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samedi 13 décembre 2025 - 06h01rech / rep
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(taille reelle)
tendre anniversaire ()
Seule dans sa chambre, Mme Granger avait attendu trop longtemps un mari trop absent et semblait se morfondre ce jour là au premier étage. J'étais moi aussi seul au premier étage. Elle ouvrit ma porte s'assit au bout de mon lit. Je tournais doucement la tête, et vit cette belle femme à moitié dévétue, une belle femme, terriblement attirante et sensuelle dans une robe de nuit de soie blanche. Hypnotisé, je regardais Mme Granger qui s'approchait très près de moi. Elle prit délicatement ma main qu'elle porta à son visage pour se caresser la joue et se rapprocha un peu plus pour me sussurer quelques mots à l'oreille :
- Julien, c'est mon anniversaire aujourd'hui, Tu es seul ... moi aussi
- tu vas me faire plaisir ... et je vais te faire plaisir, tu veux bien ?
Elle se pencha langoureusement vers moi, caressant mon visage de ses lèvres, de sa bouche, de son souffle, de son nez, humant chaque parcelle de ma peau pour s'imprégner de mon odeur, pour s'exciter encore davantage, elle me caressa le torse, le ventre, puis desserra ma ceinture. Tout en me regardant fixement, elle glissa une main dans mon pantalon, prit dans sa main mon sexe en erection et commenca un lent et délicat massage. La douce caresse féminine sur mon sexe m'apporta calme et réconfort. Inconsciemment, je recherchai le contact de la peau de Mme Granger, que je n'avais jamais songé à pouvoir un jour toucher. Je cherchais à remplir mes poumons du parfum capiteux et envoûtant de cette femme, mélange étrange de fleurs, de chair, de désir, et de passion. Je posai mes mains sur les épaules dénudées et articulai un début de phrase :
- Madame Granger, je voudrais ...
Bien que toute à son émoi, elle avait bien compris ce qui se passait dans ma tête. Elle posa un doigt sur ma bouche pour me faire taire. Puis sa main se posa et caressa ma joue. Son pouce se mis à glisser délicatement, sensuellement sur mes lèvres. Ce pouce se fit plus pressant afin d'entrouvrir mes lèvres et de pénétrer dans ma bouche, elle se plaqua d'avantage contre moi et ce sont ses lèvres qui finirent d'ouvrir les miennes, c'est sa langue qui s'introduisit dans ma bouche. Ce fut un baiser sauvage, profond. Nos lèvres s'écrasaient les unes contre les autres dans obcène bruit mouillé, nos langues se recherchaient, se repoussaient, s'enlaçaient à nouveau. C'était un ballet violent, animal, sauvage et beau à la fois, mélangeant notre souffle, notre haleine, nos salives. Nous étions à bout de souffle, à la limite de l'asphyxie, Mme Granger dégagea ses lèvres de ma bouche, planta ses yeux dans les miens. C'était un regard de feu, de passion, de tigresse en chaleur. Je pris Madame Granger par les épaules pour la relever, je l'embrassais à pleine bouche, de toute la fougue de mes dix-huit ans. Ce baiser était moins sauvage, moins barbare que le premier mais beaucoup plus intense. Nos lèvres ne se dévoraient plus mais s'épousaient profondément, nos langues ne se repoussaient plus mais s'enlaçaient, s'unissaient intimement.
Nos bouches ne s'étaient pas encore séparées et nos souffles commençaient à se faire court. On n'entendait plus alors que nos soupirs, nos halètements et des bruits mouillés de nos lèvres qui se séparaient pour s'unir à nouveau. Nos regards étaient chauds, intenses, brûlants du désir de posséder l'autre. La chambre était envahie de bruits de bouche, de succion, de soupirs. C'est moi qui rompit notre étreinte pour murmurer à son oreille :
- Madame Granger, je...je voudrais ...
Elle s'aggripa alors encore plus fortement à moi
- Oui, Julien, moi aussi, J'ai envie de toi ... tu veux bien me faire l'amour ?
Elle disait tous ces mots pour s'exciter, pour m'exciter, mais aussi pour me rassurer et me mettre en confiance. Elle aussi me désirait ardemment. J'étais subjugué par ses formes, des seins que l'on a envie de caresser, d'effleurer tant la peau parait douce et délicate, une taille que l'on voudrait enserrer de ses mains juste au dessus de hanches. Elle me regarda ... intensément ... puis elle se déhancha, écarta sa culotte de soie, et la roula sur le coté. J'étais subjugué par tant de grâce, de douceur, émerveillé par la beauté de ce corps féminin. Elle se hissa sur moi. Ondulant de bassin, elle enduisit mon gland de ses sécrétions intimes le caressant de ses lèvres vaginales, elle le promena sur toute la longueur du sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. Je n'en revenais pas, c'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Puis, brusquement, s'accrochant a mes épaules, elle me souffla à l'oreille :
- Maintenant ! Viens !
Ce fut comme un signal pour moi et je propulsai mon bassin vers l'avant, elle me murmura ses encouragements en me caressant amoureusement les cheveux. Ma pénétration se fit facilement. Elle était bien, remplie de moi, comblée. Elle enfonca son visage dans le creux de mon épaule et me souffla à nouveau :
- Donne moi le meilleur de toi.
Le souffle chaud de ma maîtresse dans mon cou, ses baisers mouillés sur ma peau, ses tendres caresses dans mes cheveux me rassurèrent. Je me mis à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Les râles de Mme Granger me firent comprendre que j'avais vu juste, il me fallait combler cette femme merveilleuse. Je voulais lui donner tout le plaisir qu'elle m'avait procuré. Mes mouvements se firent plus amples, plus profonds pour son plus grand ravissement. Pour moi, c'était de nouvelles sensations. Mon sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux. Mon membre raidi coulissait profondément dans le vagin de ma sensuelle maîtresse, il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse. Elle n'était pas chaude, elle était brûlante. J'étais en nage et une chaleur torride irradiait de nos corps, j'enfonçais mon sexe dans l'antre d'un volcan, dans un véritable flot de lave en fusion. Je devenais fou. Les sensations qui me remontaient de l'intérieur me faisait totalement perdre le contrôle de mes sens. Mes mains couraient frénétiquement sur le corps féminin pour le caresser, lui pétrir les seins ou les fesses. Sa tête roulait sur mes épaules, son souffle était court. Une nouvelle bourrade plus ample lui déclencha un orgasme qui la tétanisa. Elle me mordit l'épaule pour ne pas hurler, mais ses vagissements étouffés témoignaient de la force de ce maelstrôm.
J'avais compris ce qui était en train de se passer mais je continuai mes mouvements ondulatoires accélérant la cadence pour amplifier la jouissance de ma maîtresse. Elle s'aggripa a mes épaules, et soulevant sa jambe gauche, elle la passa autour de ma hanche pour que je la pénètre encore plus loin, encore plus fort. Elle contracta ses muscles internes pour enserrer encore plus ma colonne de chair qui ravageait ses muqueuses les plus sensibles. Le contact du bas soyeux, la caresse de sa chair tendre de l'intérieur de sa cuisse sur mes fesses m'électrisèrent. Ce fut pour moi le signal de l'assaut final.
Tel un bûcheron, je bandai mes muscles et de toute la puissance de mes reins, je me ruai dans son ventre, j'hurlais des rales d'effort à chaque violente poussée. Mme Granger n'en pouvait plus, son sexe était violé, sa chatte défoncée, son ventre ravagé. Profitant de mes poussées fulgurantes, elle avait passé ses deux jambes autour de ma taille, s'empalant davantage sur ce pieu béni des dieux. Je lui avais empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de ma proie et la pénétrer jusqu'à la garde. Je sentis alors l'imminence de mon éjaculation. Je sentis tout le trajet de ma semence partant de mes bourses pleines, remontant le long de la hampe de mon sexe tendu, explosant enfin par mon gland turgescent. Un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion que je projetais au plus profond du ventre torride de Mme Granger. Enfin elle put s'abandonner à la pleinitude de sa jouissance sous les salves successives de ma divine colonne de feu.
A bout de souffle, j'enfouis ma tête dans le cou de Madame Granger, je continuais de limer doucement mon amante qui revenait lentement à la réalité. Elle laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder mon dard planté en elle. Les dernières caresses de ma longue barre d'acier la comblait de bonheur. Elle carressait doucement mes cheveux et ma nuque, m'embrassant tendrement dans le cou.