La fête commençait à s'animer au rez-de -chaussé, le volume de la musique avait été sensiblement augmenté. Presque toute la classe de terminale était là, même Julien, le petit nouveau. Madame Granger se reposait dans sa chambre, au premier étage. C'était son anniversaire, quarante-cinq ans, et ce soir elle avait envie de sexe elle s'était offert des dessous affriolants. Ses seins étaient merveilleusement mis en valeur. La culotte était de la même dentelle fine sous laquelle transparaissait sa toison soigneusement dessinée. Assise sur son lit, Marthe se regardait dans le miroir. Elle croisait les jambes, les décroisait, les croisait à nouveau remontant haut la jambe du dessus, faisait crisser ses bas l'un contre l'autre. Marthe se trouvait belle et désirable, et les rondeurs qu'elle redoutait étaient juste là où il faut pour exprimer l'épanouissement de sa féminité, son mètre soixante-dix lui conférant beaucoup de prestance. Devant son miroir, elle s'admirait, se tournait, se caressait une cuisse, lissait le haut d'un bas...
C'est à cet instant qu'elle entendit une voix de l'autre coté de la porte. Le jeune Julien était seul au premier étage. Marthe ouvrit la porte en grand et appela Julien d'une voix chaude et sensuelle qu'elle ne se connaissait pas. Julien tourna doucement la tête, et vit une femme à moitié dévêtue qui se tenait dans l'ouverture de la porte. Les longues jambes prolongées d'adorables chaussures étaient gainées de bas soyeux qui brillaient à contre jour, mais surtout dénudaient une bande de chair laiteuse en haut des cuisses, et cette vision eu pour effet de redonner de la vigueur à son menbre tendu, comme si cela était nécessaire dans son état ! Cette déesse à la chevelure flamboyante se tenait appuyée contre le chambranle de la porte,
l'autre bras tendu vers lui en signe d'invite et la tête nonchalament penchée sur le bras levé. Les jambes légèrement croisées dans une attitude divinement érotique, cette apparition l'appelait de sa bouche sensuelle aux lèvres si finement dessinées. Il était attiré par cette bouche sensuelle au sourire aguicheur, et aussi par ce regard farouche où les yeux brillaient de désir.
Julien, hypnotisé par ce qu'il voyait, se décolla du mur et commença à s'avancer vers elle. Ses habits baissés le bloquèrent et il s'arréta mi gêné mi décontenancé de sa niaiserie ! Marthe s'approcha de Julien, lui remonta maternellement ses habits, mais ne les remit pas vraiment en place et surtout ne recouvrit pas ce qui était devenu le seul objet de sa convoitise. Elle prit délicatement une main du jeune homme qu'elle porta à son visage pour se caresser la joue. Dans le même mouvement, son autre main s'était saisie de cette tige rigide qui omnubilait son esprit et elle se rapprocha de Julien pour lui souffler, lui murmurer, lui sussurer quelques mots à l'oreille :
- Viens, Julien, c'est mon anniversaire, mon mari n'est pas revenu, je suis trop seule, nous allons nous aussi nous échanger "nos cadeaux".
- Viens, je vais te donner du plaisir et toi, tu vas m'en donner aussi !
Marthe attira donc Julien dans sa chambre et referma la porte derrière eux. Elle le plaqua contre le mur et se colla langoureusement à lui, caressant tout son visage de ses lèvres, de sa bouche, de son souffle, de son nez, humant chaque parcelle de la peau du jeune garçon pour s'imprégner de son odeur, pour s'exciter encore davantage, pour aller jusqu'au bout de ce qu'elle avait entrepris. Elle n'avait pas laché le membre turgescent du jeune homme et avait même commencé un lent et délicat massage. Julien commençait à reprendre ses esprits. La douce caresse de Madame Granger sur son sexe endolori, le souffle chaud de cette femme sur son visage, le poids de son corps contre le sien, tout le ramenait lentement à la réalité. Et Julien se demandait s'il voulait vraiment revenir à la réalité. Cette main douce le cajolant d'un mouvement lent et régulier lui apportait calme et réconfort et même l'insitait à propulser son bassin à la rencontre de la main de Marthe pour accentuer le bien-être qu'il éprouvait au travers de son bâton d'amour. Inconsciemment, son visage rechercha le contact de la peau de cette partenaire qu'il n'avait jamais songé qu'il pourrait un jour toucher. Sa bouche cherchait celle de Marthe, ses lèvres voulaient attraper celles de cette femelle qui avait entrepris de frotter son pubis sur sa cuisse et même carrément sa vulve. Il cherchait à remplir ses poumons du parfum capiteux et envoûtant de cette femme, mélange étrange de fleurs, de chair, de désir, et de passion. Dans le cerveau de Julien, un étrange combat était en train de se dérouler. Il avait toujours éprouvé pour la mère de Jacques un mèlange de respect et d'admiration. Il était très impressionné par son maintien, sa prestance, sa classe, sa douceur, et sa gentillesse à son égard. En cet instant tous ces mots étaient remplacés par d'autres : grâce, féminité, sensualité, lascivité, volupté. En ce moment le problème de Julien était qu'il désirait cette femme, qu'il voulait la posseder, lui donner le plaisir qu'elle réclamait de tout son corps et que lui n'était qu'un gamin, à peine sorti de l'adolescence, qu'il n'avait aucune expérience, qu'il n'était qu 'un puceau comme l'avait dit Vanessa. De plus il avait peur de jouir, d'exploser, de se répandre dans la main de Marthe, d'obtenir bien egoïstement une sorte de libération sans rien donner en échange à sa libératrice. Il voulait lui expliquer tout ce qui se bousculait dans sa tête. Il posa ses mains sur les épaules dénudées de Marthe et articula un début de phrase :
- Madame, je voudrais vous...
Bien que toute à son émoi, Marthe avait bien compris ce qui se passait dans la tête de Julien. Elle posa un doigt sur la bouche du jeune homme pour le faire taire. Puis sa main se posa et caressa sa joue. Son pouce se mis à glisser delicatement, sensuellement sur les lèvres de Julien. Ce pouce se fit plus pressant afin d'entrouvir les lèvres et de pénétrer dans la bouche. Mais au moment où Julien succombait à cette intromission, elle se plaqua d'avantage contre son partenaire et ce sont ses lèvres qui finirent d'ouvrir les lèvres du jeune homme, et c'est sa langue qui s'introduisit dans sa bouche. Ce fut un baiser sauvage, profond. A peine étirée sur la pointe des pieds, elle s'appuyait de tout son poids contre le corps du jeune garçon afin de donner encore plus de force à son baiser, mais sans pour autant relacher le membre raidi qu'elle continuait à cajoler de maniére plus douce pour faire une sorte de contraste entre ses deux caresses.
Julien, d'abord surpris par la fougue de Marthe, se ressaisit très vite et instintivement comprit ce qu'il devait faire. Dans un même mouvement, ses mains glissèrent des épaules de sa compagne pour l'enlacer et la coller encore plus fortement à lui, une main se posant sur le haut des fesses de Marthe. Dans ce geste les fines bretelles tombèrent sur les bras de Marthe où le violent désir qui l'étreignait avait fait apparaitre tout à la fois transpiration et chair de poule. Ayant ainsi pris possession du corps de Marthe, Julien lui rendit son sauvage baiser. Lui aussi chercha à pénétrer sa bouche, leurs lèvres s'écrasaient les unes contre les autres dans obcène bruit mouillé, leurs langues se recherchaient, se repoussaient, s'enlaçaient à nouveau. C'était à celui qui mettrait son organe le plus loin dans la gorge de l'autre ou aspirerait la langue adverse au plus profond de sa bouche. C'était un ballet violent, animal, sauvage et beau à la fois. Leur souffle, leur haleine, leur salive ne faisaient plus qu'un, Marthe était au paradis dans les bras de ce jeune homme qui l'enlassait si fortement et même lui malaxait, lui pétrissait les fesses
la forçant, mais elle était consentante, à écraser sa vulve sur la cuisse qu'il avait serrée entre ses jambes .
Elle en profita pour se frotter contre cette masse de chair alors qu'elle continait de masturber le membre viril de son mâle. Instinctivement, il fit balancer son bassin pour amplifier la caresse appaisante de la main de sa divine partenaire sur sa barre tendue parce qu'il sentait son volume augmenter du fait du baiser de cette bouche vorace.
A bout de souffle, à la limite de l'asphyxie, Marthe dégagea ses lèvres de la bouche de Julien. Elle planta ses yeux dans ceux du jeune homme. C'était un regard de feu, de passion, un regard de lionne en furie, de tigresse en chaleur, et c'est en feulant qu'elle lui murmura :
- Je vais te faire jouir ! Je vais te sucer, te pomper, je vais te vider les couilles mon amour.
Aprés lui avoir effleuré les lèvres et avoir exhalé un nouveau soupir pour qu'il sente son haleine de femelle en rut, Marthe se laissa couler le long du corps de Julien, caressant de toute la dentelle de sa combinaison ce bâton d'amour qui occupait maintenant tout son esprit. Elle n'avait pas reconnu sa voix, c'était une voix chaude, rauque, venant du plus profond de son corps, du plus profond de son ventre, du plus profond de son désir de jouissance. Elle n'avait jamais employé un tel language non plus, elle ne se reconnaissait ni dans ses gestes ni dans ses paroles.
La main de Marthe qui tenait le membre de Julien continuait son doux et lent massage, alors que l'autre empoignait les bourses du jeune garçon qui se crispa sous cette nouvelle attaque. Il se calma très vite constatant les nouvelles sensations que lui prodiguait cette nouvelle caresse. Mais il n'était qu'au début de ses découvertes, car déjà le souffle chaud de sa divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de son sexe. Marthe posa d'abord ses lèvres sur le gland violacé puis le béquota délicatement. Le premier frisson de Julien l'encouragea, et du bout de sa langue elle vint effleurer la muqueuse qui donnait l'impression qu'elle allait se déchirer tellement elle était tendue. Les spames qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient, et c'est de toute sa langue qu'elle lapa l'énorme bourgeon de Julien. Puis telle une gourmande c'est toute la colonne de chair qu'elle lécha, sur toute sa longueur. Marthe montait, descendait, faisait frétiller sa langue sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle.
Les tréssautements, les contractions de cette verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point. Le sexe de Julien était tout luisant de sa salive, Marthe revenait au sommet du gland puis essayait d'infiltrer sa langue dans le meat, comme le mâle chercher à pénétrer sa femelle. Elle récupérait dans sa bouche les prémices de ce qui s'annonçait comme une éjaculation torrentielle, puis repartait pour emplir sa bouche du goût de ce gourdin. Sa langue était frénétique, ses mouvements devenaient totalement incontrôlés. Elle descendit jusqu'aux bourses de son amant, les poils lui grattèrent la langue mais elle n'y préta pas attention. Elle pris chaque couille dans sa bouche, les suça comme des dragées puis les recracha pour se précipiter comme une furie sur le gland qu'elle emboucha d'un coup pour se le planter au fond de la gorge.
Julien cru exploser. Pour s'être plusieurs fois masturbé et avoir éjaculé quelquefois en pleine nuit à la suite de rèves érotiques, il savait que son sexe n'allait pas tarder à cracher tout son jus. Les caresses de sa sublime maîtresse, la course suave de sa langue le long de son membre, le souffle chaud de son haleine et la moiteur torride de sa bouche sur sa tige bandée, l'avaient amené à la limite du cataclysme. Julien se contracta pour ne pas jouir immédiatement et attrapa la tête de Solange pour bloquer son mouvement de va et vient le long de son dard. Cette femme était une experte et elle était vraiment trop belle.
- Madame, réussit-il à exprimer aprés avoir dégluti ce qui lui restait de salive dans sa bouche désséchée par l'extase, Madame, je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Marthe dégagea sa tête des mains de Julien, enserra fortement la base du membre du jeune garçon pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers le visage de son amant. Elle se fit chatte mais ses yeux brûlaient de passion, son regard projetait des éclairs de folie sexuelle, elle était devenue une véritable panthère perverse.
- Julien, mon chéri, souffla-t-elle sa voix voluptueusement féline, appelle-moi Marthe. J'ai ton bâton d'amour dans ma bouche, je ne suis peut-être plus une Madame ! Et puis, mon amour, je t'ai dit que j'allais te vider les couilles, alors je vais te pomper à fond et toi tu vas me donner toute ta sève, tu vas m'envoyer ta purée au fond de ma gorge. Julien, je veux te boire, je veux avaler toute ta semence !
Et elle engloutit de nouveau le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Ses doigts agacèrent violement son clitoris qui était aussi raide que la queue de Julien, l'irritant avec le tulle du sous vêtement. Ils le frattaient, le pétrissaient, le malaxaient. Marthe voulait se faire jouir immédiatement, mais son excitation était telle qu'il lui en fallait encore plus. Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait le dard de son vigoureux amant accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement du sperme du jeune homme. Elle repensa aux sucres-d'orge de son enfance et aux sucettes à l'anis d'une certaine chanson. Et là, dans un cri...
- Madame !!!!
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements...
- Aaaahhh...
Julien déchargea tout ce qu'il pouvait avoir dans ses bourses, Marthe resserra ses lèvres à la base du gland pour ne rien perdre de ce nectar qu'elle espérait tant, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance qu'elle n'avait encore jamais connu. La verge de Julien eut plusieurs soubressauts, envoyant de nouvelles giclées dans la gorge de Solange, mais elle s'était bien préparée et malgré la déferlante du premier jet, elle ne s'étouffa pas et put déglutir avec délectation ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Et pourtant, pour elle, un véritable hydromel, un nectar, le vin des amazones, la véritable boisson des déesses. Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de cette tige brûlante. Marthe voulait profiter de cette nouvelle saveur totalement inconnue. Sa bouche coulissait facilement le long de la barre poisseuse de sperme et de salive, laissant échapper de petits bruits de succion et de déglutition. Le bâton de jouissance de son jeune amant était encore dur dans sa bouche et lui rappelait tout à fait les sucreries de son enfance. Marthe se délectait de cette masse de chair si suave, c'était un festin de reine. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper cette verge bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages. Les joues creusées pour tout aspirer, Marthe adressa un regard langoureux à son jeune amant pour le remercier de l'avoir ainsi abreuvée.Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux.
Julien recherchait son souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, il regarda Marthe à ses genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de sa sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore son sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme heureuse.
Julien prit Marthe par les épaules pour la relever, la faisant glisser sur toute la longueur de son corps comme elle l'avait fait avant de le prendre en bouche. En remontant, la guépière effleura à nouveau son sexe, divine caresse. Le frottement dénuda les seins magnifiques de sa maîtresse, laissant apparaître deux tétons dressés et durs au millieu des larges aréoles brûnes qui contrastaient avec blancheur laiteuse du reste des globes mamaires. Le jeune homme embrassa sa partenaire à pleine bouche, de toute la fougue de ses dix-huit et de toute la passion qu'avait fait naître la divine fellation prodiguée par sa merveilleuse initiatrice. Ce baiser était moins sauvage, moins barbare que le premier mais beaucoup plus intense. Leurs lèvres ne se dévoraient plus mais s'épousaient profondément, leurs langues ne se repoussaient plus mais s'enlassaient, s'unissaient intimement. Le goût de cette bouche aussi était différent, plus fort, plus chaud, plus entêtant et tellement plus excitant. Ce baiser se prolongea car tous deux voulaient profiter de cette union hors du temps.
Ce baiser les calmait aprés cet orgasme violent qu'ils avaient connu. Il leur permettait de savourer la pleinitude d'une telle jouissance. Mais ce baiser leur redonnait des forces, les revitalisait, les revigourait et ils étaient préts pour une nouvelle étape dans la découverte du corps de l'autre. Ce baiser déclenchait en chacun l'envie de s'unir à l'autre pour ne plus former plus qu'un seul corps ! Déjà Julien ressentait dans son sexe les effets de leurs caresses buccales, et une nouvelle érection de son dard s'annonçait peut être même plus impressionnante que la première. La main de Marthe avait d'ailleurs reprit possession de cette tige de chair afin de la stimuler de nouveau. Le jeune homme avait une nouvelle fois enlacé sa compagne et la tenait serrée contre lui à l'étouffer. Plus sûr de lui, ses mains caressaient le dos de Marthe et même s'aventuraient sur ses fesses. Julien se permettait de les flatter, de les palper et de les empaumer pour mieux les pêtrir. Marthe, toujours collée aux lèvres de son amant et accrochée à son vît, se cambrait et tendait son cul pour répondre à la caresse. Le jeune garçon s'enhardissait et passait ses mains sous la fine dentelle tendue pour n'être en contact qu'avec la peau de sa maîtresse. Ainsi soudé à elle, Julien fit pivoter Marthe pour la plaquer contre le mur. Il s'écrasa un peu plus contre elle, glissant à nouveau une cuisse dans son entrejambe. La main qui flattait les fesses se trouva bloquée alors que certains doigts avaient découvert le sillon fessier de sa partenaire. Leurs bouches ne s'étaient pas encore séparées et leurs souffles commençaient à se faire court. On n'entendait plus alors que des soupirs, des halètements et des bruits mouillés de lèvres qui se séparent pour s'unir à nouveau. Mais leur baiser touchait à sa fin car la tension du désir de s'unir plus intimement grandissait au plus profond de chacun d'eux.
Leurs lèvres se séparèrent une dernière fois et ce sont leurs yeux qui se fixèrent. Leurs regards étaient chauds, intenses, brûlants du désir de posséder l'autre. Et ils s'embrassèrent à nouveau, peut-être par peur de ce qu'ils venaient de comprendre en se regardant. Leurs lèvres courraient sur leurs visages, et déjà leur souffle ne faisait plus qu'un.
La cuisse de Julien comprima davantage la vulve de Marthe, écrasant son clitoris tendu. La main coincée par le mur chercha à s'aventurer plus profondément entre les deux masses charnues. Ses lèvres se remirent à dévorer celles de sa maîtresse, alors que son autre main s'était accaparée de sa poitrine. Malaxant les deux mamelles l'une aprés l'autre. Il avait saisi les tétons érigés comme deux petites bites et les faisait rouler entre ses doigts de moins en moins délicatement. Le jeune homme entama un lent mouvement du bassin, pour faire coulisser son sexe rigide dans la main de sa partenaire.
Marthe se sentit prise, totalement possédée. Sa bouche était envahie par une langue vorace, sa vulve était littéralement écrasée par la masse musculaire de la cuisse de Julien, ses fesses se faisaient profondément fouillées, ses seins virilement malaxés.
Marthe avait fait pénétrer dans sa chambre un jeune garçon et la voilà dans les bras d'un amant vigoureux qui prenait possession de tout son corps. C'était véritablement un homme puissant qui allait la pénétrer, elle, dans un instant. Elle se demanda si la situation n'était pas en train de lui échapper. Elle avait réveillé la bête qui dormait au plus profond du jeune homme, et maintenant elle allait se faire violer sauvagement au premier étage de sa propre maison. Mais les caresses de Julien, bien que de plus en plus appuyées, n'en étaient que plus agréables, et elle se laissa aller, s'abandonna aux attouchements pressants de son amant. Elle écarta franchement les jambes pour que la cuisse de Julien lui écrase complètement le clitoris. Elle ondula langoureusement le bassin pour facilité la palpation approfondie de ses fesses. Ses bras s'étaient resserrés comme pour étouffer son partenaire et sa bouche se colla encore plus intimement à celle du garçon. La chambre était envahie de bruits de bouche, de succion, de soupirs. C'est Julien qui rompit leur baiser, mais ayant peur de regarder Marthe dans les yeux, il posa fébrilement la joue contre la sienne pour murmurer à son oreille :
- Madame, je ... je voudrais ...
Marthe s'aggripa encore plus fortement à Julien. Elle l'aimait. Décidément cet enfant était un ange de douceur. Elle venait de le sucer, elle avait sa verge dans sa main, il lui torturait divinement ces tétons et il la vouvoyait encore. Il demandait même l'autorisation pour lui faire l'amour.
- Oui, Julien, je veux que tu me fasses l'amour. Là tout de suite, debout contre le mur. J'ai envie de toi, j'ai envie que tu mettes ton sexe dans ma chatte... J'ai envie de toi en moi au plus profond... que tu me baises, que tu me fasses jouir... Viens mon amour, mon ange, viens fais moi l'amour !
Elle disait tous ces mots pour s'exciter, pour exciter Julien, mais aussi pour le rassurer et le mettre en confiance. Pour qu'il sache que ce qu'il demandait n'était pas mal ou tabou et que elle aussi désirait ardemment faire l'amour avec lui, être possédée par lui. Ce qui l'excitait le plus, c'était de penser qu'elle allait faire l'amour debout pour la première fois de sa vie, décidément sacré anniversaire. Debout contre un mur comme n'importe qu'elle fille de rue. Contre le mur de sa chambre, de la chambre conjugale, tant pis pour Jean, son mari, il n'avait qu'à pas être en retard.
Marthe repoussa délicatement le jeune homme, qui découvrit pour la première fois la belle poitrine. Deux seins bien ronds, harmonieusement dessinés, à peine affaisés sur la dentelle de la guépière. La douce chair laiteuse contrastait avec les aréoles sombres, légèrement grumeuleuses, d'où s'élevaient des tétons turgescents et frippés. Un petit médaillon argenté pendait délicieusement à la naissance de la vallée séparant ces deux globes majestueux, animés par les inspirations profondes de Marthe.
Les bretelles tombées sur les bras, les balconnets de la guépière retournés sous les deux masses mamaires donnaient à Julien une image particulièrement sensuelle et excitante de cette femme qu'il admirait tant. Il avait devant ses yeux La Femme : la Mère, l'Epouse, la Maîtresse, la Première, l'Eternelle. Un corps de déesse aux formes harmonieuses, sublimes, parfaites.
Des seins que l'on a envie de caresser, d'effleurer tant la peau parait douce et délicate, une taille que l'on voudrait enserrer de ses mains juste au dessus de hanches qui s'évasent pour donner toute la définition de féminité, des cuisses aux rondeurs harmonieuses. D'un geste qui aurait pu paraître grottesque ou obcène, mais que Marthe rendit extrèmement gracieux et sensuel, elle écarta sa culotte trempée, et la roula sur le coté de ses grandes lèvres échauffées pour dénuder sa vulve et rendre sa chatte brûlante accessible au bâton de feu qu'elle tenait toujours en main. Julien était subjugué par tant de grâce, de douceur, emmerveillé par la beauté du corps de sa initiatrice. Marthe se hissa sur la pointe de ses escarpins et amena le mat de son amant à l'entrée de sa chatte baveuse. Ondulant de bassin, elle enduisit le gland de ses sécrétions intimes et commença à le téter de ses lèvres vaginales comme elle l'avait fait auparavent avec ses autres lèvres. Elle promenait l'extrémité du sexe du jeune homme sur toute la longueur du sillon labial, pour l'humecter, le lubrifier de sa liqueur. Julien n'en revenait pas, c'était encore plus chaud et plus humide qu'une bouche. Avec perversité Marthe venait percuter son petit bouton d'amour pour se rapprocher des limites du sublime, et repartait vers l'ouverture de son temple aux délices. Puis, brusquement, Marthe plaqua fermement son amant contre elle. Le jeune homme inexpérimenté comprit qu'il devait légèrement plier les genoux pour bien se positionner mais semblait attendre un signe pour aller plus loin. Et c'est Marthe qui s'en chargea. S'accrochant aux épaules du jeune homme, elle lui souffla à l'oreille :
- Viens, Mon amour, maintenant vas-y, prends-moi d'un coup, défonce moi !
Ce fut comme un coup de fouet pour Julien et il propulsa brutalement son bassin vers l'avant à la rencontre du pubis de sa maîtresse, la clouant littéralement contre le mur. Ce fut un véritable coup de butoir qui fit hoqueter Marthe, lui coupant le souffle. Elle s'aggripa plus étroitement à son puissant amant, essayant de retrouver ses esprits le moment de surprise passé. Le jeune homme s'affola :
- Je vous ai fait mal ? Je...
- Ce n'est rien, Mon Chéri, tu as fait ce que je t'ai demandé, c'est très bien. Maintenant bouge comme tu le faisais dans ma main. C'est à toi de me faire jouir avec ta queue. Vas-y, c'est trop bon, c'est exactement ce que je voulais. Vas-y bouge, bouge et ne t'arrête pas !
Marthe murmurait ses encouragements à l'oreille de son amant en lui caressant amoureusement les cheveux. Elle était bien. La pénétration brusque de Julien l'avait surprise, c'était un véritable envahissement de son vagin par un pieu de chair. Mais elle n'avait pas eu mal. Elle était tellement inondée de ses propres sécrétions que la poussée du jeune garçon se fit facilement et que son gland put buter au plus profond de son ventre. Elle était remplie, comblée de ce gourdin planté en elle. Elle enfonca son visage dans le creux de l'épaule de son jeune amant et lui souffla à nouveau :
- Viens, Julien, fais moi l'amour.
Le souffle chaud de sa maîtresse dans son cou, ses baisers mouillés sur sa peau, ses tendres caresses dans ses cheveux rassurèrent le jeune homme qui entama un lent retrait de son membre durci. Sur son épaule Marthe se crispa :
- Non reste !
Et Julien replongea à nouveau dans la chatte moelleuse de Marthe qui eut un nouveau soupir de plaisir. Julien comprit ce qu'il devait faire, jouer de la frustration du retrait pour mieux provoquer la jouissance de la pénétration. Le jeune homme se mit à onduler très lentement du bassin d'avant en arrière, de bas en haut, cherchant à chaque poussée à aller plus profondément. Les râles de sa maîtresse lui firent comprendre qu'il avait vu juste. Il lui fallait combler cette femme merveilleuse. Julien voulait donner à Marthe tout le plaisir qu'elle lui avait procuré. Ses mouvements se firent plus amples, plus profonds pour le plus grand ravissement de Marthe qui maintenant ronronnait comme une chatte. Pour Julien, c'était de nouvelles sensations. Son sexe s'enfonçait dans un fourreau, souple, moelleux, soyeux. Son membre raidit coulissait profondément dans le vagin de sa maîtresse, il en épousait parfaitement la forme, caressait amoureusement la fragile muqueuse.Le jeune homme sentait sa barre rigide complètement enserrée dans le ventre chaud de sa partenaire et pourtant son membre était étrangement libre d'aller où il voulait. Et Julien continuait ses va et vients régulers, méthodiques qui extasiaient Marthe. Certaines réflexions obcènes de ses camarades lui revenaient en tête : celle-là, qu'est-ce qu'elle est bonne, ou encore c'est une chaude. Julien était choqué de ces remarques, mais aujourd'hui il se demandait s'il ne commençait pas à en saisir le sens. Marthe n'était pas bonne, elle était délicieuse. Le goût de sa peau que le jeune homme lapait comme un petit chat au creux de son cou, derrière son oreille. Le goût de ses lèvres, de sa bouche de sa langue était un véritable délice pour le jeune garçon. Marthe n'était pas chaude, elle était brûlante. Julien était en nage et une chaleur torride irradiait du corps de sa maîtresse, il enfonçait son sexe dans l'antre d'un volcan, sa queue plongeait dans un véritable flot de lave en fusion. Julien devenait fou. Les sensations qui lui remontaient de l'intérieur de lui-même vers son cerveau lui faisait totalement perdre le contrôle de ses actes. Chaque partie de son corps semblait évoluer pour son propre compte. Sa bouche courait sur tout le visage et le cou de son égérie, dégustant chaque parcelle de sa peau, buvant chaque goutte de sueur. Les lèvres du jeune amant dévoraient à nouveau celles de sa maîtresse, les dents de Julien jouaient avec les mamelons turgides de son initiatrice. Les mains du jeune homme couraient elles aussi frénétiquement sur le corps de Marthe pour la caresser, lui pétrir les seins ou les fesses mais surtout cherchaient la position pour posséder totalement sa partenaire et mieux investir de son pieu ardent le puits d'amour de Marthe. Un seul mot d'ordre pour le jeune mâle, contrôler les spasmes de son sexe pour prolonger le plaisir, pour honorer sa charnelle déesse, pour combler sa muse volupteuse. Et Julien se consacrait entièrement au culte d'amour dans la caverne aux délices de Marthe, la pénétrant de plus en plus profondément, la faisant soupirer de plus en plus bruyamment.
La gémissante Marthe n'en finissait pas de râler sous les perverses caresses internes de son amant. Décidément, ce jeune puceau se révélait être un vrai démon. Il la pénétrait, la forçait à s'ouvrir à ses profondes avances. Son vagin était un four dégoulinant. Un pieu de chair, qu'elle imaginait monstrueux, lui ravageait les entrailles puissament. La tête de Marthe roulait sur ses épaules, son souffle était court, ses narines palpitaient au rythme de chaque lente progression de cette masse envahissante. Elle ne se souvenait pas d'avoir été aussi bien possédée par Jean, son époux. Chaque nouvelle poussée la précipitait au bord du gouffre de la jouissance. Une nouvelle bourrade plus ample de son amant lui déclencha un orgasme qui la tétanisa contre le mur. Le jeune garçon lui avait totalement perforé le ventre et venait de lui écraser le clitoris avec son pubis. Cette nouvelle vague de plaisir l'amenait encore plus haut vers les sommets de la jouissance. Marthe mordit l'épaule de Julien pour ne pas hurler, mais ses vagissements étouffés témoignaient de la force de ce maelström. Le jeune homme avait compris ce qui se passait mais continua ses mouvements ondulatoires accélérant la cadence pour amplifier la jouissance de sa maîtresse et aboutir à son plaisir.
Marthe voulait que son amant explose maintenant au plus profond de son ventre. Elle s'aggripa aux épaules de Julien, et soulevant sa jambe gauche, la passa autour de la hanche de son partenaire pour qu'il la pénètre encore plus loin, encore plus fort. La divine initiatrice contracta ses muscles internes pour enserrer cette colonne de chair qui ravageait ses muqueuses les plus sensibles. Marthe y mit toute son énergie comme si elle voulait totalement écraser cette hampe monumentale dans l'étau de sa chatte. Le contact du bas soyeux, la caresse de la chair tendre de l'intérieur de la cuisse de sa partenaire sur ses fesses électrisèrent le jeune garçon. La pression de la gaine brûlante emprisonnant son gland fut le signal de l'assaut final du ventre de Marthe. Tel le bûcheron voulant abattre le plus gros arbre de la forêt, Julien banda ses muscles et de toute la puissance de ses reins, il se rua dans cette chatte baveuse comme s'il voulait faire traverser le mur à sa partenaire. Il lui pilonnait son con torride pour la propulser jusqu'au plafond. Il hurlait des rales d'effort à chaque violente poussée, il implorait le nom de sa maîtresse à chaque coup de butoir. Le jeune garçon était devenu un barbare ravageant l'Empire Romain, un vandale dévastant Rome, la ville éternelle. Julien était un guerrier sauvage violant la belle patricienne offerte à ses formidables assauts.
Marthe n'était qu'une frèle poupée emportée dans une folle chevauchée, ballotée par un étalon furieux. Elle n'en pouvait plus, son sexe était violé, sa chatte défoncée, son ventre ravagé, son con explosé. Profitant des poussées fulgurantes de son amant elle avait passé ses deux jambes autour de sa taille, s'empalant davantage sur ce pieu béni des dieux de l'amour. Julien lui avait empoigné les deux fesses à pleine main pour mieux profiter de sa proie et la pénétrer jusqu'à la garde. Marthe était prise, possédée, envahie, pilonnée, pistonnée, ramonée, barratée, et elle jouissait. Elle était térassée par une série d'orgasmes en continu. Du plus profond de ses entrailles une horde de chevaux sauvages investissait son corps, se répandait dans la plaine profonde de son ventre. Leur galop résonnait jusqu'au bout de ses seins que la bouche vorace de son amant déchiquetait à pleine dent. Elle hurlait le nom de Julien, le suppliait d'arréter, le priait d'aller plus fort.. Marthe gémissait son plaisir, soupirait sa jouissance, ralait ses orgames. C'était comme une vague qui l'emportait, elle surfait sur cette vague ne révant que de plongée dans le bouillon d'écume du plaisir, elle atteignait l'orgasme absolu.
Enfin le jet puissant de la semence de son amant inonda le point le plus profond de la chatte de Marthe, enfin le flot libérateur de son puissant étalon envahit son sexe ravagé. Enfin elle pouvait s'abandonner à la pleinitude de sa jouissance sous les salves successives de cette divine colonne de feu. Julien avait sentit l'imminence de son éjaculation et il avait encore accélérer la force de ses coups de butoir dans le ventre brûlant de sa maîtresse. Il sentit tout le trajet de sa semence partant de ses bourses pleines, remontant le long de la hampe de son sexe tendu, explosant par son gland turgescent. C'était un volcan, un véritable flot bouillonant de lave en fusion qu'il projetait au plus profond de cette chatte torride.
Il était l'Etna et le Vésuve réunis, il était l'homme le plus puissant au monde ! A bout de souffle, le jeune garçon enfouit sa tête dans le coup de Madame Granger, lui assenant ses derniers coups de belier pour lui exprimer sa gratitude de jeune puceau.
Les deux amants cherchaient leur respiration. Julien continuait de limer Marthe mais c'était la fin de la folle cavalcade, il limait sa brûlante maîtresse comme le sprinter poursuit sa course même aprés la ligne d'arrivée. Marthe revenait lentement à la réalité et laissa glisser ses jambes jusqu'au sol, en prenant soin de garder le dard du jeune homme planté en elle. Les dernières caresses de cette formidable barre d'acier la comblait de bonheur. Elle carressait doucement les cheveux et la nuque de son délicieux amant, l'embrassant tendrement dans le cou. Julien voulut exprimer ses sentiments mais elle le fit taire avec ses lèvres. Sa langue envahit délicatement la bouche du jeune homme pour une dernière étreinte puis elle repoussa doucement et le fixa dans les yeux.
- Julien, mon mari ne va pas tarder. Il faut t'en aller !
Le fougueux amant voulu protester, mais son initiatrice lui posa la main sur sa bouche puis lui caressa la joue.
- Julien ce fut merveilleux, tu as été un jeune amant formidable. Tu m'a faite jouir divinement mais maintenant il faut vraiment que tu y ailles !
Et comme pour confirmer ses dires, le sexe du jeune homme glissa de sa gaine soyeuse, faisant sursauter les deux amants et leur laissant une impression de vide immense.
- Pars, maintenant, souffla Marthe ...
Le jeune garçon un peu déconfit remonta son slip et son pantalon. Il y rangea rapidement son sexe flasque et tout poisseux et ses bourses trempées de la jouissance de sa maîtresse. Marthe replaça la dentelle de sa culotte pour masquer sa vulve éclatée au regard énamourer de son amant et, l'embrassant tendrement au coin des lèvres, le poussa vers la porte.
- Fais le pour moi, mon amour, va vite rejoindre les autres !
Julien se retrouva dans le couloir et la porte se referma doucement derrière lui. Le clac de la poignée le ramena définitivement à la réalité.
Au premier étage, appuyée contre la porte de sa chambre Madame Granger essayait d'analyser ce qui venait de se passer. Comment, elle, femme de quarante-cinq ans, bourgeoise mariée, avec un enfant à la faculté avait-elle pu se laisser aller à de tels égarements. Mais les dernières contractions de son vagin, et l'odeur de sperme et de transpiration qui planaient dans la chambre lui rappelèrent qu'elle venait de vivre le moment de plus fort de sa vie. Sa main plongea vers son entrejambe pour se caresser la vulve. Ses doigts glissèrent sur la dentelle puis s'insinuèrent à l'intérieur de sa culotte détrempée de sa jouissance et de celle de son amant. Son clitoris encore sous le choc la fit frémir, la moiteur de ses lèvres entrouvertes l'incita à s'enfoncer le majeur dans sa chatte dégoulinante. Son autre main était partie à l'assaut de sa poitrine et cajolait chacun des mamelons toujours dardés. Solange commençait à onduler du bassin pour le projeter sur son doigt investigateur. Celui ci clapotait dans un océan de sperme et de cyprine. Sa main remonta vers ses lèvres et son doigt pénétra sa bouche pour lui apporter à nouveau la saveur de la semence de son amant, agrémentée de la liqueur de ses propres sécrétions. Les effluves de leurs étreintes et de leur union enivrérent ses narines.
";"2006-03-15 18:03:25";"http://";;"5* nymph maturite";
"762";"Mme Granger [fel]";"Solange se laissa couler le long du corps de Julien, caressant de toute la dentelle de sa combinaison ce bâton d'amour qui occupait son esprit.
Elle avait une voix chaude, rauque, venant du plus profond de son corps,
du plus profond de son ventre, du plus profond de son désir de jouissance.
Elle tenait le membre de Julien, continuait son doux et lent massage,
alors que l'autre main, elle empoignait les bourses du jeune garçon qui se crispa sous cette nouvelle attaque.
Il se calma très vite constatant les nouvelles sensations que lui prodiguait cette nouvelle caresse.
Et déjà le souffle chaud de sa divine maîtresse se rapprochait de l'extrémité de son sexe.
Solange posa d'abord ses lèvres sur le gland violacé puis l'humecta délicatement de sa salive.
Le premier frisson de Julien l'encouragea, et du bout de sa langue elle vint effleurer la muqueuse
qui donnait l'impression qu'elle allait se déchirer tellement elle était tendue.
Les spames qu'elle ressentait dans sa main la stimulaient,
et c'est de toute sa langue qu'elle lapa l'énorme bourgeon de Julien.
Puis telle une gourmande c'est toute la colonne de chair qu'elle lécha, sur toute sa longueur.
Solange montait, descendait, faisait frétiller sa langue sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle.
Les tréssautements, les contractions de cette verge sous sa langue et entre ses doigts l'excitaient au plus haut point.
Le sexe de Julien était tout luisant de sa salive,
Solange revenait au sommet du gland puis essayait d'infiltrer sa langue dans le meat,
comme le mâle chercher à pénétrer sa femelle.
Elle récupérait dans sa bouche les prémices de ce qui s'annonçait comme une éjaculation torrentielle,
puis repartait pour emplir sa bouche du goût de ce gourdin.
Sa langue était frénétique, ses mouvements devenaient totalement incontrôles.
Elle descendit jusqu'aux bourses de son amant, les poils lui grattèrent la langue mais elle n'y préta pas attention.
Elle pris chaque couille dans sa bouche, les suça comme des dragées puis les recracha pour se précipiter comme une furie sur le gland qu'elle emboucha d'un coup pour se le planter au fond de la gorge.
Julien cru exploser. Pour s'être plusieurs fois masturbé et avoir éjaculé quelquefois en pleine nuit à la suite de rèves érotiques, il savait que son sexe n'allait pas tarder à cracher tout son jus.
Les caresses de sa sublime maîtresse, la course suave de sa langue le long de son membre,
le souffle chaud de son haleine et la moiteur torride de sa bouche sur sa tige bandée,
l'avaient amené à la limite du cataclysme.
Julien se contracta pour ne pas jouir immédiatement et attrapa la tête de Solange pour bloquer son mouvement de va et vient le long de son dard.
Cette femme était une experte et elle était vraiment trop belle.
- Madame Granger, réussit-il à exprimer aprés avoir dégluti ce qui lui restait de salive dans sa bouche désséchée par l'extase, Madame Granger, je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas...
Solange dégagea sa tête des mains de Julien, enserra fortement la base du membre du jeune garçon pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente.
Elle dirigea son regard vers le visage de son amant. Elle se fit chatte mais ses yeux brûlaient de passion, son regard projetait des éclairs de folie sexuelle, elle était devenue une véritable panthère perverse.
- Julien, mon chéri, souffla-t-elle sa voix voluptueusement féline, appelle-moi Solange. J'ai ton bâton d'amour dans ma bouche, je ne suis peut-être plus une Madame ! Et puis, mon amour, je t'ai dit que j'allais te vider les couilles, alors je vais te pomper à fond et toi tu vas me donner toute ta sève, tu vas m'envoyer ta purée au fond de ma gorge. Julien, je veux te boire, je veux avaler toute ta semence !
Et elle engloutit de nouveau le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr.
Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Ses doigts agacèrent violement son clitoris qui était aussi raide que la queue de Julien, l'irritant avec le tulle du sous vêtement. Ils le frattaient, le pétrissaient, le malaxaient. Solange voulait se faire jouir immédiatement, mais son excitation était telle qu'il lui en fallait encore plus.
Alors comme une démente, elle s'enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n'était plus qu'une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine.
Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait le dard de son vigoureux amant accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement du sperme du jeune homme. Elle repensa aux sucres-d'orge de son enfance et aux sucettes à l'anis d'une certaine chanson. Et là, dans un cri...
- Madame Granger !!!!
Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements...
- HUUMMM ! HUOIUMMM ! HUUUUMMMMM...
Julien déchargea tout ce qu'il pouvait avoir dans ses bourses, Solange resserra ses lèvres à la base du gland pour ne rien perdre de ce nectar qu'elle espérait tant, alors qu'un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance qu'elle n'avait encore jamais connu.
La verge de Julien eut plusieurs soubressauts, envoyant de nouvelles giclées dans la gorge de Solange, mais elle s'était bien préparée et malgré la déferlante du premier jet, elle ne s'étouffa pas et put déglutir avec délectation ce jus fort, épais, animal, sauvage, âpre, rugueux, mâle. Et pourtant, pour elle, un véritable hydromel, un nectar, le vin des amazones, la véritable boisson des déesses.
Elle poursuivit encore un long moment les mouvements de va et vient le long de cette tige brûlante. Madame Granger voulait profiter de cette nouvelle saveur totalement inconnue. Sa bouche coulissait facilement le long de la barre poisseuse de sperme et de salive, laissant échapper de petits bruits de succion et de déglutition.
Le bâton de jouissance de son amant était encore dur dans sa bouche et lui rappelait tout à fait les sucreries de son enfance.Solange se délectait de cette masse de chair si suave, c'était un festin de reine. Elle n'en finissait pas de sucer, de pomper cette verge bandée, elle voulait l'engloutir en totalité. Elle n'en finissait pas de lécher cette hampe luisante sur toute sa longueur pour s'en rassasier, elle s'en caressait les joues, le visage pour s'en imprégner, inspirant à plein poumon ses effluves sauvages.
Les joues creusées pour tout aspirer, Madame Granger adressa un regard langoureux à son jeune amant pour le remercier de l'avoir ainsi abreuvée.Ses lèvres luisantes laissèrent s'écouler un petit filet de cette délicieuse semence, donnant encore plus de volupté au sourire qui se dessinait sur son visage radieux.
Julien recherchait son souffle, les yeux vers le ciel, puis aprés avoir dégluti sa salive, il regarda Solange à ses genoux. Vision de rève, irréelle. Le visage de sa sublime fellatrice était tout auréolé d'un halo de douceur, de tendresse, de sensualié. Halo accentué par son regard allangui, par sa bouche voluptueuse et luisante de plaisir. Ses lèvres rouges, toujours impeccablement dessinées, tenaient encore son sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois. Ses yeux verts brillaient de l'éclat de la femme heureuse.