Elle avait 20 ans, de longs cheveux bruns tombant sous les épaules, un corps fin et une belle poitrine , une bouche sensuelle et de grands yeux bleus. Nous dansions ensemble dans un recoin de la piste. Elle se blottit contre moi la tête sur mon épaule. Je pouvais sentir le contact de sa poitrine lourde. Je posais timidement les mains sur ses hanches. Nous ne parlions pas. Chaudement coincée contre mon corps ferme et le champagne aidant, elle se blottit contre moi encore plus fort. Gêné par un gonflement au bas de mon ventre, je tentais de me dégager jusqu'à ce qu'elle me souffla:
- restez tranquille, serrez-moi encore !
Je me suis alors laissé aller à bander contre elle sans retenue. Elle me prit la main et la posa sur son sein. Je commençais alors à caresser son sein à travers le satin du bout des doigts. J'en épousais consciencieusement tous les contours. Elle me caressa la nuque et les cheveux. Ses soupirs se faisaient plus sonores. Je pris son visage entre mes mains Je lui caressais tendrement le visage et sa chevelure. et je l'embrassai, à pleine bouche, mêlant nos salives.
Elle redressa le buste la poitrine en avant. Son sein lourd gonflait le léger tissu blanc et soyeux. j'ai posé ma main sur le sein le plus proche. Je me suis mis à le palper doucement. Puis je glissais un doigt entre deux boutons du chemisier pour toucher la peau satinée de son sein. Je déboutonnais les trois premiers boutons. J'écartais l'échancrure, laissant juste la moitié de sa poitrine nue. Ma bouche s'est emparée de ce fruit mur. Je l'ai sucé, aspiré. Ses plaintes redoublaient. Sa main fouillait ma chevelure. J'ai écarté l'autre pan du chemisier. Mon sexe bouillait. Ses deux bouts de sein luisait de ma salive. Elle m'interrompit:
- partons d'ici, et allons dans ma chambre
Nous montames rapidement les escaliers. Après cette explosion des sens, nous nous sommes allongés sur le lit l'un contre l'autre. ses cuisses étaient écartées. Son entrejambe apparut. Une culotte en satin blanc ornait son bas ventre. Elle glissa une main entre ses cuisses et du bout des doigts, sous mes yeux, elle se caressa à travers l'étoffe.
- j'ai envie de vous !
Je la regardais, presque inerte, sa poitrine se gonflant au rythme de profondes respirations, le sourire aux lèvres, le visage rayonnant. J'étais comme ivre, comme dans un autre monde. Je lui palpais les deux seins presque sans ménagement.
- ça va ?
- vous avez entendu ? J'ai envie de vous !
Elle commença à onduler son bassin. Ma main massait son ventre à travers la soie. Je me suis détaché un peu d’elle. Un sourire illuminait son beau visage. J’ai repoussé maternellement une mèche qui cachait son front. J’ai senti sa main caresser mes cheveux. Elle était conquise. Ses cuisses s’ouvraient au fur et à mesure que je progressais vers son entrejambe. Elle écarta encore les cuisses découvrant ses lèvres intimes déjà humides. Les pétales de sa vulve s’ouvrirent sans efforts sous mes doigts. Une plainte s’échappa de sa gorge, son corps trembla. je reprenais les douces caresses pour maintenir son désir sans provoquer l’explosion. je la sentis devenir comme folle, elle ne contrôlait plus. Son corps se raidit, sa bouche s’ouvrit largement. Son corps se souleva sur le canapé et un cri rauque jaillit bruyamment. Encore agitée par les spasmes, je lui ai saisi le visage pour lui fouiller la bouche. Elle s’est redressée pour se blottir contre moi la tête sur mon épaule. Son souffle encore court bruissait à mon oreille. Mon torse s’écrasait sur ses seins lourds. Mon sexe bandé et déformant mon pantalon frottait contre sa vulve chaude.
- ça va ?
- pfouh oui, je suis sur un nuage
mon sexe compressé contre son ventre. elle luisait de son jus, ses lèvres intimes toutes ouvertes.
Je pris mon sexe et je caressais sa fente avec mon gland. Elle soupirait les yeux fermés Sans précipitation je la pénétrai. Ses chairs laissèrent entrer mon sexe sans contrainte. Nous nous regardions l'un l'autre. Elle grimaçait. Je commencais à coulisser en cadence. Je caressais ses flancs. Elle fermait les yeux en gémissant à chaque retour de ma verge dans son fourreau. Je m'agrippais à ses hanches. Je ressentais son plaisir monter. Le mien aussi. Son vagin se contracta et des spasmes formidables soulevèrent son corps. Je continuais mon va et vient. J'ai rugi très fort et j'ai giclé en elle.