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samedi 13 décembre 2025 - 09h35rech / rep
jn-12-allongfatima 4

jn-12-allongfatima 4
(taille reelle)
Son corps tout entier se donne peu à peu ()
Son corps tout entier se donne peu à peu, telle un offrande. Telle une fleur au printemps. Elle s'ouvre, tendre et humide, elle s'offre à moi. Doucement, je glisse en elle, dans sa chair, onctueuse et chaude. Je sens ses douces caresses intimes, je suis bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Elle m'aspire, elle m’absorbe. son souffle est lent, plus je l'investis, plus il est long et profond. Je la pénétre doucement, tendrement, puis reste un moment en elle sans bouger, sensation d'une douceur infinie. Elle ferme les yeux pour mieux goûter l'instant, nos intimités se mêlent l’une à l’autre. Nos mouvements reprennent, ils sont plus amples, ma verge plonge en elle et gonfle en meme temps. Elle occupe son espace tout entier. Je ressens sur mon sexe bandé les douces contractions de sa vulve tendre et tiède, Je suis aspiré, absorbé par son corps. J'accélére peu à peu, la douce excitation devient un désir plus ardent. Elle ferme les yeux, elle s'offre à moi, la bouche ouverte, tout son corps jouit de ma douce penetration. Elle est maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, je sens son plaisir, mon envie de me lâcher, mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore.
Son regard dans le vague semble en réclamer davantage. J'oscille en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avale, m'absorbe, elle digère sa proie, comme si une crème enveloppait mon pénis bandé, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter, je sens les pulsations de mon sexe dur dans son corps, ma gorge est sèche. Elle esquisse une grimace, incline son bassin pour que je la pénètre plus au fond. J'entame des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connais pas et dès son premier soupir, je ne parviens déjà plus à me retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans son corps. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, elle se mordille les levres, doucement le rythme s'accélère. Je m'agrippe alors à ses épaules et reprend mes longues pénétrations, accompagnées de délicieux bruits de succion. Elle bouge pour accroître les sensations. Nos regards se soudent l'un à l'autre. Je la pénètre plus profondément, elle est prise de vertige. Je me concentre sur ce gros sexe qui la fouille et qu'elle aime. La transpiration perle entre ses seins, Je lui donne du plaisir, elle me le rend au centuple. La pensée de mon enorme sexe glissant dans le sien me fait perdre toute retenue.
Je saisis alors ses épaules, j'augmente l'ampleur et la puissance de mes va et viens, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Elle se cabre, je poursuis ma chevauchée. Elle jouis, encore et encore, j'accélère ... puis je m'arrete net. Je me sens venir, elle crispe son regard ..... elle me tire à elle. Je viens. Me voici ! Je lache un flot de liquide de vie. Je la remplis. Je l'inonde d'une douce chaleur. Elle en gémit de bonheur. Puis je m'effondre avec des grondements d'ours blessé. Elle caresse amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Elle conserve dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent nos paupières.