Marthe aimait m'initier aux choses de la vie. ses 50 ans face à mes 18 ans alimentaient souvent mes pollutions nocturnes. ses lèvres aux couleurs soutenues donnaient a ses yeux noirs un velouté incroyable. Elle me confiait ses conseils lors de nos rencontres avant que nous nous retrouvions dans sa chambre
- Regarde moi ! Ne te lasse pas de me regarder, Laisse pétiller tes yeux dans les miens, ne cesse pas de me désirer,
le contact du tissu et le moelleux de son sein lourd aggravait mon etat ! elle prenait ma main tremblante, la dirigeait sous le plissé de sa lingerie, pour la poser sur le haut de son sein, c'était si moelleux, sa peau de pèche me troublait terriblement: la sueur perlait en gouttes sous son décolleté, elle approchait alors son visage du mien. Elle continuait à me prodiguer ses conseils
- Tu vas me prendre comme on cueille un fruit,
- tu vas me déguster avec délice et gourmandise,
- tu vas effeuiller mon corps dans un soupir, tu vas caresser mes lèvres à ta guise.
- Là, maintenant ! Donne moi tes lèvres chaudes ! Et serre toi bien contre moi !
- Echangeons ce premier baiser pour un premier plaisir.
- Puis, ce deuxieme baiser, plus mouillé, plus profond ...
- Je suis collée à tes lèvres, Je ne veux que tes baisers.
- Chut ! ne dis plus rien. Laissons nos langues se caresser, s'emmêler, se reconnaitre.
Elle écartait ses jambes, sa main cherchait et flattait mes testicules, elle serrait mes bourses puis elle soulevait sa nuisette qui se gonflait en retombant sur mon corps.
- Je te sens trembler et je t'entends gémir.
- Tu sens mes seins qui sur toi se frottent doucement ?
- Sens tu mes mains vagabondes qui remodèlent ton corps ?
- Sens-tu ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise ?
- et ces frémissements qui n'en finissent pas ?
- Sens tu la chaleur de mon corps contre toi ?
Elle finissait par se planter sur mon mat, ses lèvres humidifiées presque inondées absorbaient mon dard jusqu'a la base, elle mettait ses seins en appui sur mon torse écrasant ses deux éminences contre mon corps,
- Et maintenant, donne-toi à moi tel un cadeau sucré,
- Fais jaillir en moi le feu sacré, celui qui fait rougir de plaisir...
- Laisse toi aller à ton plaisir ! C’est si bon de s’abandonner !
- Aime moi sans retenue. Fais de moi ta deesse.
- Entre les draps, toute nue, comble moi de tes prouesses.
- Devore ma peau avec de tendres baisers Dis moi tout bas tes plus folles pensées
- Enmene moi au paradis. Donne moi de la magie de la passion et du plaisir
- De ton corps, je veux tout ! Que tes lèvres me savourent, qu’elles me sucent, m’engloutissent.
- Que ta bouche déguste les épices de nos salives qui se mélangent.
- Je veux que mes seins lourds que tu caresses et qui te troublent soient l’oasis de nos jouissances -
- Je veux que mon corps chaud t’enflamme, qu'il te brûle.
- Et que, dans mon nid parfumé mouillé de mon nectar, Tu te libères en moi et me donnes toute ta sève chaude
je sentais alors ma verge dure se napper comme un coulis enrobe un fruit ; son liquide plus le mien englobaient ma tige sur toute sa longueur ! c'était chaud et aqueux, son vagin se contractait d'un mouvement de constriction réflexe ;
- Serre-moi fort dans tes bras. Prends-moi avec modération
- Enfin nous sommes ensembles toi et moi. Fais-moi l'amour, tout simplement, comme si tu me connaissais depuis toujours
- Dresse toi bien contre moi, Enfonce toi dans ma chair,
- Enfonce toi en moi, pénètre moi, explore moi, Perfore moi, Investis moi, brutalement, sans concession,
- Fais moi jouir, Enflamme moi, Essouffle moi, Finis moi, Et toi, remplis moi de toi
Pubis contre pubis elle remettait ses blonds cheveux d'un geste de la main des plus sensuels reprendre place dans son dos, elle se dégageait un peu, abandonnant ses liquidités presque amniotiques c'est moi qui poussai mes hanches vers ses fuites ; j'eus la force en six secondes d'aller et venir trois fois, dont deux qui se traduisirent par un gémissement de ma partenaire,
- Maintenant ! Offre moi ta liqueur douce amère, Qu‘elle jaillisse et coule le long de mes lèvres au fond de moi.
- Abreuve moi de ta sève, de ton onction liquide,
- Lâche toi ! Jouis en moi ! Maintenant ! Fais jaillir ton miel d'homme ! Inonde moi de toi !
Lorsqu'elle basculait sur le dos, mon membre qui obturait sa caverne laissait ses eaux m'inonder, nous étions liés au plus près assis, moi encore la traversant. mon phallus redevenait Verge, je débandais en elle !