Le visage empourpré, Carole s'était rapprochée de moi et me saisissant la tête, elle posa ses lèvres sur les miennes. J'avais le cœur dans la gorge, sa langue douce et chaude s'infiltra habilement entre mes lèvres pour finalement s'enfoncer dans ma bouche. D'abord surpris par ce baiser, je me laissais faire, passif. Puis je lançais ma langue à la rencontre de celle de Carole.
- Je suis la première ? continua Carole en me fixant d'un air extasié.
J'acquiesçai, un peu gêné, mais cet aveu déclencha d'un coup chez Carole une passion nouvelle. Elle se pencha sur moi pour de nouveau me fouiller la bouche de sa langue agile. Peu à peu, sous ces assauts, j'avancais une main dans l'ouverture de sa robe puis dans son large décolleté pour me saisir d'un sein, et le malaxer doucement. je fis rouler le téton entre mes doigts. Il était dur et certainement sensible, car Carole se mit aussitôt à pousser des petits gémissements. Jamais je n'avais bandé aussi fort. J'avais l'impression que mon pantalon allait exploser. Haletante Carole se redressa, s'empara de mes deux mains, elle les posa sur ses seins genereux à la peau si soyeuse.
- Caresse bien mes seins, gémit-elle.
Je m'exécutais sans me faire prier, malaxant les chairs fragiles avec frénésie. Nous haletions tous les deux. L'excitation était à son comble. Carole se jeta une nouvelle fois sur ma bouche pour m'embrasser fougueusement. Tout en me fouillant l'intérieur du palais de sa langue diabolique, elle posa sa main sur mon pantalon. Avec beaucoup de douceur elle me caressa par-dessus le tissu. Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant enfin son baiser, Carole me regarda dans les yeux :
- Tu veux, que nous allions plus loin ?
Elle dénoua sa robe de soie, qu'elle retira lentement, comme pour se faire désirer un peu plus. Je ne perdis pas connaissance, mais je n'en étais pas loin, à la vue de ce corps si proche de moi. Elle se caressa les seins d'une manière si sensuelle, que j'en eus très vite la gorge sèche. Puis elle posa une main sur ma verge gonflée pour la presser avec émotion. Me fixant, les yeux brillants étrangement, elle écarta ses jambes pour me montrer sa vulve rose et luisante. Carole me demanda d'une voix soudain changée.
- Viens contre moi !
Visiblement excitée, elle m'agrippa la main et la plaqua contre sa vulve.
- Caresses-moi là, me commanda-t-elle d'une voix hachée.
Je posais alors ma main contre les lèvres humides du sexe féminin. Carole me guida, prise par sa passion dévorante. Appuyant fortement ma main contre sa longue fente, elle m'encouragea d'une voix rauque :
- Tu sens comme je mouille … ma vulve est toute ouverte
Timidement, je commençais à caresser la vulve ruisselante, la couvrant de petites incursions appuyées.
- Oui, c'est bien, m'encouragea Carole… là… Tu peux enfoncer tes doigts …
Carole se mit à pousser des petits gémissements, Puis je sentis ses deux mains se saisir de ma main pour l'immobiliser. Agitant son bas-ventre d'avant en arrière, elle entreprit de frotter avec fougue, son clitoris contre ma main. Je ne tardais pas à m'apercevoir que son sexe était de plus en plus ruisselant de sécrétion,
au bout d'un instant, Carole cessa tout mouvement, s'immobilisant brusquement, tandis qu'une douce plainte jaillissait de sa gorge, brisant le silence de la cuisine. Puis au bout de quelques minutes, elle me libéra.
- C'était bon, tu sais, me dit-elle dans un sourire !
La main littéralement trempée par tout le liquide qui s'était échappé de la vulve de ma sensuelle hôtesse,
mon sexe effroyablement bandé, J'eus sous les yeux le spectacle hallucinant des plis et replis rouges vifs et luisants de sa vulve. Je mourais d'envie d'y enfoncer mon sexe, de sentir ces chairs palpitantes enserrer mon penis.
- Viens ! me demanda soudain Carole ...
nous nous embrassâmes de nouveau, passionnément. Ayant perdu toute timidité, j'en profitais pour laisser courir mes doigts sur ce corps si sensuel, frôlant les larges hanches évasées, pétrissant les fesses, les écartant largement l'une de l'autre. Est-ce le fait de mes caresses, Carole, accrochée à mon cou, commença à s'agiter contre mon corps, frottant lascivement son bas-ventre nu contre l'imposante bosse que faisait ma verge tendue. Au bas de mon ventre, ma verge se dressait orgueilleusement, tandis qu'une douleur me tordait les entrailles. Sans un mot, Carole s'allongea sur le lit conjugal. Là me fixant avec une intensité que je ne lui connaissait pas elle écarta ses jambes.
- Viens ! M'appela-t-elle… Viens entre mes jambes mon chéri…
Tout en me parlant, elle écarta de ses deux mains sa longue fente trempée, je m'approchais. Ecartant encore plus largement l'entré de son vagin, Carole m'invita à la pénétrer d'une voix oppressée.
- je l'ouvre bien pour que toi … Viens mon chéri…
Je n'en croyais pas mes yeux de voir ce sexe féminin offert à mes désirs, à ma disposition. Carole se saisit de mon sexe pour diriger mon gland à l'entrée de sa faille sexuelle. Alors je me laissais aller et m'allongeait sur elle, m'appuyant sur mes coudes. Avec une énorme émotion je sentis ma verge s'enfoncer progressivement dans le conduit vaginal d'une extrême onctuosité. J'étais terriblement excité par cette situation. C'était la première fois que j'enfonçais mon membre viril dans le sexe d'une femme. Une fois ma queue enfoncée entièrement dans la profonde vulve bouillante, je sentis mes bourses venir heurter les fesses de ma compagne, qui sans que je comprenne pourquoi se mit à gémir sans retenue. Prise d'une espèce de frénésie, elle avançait son bassin et relevait ses jambes en les écartant le plus possible, pour s'offrir sous un meilleur angle, me facilitant une pénétration plus profonde. J'entamais alors ce mouvement de va-et-vient, faisant coulisser mon dard de chair dans les entrailles féminines, je bougeais lentement pour mieux savourer le frottement des chairs moites et brûlantes sur ma verge, cela me plaisait énormément.
- Plus vite ! Gémit-elle soudain … Va plus vite mon chéri … Baises-moi bien à fond.
j'accélérais alors mon mouvement pour finir par de grands coups de boutoir qui m'enfonçaient violemment dans son ventre. Sa chatte était de plus en plus ruisselante de jus chaud et onctueux. Elle émettait un delicieux bruit de clapotis Plus mes coups de reins se faisaient violent, plus ma compagne se cambrait en poussant de véritables cris de plaisir. Haletante, elle s'accrocha à mon cou pour m'embrasser avec fougue.
Nos langues se caressèrent dans un bain de salive, alors que ses énormes seins se trouvèrent écrasés par ma poitrine. J'étais au paradis. ma langue dans sa bouche, mon sexe bien au fond de son ventre. Des gémissements de plus en plus fort sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps de tendait, s'arquait. Ses mains me griffaient la nuque. Je n'arrivais pas à réaliser ce qu'il m'arrivait. Je voyais et sentais ma queue entrer et sortir de cette forêt gluante. Carole avait fermé les yeux pour mieux savourer ce moment. Entre deux gémissements langoureux, elle me marmonnait entre ses dents
- Oh, j'aime ça, tu me rends heureuse.
- Oh oui ! Vas-y mon chéri, enfonce ta bien ta queue dans mon ventre… Vas-y baises-moi profondément…
Elle soufflait comme un bœuf, son souffle était puissant et bruyant, elle jouissait comme une folle. à voir son regard dilaté, son visage en sueur et sa bouche tordue dans un rictus, je compris que sa jouissance était bien réelle, elle m'offrait son corps sans pudeur, sans retenue. Je la baisais de plus en plus sauvagement, lui labourant violemment le vagin de mon soc charnel. Sa vulve ruisselait d'un jus chaud et poisseux qui me trempait les cuisses, avant d'inonder les draps du lit. Subitement je sentis le plaisir monter en moi,
- Carole .... je crois que je viens !!!!
- Oui mon Cheri ... vas-y ! donnes moi ton sperme ! remplis moi le ventre !
De longues giclées jaillirent de mon gland tuméfié, comme pour éteindre l'incendie qui ravageait la vulve dans laquelle je naviguais. Cet orgasme aussi violent que soudain me procura des douleurs dans le dos et l'arrière des jambes, j'étais secoué de la tête aux pieds. Carole se raidit soudainement en émettant un long râle déchirant. Tout son corps se mit à trembler convulsivement, comme pris de convulsions. Ca dépassait tout ce que j'avais pu imaginer. Le fait de penser que j'étais responsable de cette jouissance phénoménale, me comblait d'exitation.
- Oh mon cheri tu viens de me faire jouir comme tu ne peux pas imaginer !
Nous sommes restés allongé l'un sur l'autre, l'un dans l'autre, sans rien dire, à reprendre notre souffle et nos esprits. J'avais laissé ma verge profondément enfouie dans la chatte devenue brûlante et dégoulinante de jus. Au bout de quelques minutes, Carole ayant refait surface, me passa tendrement la main dans les cheveux.
- Tu as aimé ? Me demanda-t-elle doucement. Tu as bien joui ?
- Oh oui, répliquais-je comblé. Si je n'ai pas perdu connaissance, c'est un miracle.
- Tu es sûr que c'est ta première expérience ?
- Oui, c'est la première fois.
- Eh bien, il me semble que tu es plutôt doué, me complimenta-t-elle. M'attirant à elle, Carole m'embrassa à pleine bouche. Nous avons passé dix minutes à nous embrasser et nous caresser mutuellement. Au bout d'un moment, m'ayant repoussé hors de son sexe, elle se redressa pour se pencher sur ma virilité encore à demi bandée.
Lorsque je sentis la pointe de sa langue effleurer mon gland tout poisseux de nos sécrétions amoureuses, je ne pus refouler un geste de recul, songeant qu'elle ne pouvait lécher les résidus de nos jouissances respectives. Comprenant mon émoi, Carole tint à me rassurer :
- Tu sais, mon amour, Ton sperme ou mon jus, ce sont des liquides savoureux …
- Regarde je vais te faire du bien.
et la mère de Luc, joignant le geste à la parole, se mit à me sucer mon sexe avec ardeur. Si bien qu'en un rien de temps, je me remis à bander avec autant de force qu'avant mon éjaculation. Je n'en revenais pas. sous la fellation savante et terriblement voluptueuse que je me procurait Carole, voila que mon sexe se durcissait de nouveau.
- Tu aimes ?
- J'adore, lui répondis-je.
D'un coup de reins, elle s'allongea devant moi, et en passant une de ses mains entre ses cuisses, elle se saisit de ma verge qu'elle dirigea vers le sien. Le bout arrondi de mon gland s'appuya sur sa vulve trempée.
- Là, tu y es, me prévint Carole d'une voix sourde… Va doucement, tu es gros… c'est bon
- Oh comme tu es gros, gémit-elle… Vas-y entre !
- Oui, Oooh c'est bon… Ne bouge pas, je t'en prie… Pas tout de suite.
- Vas-y, me demanda enfin Carole… va doucement,
- Oh oui ! Vas-y mon chéri défonce moi...
J'étais excité comme jamais je ne l'aurais imaginé et les gémissements plaintifs de ma compagne m'encourageaient à continuer.
J'accélérais peu à peu mon mouvement de va-et-vient, pistonnant de plus en plus vite et de plus en plus profondément. Mais d'un seul coup je senti mon sperme monter de mes bourses gonflées à ma verge frémissante. Sans que je puisse me retenir je lâchais mon sperme par saccades. J'eus l'impression de me vider entièrement, tant l'éjaculation dura. Carole se raidit subitement et grogna comme un animal, son corps tremblait comme une feuille. Etant penché sur elle, je lui caressais l'intérieur des cuisses que je trouvais abondamment mouillées, tant ma complice avait joui. Epuisé par cet acte intime, je retirais ma verge. Elle était extrêmement sensible. Se redressant, Carole me serra dans ses bras, ses tendres baisers me remercièrent de tout ce plaisir qu'elle venait de vivre et partager avec moi.
- Tu sais, j'ai jouis comme une folle, tu m'as procuré énormément de plaisir.