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samedi 13 décembre 2025 - 07h46rech / rep
jn-fin de soiree

jn-fin de soiree
(taille reelle)
Paulina 1 ()
Elle avait 20 ans, de longs cheveux bruns tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine , une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Nous dansions ensemble dans un recoin de la piste. Elle se blottit contre moi la tête sur mon épaule. Je pouvais sentir le contact de sa poitrine lourde. Je posais timidement les mains sur ses hanches. Nous ne parlions pas. Chaudement coincée contre mon corps ferme et le champagne aidant, elle se blottit contre moi encore plus fort. Gêné par un gonflement indécent au bas de mon ventre, je tentais de me dégager jusqu'à ce qu'elle me souffle:
- restez tranquille, serrez-moi encore !
Je me suis alors laissé aller à bander contre elle sans retenue. Elle me prit la main et la posa sur son sein que je commençais alors à caresser doucement à travers le satin. J'en épousais consciencieusement tous les contours. Elle glissa sa main sur ma nuque et dans mes cheveux. Ses soupirs se faisaient plus sonores. Je pris son visage entre mes mains Je lui caressais tendrement le visage et sa chevelure. et je l'embrassai, maintenant à pleine bouche, mêlant nos salives.
Elle redressa le buste, poitrine en avant. Son sein lourd gonflait le léger tissu blanc et soyeux. je posai ma main sur le sein le plus proche, le palpant doucement. Puis je glissais un doigt entre deux boutons du chemisier pour atteindre la peau satinée. Je déboutonnais les trois premiers boutons. J'écartais l'échancrure, laissant juste la moitié de sa poitrine nue. Ma bouche s'est alors emparée de ce fruit mur. Je l'ai sucé, aspiré. Ses plaintes redoublaient. Sa main fouillait ma chevelure. J'ai écarté l'autre pan du chemisier. Ses deux bouts de sein luisait de ma salive. Elle m'interrompit:
- partons d'ici, et allons dans ma chambre
Nous montames rapidement les escaliers. Après cette explosion des sens, nous nous sommes allongés sur le lit l'un contre l'autre. ses cuisses étaient écartées, comme en attente.
- j'ai envie de vous !
Je la regardais, presque inerte, sa poitrine se gonflant au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le regard mouillé. J'étais comme ivre, comme dans un autre monde.
- ça va ? lui demandai-je de plus en plus impatient
- vous avez entendu ? J'ai envie de vous !
Elle commença à onduler son bassin. Ma main massait son ventre à travers la soie. Je me suis détaché un peu d’elle. Un sourire illuminait son beau visage. J’ai repoussé maternellement une mèche qui cachait son front. Aa main caressait mes cheveux. Ses cuisses s’ouvraient au fur et à mesure que je progressais sur sa peau douce. Elle écarta encore les cuisses découvrant ses lèvres intimes déjà humides. Les pétales de sa vulve s’ouvrirent sans efforts sous mes doigts. Une plainte s’échappa de sa gorge, son corps trembla. je reprenais les douces caresses intimes pour maintenir son désir sans provoquer l’explosion. je la sentis alors devenir comme folle, elle ne se contrôlait plus. Son corps se raidit, sa bouche s’ouvrit largement. Son corps se souleva et un cri rauque jaillit bruyamment. Encore agitée par les spasmes, je lui ai saisi le visage pour lui fouiller la bouche. Elle s’est redressée pour se blottir contre moi la tête sur mon épaule. Son souffle encore court bruissait à mon oreille. Mon torse s’écrasait sur ses seins lourds. Mon sexe bandé et déformant mon pantalon frottait contre sa vulve chaude.
- ça va ?
- pfouh oui, je suis sur un nuage
mon sexe compressé contre son ventre. le sien luisait de son jus, ses lèvres intimes toutes ouvertes. Elle prit mon sexe et caressa sa fente avec mon gland.