Mon corps tout entier se donne peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps. Je m'ouvre, tendre et humide, je m'offre à lui. Doucement, il glisse en moi, dans ma chair, onctueuse et chaude. Il peut sentir mes douces caresses intimes, je suis bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. je l'aspire, je l’absorbe. son souffle est lent, plus il m'investis, plus il est long et profond. Il me pénétre doucement, tendrement, puis reste un moment en moi sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Je ferme les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlent l’une à l’autre. ses mouvements reprennent, ils sont plus amples, sa verge plonge en moi et gonfle en meme temps. Elle occupe mon espace tout entier. Je lui fais découvrir sur son sexe bandé les douces contractions de ma vulve tendre et tiède, il se sent aspiré, absorbé par mon corps. Il accélére peu à peu, la douce excitation devient un désir plus ardent,
Je ferme les yeux, je m'offre à lui, la bouche ouverte, tout mon corps jouit de sa douce penetration. Je suis maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, je sens son plaisir, son envie de se lâcher, mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore. Son regard dans le vague semble en réclamer davantage
- Tu veux...maintenant ?
- Non...Pas encore...
Il oscille en moi, sans faire de bruit, juste du plaisir. Je l'avale, l'absorbe, je digere ma proie. Comme une crème enveloppant son pénis bandé pour moi, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sens les pulsations de son sexe dur dans mon corps, ma gorge est sèche. Il esquisse une grimace, j'incline mon bassin pour qu'il me pénètre plus au fond. Il entame des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connais pas et dès son premier soupir, il ne parvient déjà plus à se retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans mon corps. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, je me mordille les levres, doucement le rythme s'accélère. Il s'agrippe alors à mes épaules et reprend ses longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Je bouge pour accroître les sensations. Nos regards se soudent l'un à l'autre. il me pénètre plus profondément, je suis prise de vertige. Je me concentre sur ce gros sexe qui me fouille et que j'aime. La transpiration perle entre mes seins, Je lui donne du plaisir, il me le rend au centuple. La pensée de son enorme sexe glissant dans le mien me fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! lui dis-je.
Il saisit alors mes épaules, augmente l'ampleur et la puissance de son mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Je me cabre, il poursuit sa chevauchée. Je jouis encore et il continue.
Puis il s'arrete net. Je le sens venir, il crispe son regard ..... Je le tire à moi. Il vient. Le voici ! Je sens un flot de son liquide de vie me remplir. Je suis inondée d'une douce chaleur. J'en gémis de bonheur. Puis Il s'effondre avec des grondements d'ours blessé. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Je conserve dans ma chair son sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent mes paupières.