Elle me proposa de me montrer comment les femmes d'arabie étaient faites et comment elles faisaient l’amour. Elle m’embrassa sur la bouche, puis elle leva son voile et montra ses jambes nues et ses organes sexuels qu’elle me fit palper. Elle n’avait pas de culotte. À demi-couchée, elle m’attira sur elle et, de sa main, introduisit mon membre dans le vagin. Nous coïtâmes très voluptueusement. Après l’opération, elle me recommanda de ne parler à personne de notre aventure et ajouta qu’elle avait fait cela exclusivement en vue de mon bien, pour me préserver de l’onanisme et des méchantes femmes. Nous eûmes depuis plusieurs autres tête-à-tête, qui se terminaient toujours par la copulation.
et voyant mon ignorance, elle me coucha sur le dos, fit sortir du pantalon mon pénis érigé et, levant le jupon, se coucha sur moi en plantant mon pénis dans l’intérieur de son ventre. Puis, en faisant des mouvements rapides avec son ventre et ses cuisses, elle me chevaucha jusqu’à ce que se produisit chez elle l’orgasme qui lui fit presque perdre connaissance. Pendant qu’elle coïtait, elle me baisait sur la bouche. Je me souviens encore de la sensation du pénis fortement comprimé et tiraillé par les muscles de la vulve de la jeune fille