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samedi 13 décembre 2025 - 09h35rech / rep
hrem-robe-champage-chifbeaopie

hrem-robe-champage-chifbeaopie
(taille reelle)
ne cesse pas de me désirer ()
Tu feras tomber ma robe qui glissera consentante, offrant mon corps de femme aux braises alanguies, parant mes deux seins lourds d’ombres douces, mourantes, ocres rouges sanguines, trouble appel dans la nuit.
Ma langue se fera saillie de mes lèvres entrouvertes, d’un désir si intense appuyé, infini, amenant à toi, ma chair nue, découverte, balayée par un vent brulant d’Abyssinie.
Éclairé des étoiles sublimant cet instant, mon corps se fera dunes, courbures incendiaires, vagues de sable chaud, oasis brulant sous tes doigts pénétrants mes humides frontières.
Devenue faible proie, je glisserai dans l’ultime, tenaillée de cette faim d’appétence animale, buvant au creux du corps, des replis de l’intime, l’oued libérateur, femelle de mon mâle.
Ne te lasse pas de me regarder, ne cesse pas de me désirer, tu me prendras comme on cueille un fruit, tu me degusteras avec délice et gourmandise, tu effeuilleras mon corps onctueux dans un soupir, tu caresseras mes lèvres à ta guise.
Je me donne à toi tel un cadeau sucré, Fais jaillir en moi le feu sacré, fais moi rougir de plaisir... Laisse toi aller à ton plaisir ! C’est si bon de s’abandonner !
Donne moi tes lèvres chaudes ! Echangeons un premier baiser pour un premier plaisir. Puis, un deuxieme baiser, plus mouillé, plus profond ... Et puis alors, collée à tes lèvres, Je ne veux que tes baisers
Chut ! ne dis plus rien. Laissons nos langues se caresser, s'emmêler, se reconnaitre. Je te sens trembler et je t'entends gémir. Tu sens mes seins qui sur toi se frottent doucement ?
Sens tu mes mains vagabondes qui remodèlent ton corps ? Sens-tu ce plaisir qui monte, qui dure et s'éternise ? et ces frémissements qui n'en finissent pas ? Sens tu la chaleur de mon corps contre toi ?
Et maintenant, Aime moi sans retenue. Fais de moi ta deesse Entre les draps, toute nue, comble moi de tes prouesses Devore ma peau avec de tendres baisers Dis moi tout bas tes plus folles pensées Enmene moi au paradis. Donne moi de la magie de la passion et du plaisir
- De ton corps, je veux tout ! Que tes lèvres me savourent, qu’elles me sucent, m’engloutissent. Que ta bouche déguste les épices de nos salives qui se mélangent.
- Je veux que mes seins lourds que tu caresses et qui te troublent
soient l’oasis de nos jouissances Je veux que mon corps chaud t’enflamme, qu'il te brûle. Et que, dans mon nid parfumé mouillé de mon nectar, Tu te libères en moi et me donnes toute ta sève chaude
Dresse toi bien contre moi, Enfonce toi dans ma chair, Enfonce toi loin en moi, pénètre moi, explore moi, Perfore moi, Investis moi, brutalement, sans concession, Fais moi jouir, Enflamme moi, Essouffle moi, Finis moi, Et toi, remplis moi de toi Offre moi ta liqueur douce amère, Qu‘elle jaillisse et coule le long de mes lèvres au fond de moi. Abreuve moi de ta sève, de ton onction liquide, Lâche toi ! Jouis en moi ! Maintenant ! Fais jaillir ton miel d'homme ! Inonde moi de toi !












Elle me proposa de me montrer comment les femmes étaient faites et comment on faisait l’amour. Elle m’embrassa sur la bouche, puis saisit mon membre érigé. S’extasiant sur ses dimensions, affirmant qu’il était très gros pour mon âge (mes organes sexuels, en effet, ont toujours été très volumineux), elle l’embrassa et me dit : « Vous avez un si joli instrument et vous ne savez pas vous en servir ! Voyez comme il est dur et chaud, ça prouve qu’à l’insu de son maître, il désire déjà la femme ! Avec un pareil objet, vous pouvez rendre heureuse une femme. » Je faisais comme si je ne comprenais pas. Alors elle poursuivit l’explication, décrivit, en termes lascifs, la copulation, puis leva son jupon et montra ses jambes nues et ses organes sexuels qu’elle me fit palper. Elle n’avait pas de culotte. À demi-couchée, elle m’attira sur elle et, de sa main, introduisit mon membre dans le vagin. Nous coïtâmes très voluptueusement. Après l’opération, elle me recommanda de ne parler à personne de notre aventure et ajouta qu’elle avait fait cela exclusivement en vue de mon bien, pour me préserver de l’onanisme et des méchantes femmes. Nous eûmes depuis plusieurs autres tête-à-tête, qui se terminaient toujours par la copulation.

et voyant mon ignorance, elle me coucha sur le dos, fit sortir du pantalon mon pénis érigé et, levant le jupon, se coucha sur moi en plantant mon pénis dans l’intérieur de son ventre. Puis, en faisant des mouvements rapides avec son ventre et ses cuisses, elle me chevaucha jusqu’à ce que se produisit chez elle l’orgasme qui lui fit presque perdre connaissance. Pendant qu’elle coïtait, elle me baisait sur la bouche. Je me souviens encore de la sensation du pénis fortement comprimé et tiraillé par les muscles de la vulve de la jeune fille