ce qui s'est avéré être une étreinte très sensuelle, langoureuse même. Nous sommes restés longtemps ainsi, lui bougeant doucement en moi, nos corps collés l'un contre l'autre, lui étirant mon vagin dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu'à ce jour. Pendant que nous faisions l'amour, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et je commencais à sucer les mamelons sur son torse lorsqu'il a haleté un peu plus fort,
- je sens que je vais jouir encore, vous voulez que je me retire ?
Ma réponse m'étonne toujours aujourd'hui. Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié,
- non, restez à l'intérieur de moi, je veux vous sentir... venir…encore… s'il vous plaît ! C'est si bon !
Il m'a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s'est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois aller et venir en moi avec puissance, accélérer et ... tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir chaque giclée frappant mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence, j'ai crié et je lui ai griffé le dos. C'était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C'était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient. Il m'a embrassé de nouveau tendrement et lorsqu'il s'est retiré lentement, sortant son long membre de mon fourreau trempé, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j'ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une étreinte aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d'une de mes chevilles. Ma vulve était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses. Un fleuve de sperme coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l'ai glissé sous mes fesses pour surélever mon bassin. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais.
Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulait sur mes cuisses et descendait jusqu'à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j'ai trouvé mon patron dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant, posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment, mais je ne voulais pas prendre le risque de le réveiller, je pouvais encore sentir son liquide s'échapper de ma fente, je suis rapidement entrée dans la salle de bains. J'ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans mon lit.
Ainsi soudé à elle, je la serrai contre moi.
Je m'écrasai un peu plus contre elle,
glissant à nouveau une cuisse dans son entrejambe.
Nos bouches ne s'étaient pas encore séparées
et nos souffles commençaient à se faire court.
On n'entendait plus que nos soupirs,
nos halètements et des bruits mouillés de lèvres
qui se séparent pour s'unir à nouveau.
Nos regards étaient chauds, intenses,
brûlants du désir de posséder l'autre.
Ma cuisse se mit à comprimer davantage
la vulve de ma chaude compagne.
Mes lèvres se remirent à dévorer
celles de ma maîtresse,
alors que mon autre main s'accaparait de sa poitrine.
Malaxant les deux mamelles l'une aprés l'autre.
La chambre était envahie de bruits de bouche,
de succion, de soupirs.
Je posais fébrilement ma joue contre la sienne
pour murmurer à son oreille :
- Je ... j'ai envie de toi ...
Elle s'aggripa encore plus fortement à moi.
- Oui, ... mon amour ! Viens mon ange, viens vite !
D'un geste gracieux et sensuel,
elle écarta sa culotte mouillée
et amena mon mat à l'entrée de son sexe trempé.
Ondulant du bassin, elle enduisit mon gland
de ses sécrétions intimes
et commença à le faire tourner
autour de ses lèvres vaginales.
Elle promenait l'extrémité de mon sexe
sur toute la longueur du sillon labial,
pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur.
C'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche.
Puis, s'accrochant à mes épaules,
elle me souffla à l'oreille :
- Maintenant, Mon amour vas-y, penetres-moi !
Je propulsais alors mon bassin vers l'avant,
enfonçant du meme coup mon sexe
dans le fourreau ardent.
Elle s'aggripa plus étroitement à moi,
murmurant ses encouragements à mon oreille
en me caressant amoureusement les cheveux.
La pénétration ample de mon membre la comblait,
c'était un véritable envahissement.
Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions
que la penetration se fit facilement.
Elle enfonca son visage dans le creux de mon épaule
et me souffla à nouveau :
- entre encore, Je t'en prie, enfonces-toi en moi.
Son souffle chaud dans mon cou,
ses baisers mouillés sur ma peau,
ses tendres caresses dans mes cheveux,
Je me mis à onduler très lentement du bassin
d'avant en arrière, de bas en haut,
cherchant à chaque poussée
à aller plus profondément.
Ses râles augmentaient en intensité.
Mes mouvements se firent plus amples, plus profonds.
Mon sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux,
coulissait profondément dans le vagin,
caressait amoureusement la fragile muqueuse.
Mon penis était complètement enserré dans son ventre chaud.
Je continuais mes va et vients réguliers, méthodiques.
Elle était en extase.
Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice.
Elle était brûlante.
J'étais en nage.
Une chaleur torride irradiait son corps,
Mes lèvres dévoraient à nouveau les siennes,
Mes dents jouaient avec ses mamelons.
Je la pénétrais de plus en plus profondément,
la faisant soupirer de plus en plus bruyamment.
Elle n'en finissait pas de râler sous mes caresses intimes.
Une nouvelle penetration plus ample
lui déclencha un orgasme
qui la tétanisa contre le mur.
Elle me mordit l'épaule pour ne pas hurler.
Je continuais mes mouvements ondulatoires accélérant ma cadence
amplifiant ainsi sa jouissance.
Elle s'aggripa a mes épaules,
passa sa jambe autour de ma hanche
pour que je la pénètre encore plus loin,
encore plus fort.
contractant ses muscles internes
pour enserrer ma colonne de chair.
Le contact du bas soyeux m'électrisait.
La pression emprisonnant mon gland fut le signal.
Je bandais mes muscles
et de toute la puissance de mes reins,
je me ruais au plus profond de son ventre,
hurlant des rales d'effort à chaque violente poussée.
Elle n'en pouvait plus,
son sexe était investi, envahi
Ses deux jambes autour de ma taille,
s'empalant davantage sur mon pieu.
Elle fut térassée par une série d'orgasmes en continu.
Elle gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, ralait ses orgasmes. Je sentis l'imminence de l'eruption.
J'accélérais la force de mes coups de butoir dans son ventre brûlant.
Je sentis ma semence partir de mes bourses pleines, remontant le long de la hampe de mon sexe tendu,
explosant enfin par mon gland congestionné.
Le jet puissant inonda le point le plus profond de son vagin.
C'était un volcan, un flot bouillonant de lave en fusion.
A bout de souffle, j'enfouis ma tête dans son cou,
lui assenant mes dernieres giclées pour lui exprimer ma gratitude.
Nous recherchions notre respiration.
Je continuais de coulisser doucement dans son ventre.
Elle laissa glisser ses jambes jusqu'au sol,
en prenant soin de garder mon dard planté en elle.
Les dernières caresses de mon sexe d'acier la comblait de bonheur.
Elle carressait doucement mes cheveux et ma nuque, m'embrassant tendrement dans le cou.
Sa langue envahit délicatement ma bouche pour une dernière étreinte
puis elle me repoussa doucement
et me fixa dans les yeux,
Mon sexe glissa doucement de sa gaine soyeuse, liberant un flot de secretions amoureuses.