arpoma.com (art actualite histoire lieux)
home               retour
arpoma.com
N
samedi 13 décembre 2025 - 06h03rech / rep
-hrem-03-debIMG_0221 copie

-hrem-03-debIMG_0221 copie
(taille reelle)
Leila sans voile ()
Leila me proposa de me montrer comment les femmes étaient faites et comment on faisait l’amour. Elle m’embrassa sur la bouche, puis saisit mon membre érigé. S’extasiant sur ses dimensions, affirmant qu’il était très gros pour mon âge (mes organes sexuels, en effet, ont toujours été très volumineux), elle l’embrassa et me dit : « Vous avez un si joli instrument et vous ne savez pas vous en servir ! Voyez comme il est dur et chaud, ça prouve qu’à l’insu de son maître, il désire déjà la femme ! Avec un pareil objet, vous pouvez rendre heureuse une femme. » Je faisais comme si je ne comprenais pas. Alors elle poursuivit l’explication, décrivit, en termes lascifs, la copulation, puis leva son jupon et montra ses jambes nues et ses organes sexuels qu’elle me fit palper. Elle n’avait pas de culotte. À demi-couchée, elle m’attira sur elle et, de sa main, introduisit mon membre dans le vagin. Nous coïtâmes très voluptueusement. Après l’opération, elle me recommanda de ne parler à personne de notre aventure et ajouta qu’elle avait fait cela exclusivement en vue de mon bien, pour me préserver de l’onanisme et des méchantes femmes. Nous eûmes depuis plusieurs autres tête-à-tête, qui se terminaient toujours par la copulation.

et voyant mon ignorance, elle me coucha sur le dos, fit sortir du pantalon mon pénis érigé et, levant le jupon, se coucha sur moi en plantant mon pénis dans l’intérieur de son ventre. Puis, en faisant des mouvements rapides avec son ventre et ses cuisses, elle me chevaucha jusqu’à ce que se produisit chez elle l’orgasme qui lui fit presque perdre connaissance. Pendant qu’elle coïtait, elle me baisait sur la bouche. Je me souviens encore de la sensation du pénis fortement comprimé et tiraillé par les muscles de la vulve de la jeune fille


Leila est voilée, complètement, mais ses yeux me fixent, avec une intensité redoutable. Je respire son parfum, mélange subtil de son odeur de femme et de son eau de toilette. Ses seins sont à l'étroit sous le voile, ils bougent légèrement au rythme de sa respiration. Je les devine lourds, beaux, massifs, gonflés avec leurs pointes qui saillent fortement. il fait chaud. Nous restons un long moment, sans parler. Nous sommes l’un contre l’autre. Elle prend mes mains et les pose sur ses hanches, Doucement, je relève le bas de son voile, la peau caramel, de belles formes, lisses, souples et bien rondes. Je les palpe, les embrasse doucement pour goûter sa peau dorée ... Bien cambrée et appuyée sur les coudes, elle s'offre à moi. Je sens sa chaleur humide, son envie de moi, son désir de moi. Wahida se laisse envelopper par mes bras, par mon corps. Je caresse ses seins. Je lui embrasse la nuque et lui mordille l'oreille. Elle gémit doucement. Sa bouche cherche et trouve la mienne. Sa langue humide et agile m'électrise.
Nous sommes sur le lit, desormais nus, l'un contre l'autre. Elle me sourit, je lui souris et lentement, je m'enfonce dans ses entrailles, c'est une sensation d'une douceur infinie. Elle ferme les yeux et semble goûter l'instant. Une fois, puis deux, les mouvements sont plus amples, chacun de mes retraits s'accompagne d'un délicieux bruit de succion. Ma verge plonge en elle et gonfle en meme temps. Elle occupe son espace tout entier. Je m'inquiète d'elle:
- Tu es bien ? ... Tu veux, maintenant ?
- Non ... Pas encore... C'est si bon !
Je m'agrippe alors à ses épaules et reprend mes longues penetrations. Elle bouge son bassin pour accroître les sensations. Nos regards se soudent l'un à l'autre. Elle aspire ma verge, Je m’enfonce. Je glisse dans son ventre. Elle aspire mon sexe de ses muscles intimes, s’abandonne, liquide, légère. goût du vertige, je voyage en elle. Je goute ses succions. lumière veloutée. Je glisse en elle avec une facilité et une douceur surprenantes. Je l'embrasse dans le cou, hume son délicieux parfum pendant que je la penetre en douceur.tout son corps frémit … Elle suinte de cyprine. Des bruits delicieux de succion accompagnent mes pénétrations, je m'agrippe à ses hanches, je me mets à la penetrer de plus en plus fort. Chaque assaut se propage dans son corps et lui arrache des gémissements. Le climat monte et je sens mes bourses, prête à exploser, ses mouvements se font plus désordonnés. Elle s'enfonce ma queue sous tous les angles, la ressort presque entière avant de se la renfourner avec plaisir. je la baise à fond, venant heurter ses fesses de mes bourses à chaque coup de rein avec un petit bruit sec ; ses seins ballottent comme en pleine tempête. Wahida gémit de plus en plus fort. J'enfonçe mon visage dans son cou. tandis que je palpe ses seins, Elle m'encourage tendrement, les yeux mi-clos, la tête penchée au milieu de ses cheveux noirs en désordre. Ses lèvres trempées s'écartent un peu plus et mon sexe glisse dans du beurre tiède. Sa ventre est très chaud et assez étroit, faisant comme un fourreau satiné et glissant. elle relève encore les jambes en les écartant au maximum
Un léger coup de rein, je la pénètre plus profondément, elle est prise de vertige et ferme les yeux un instant. Je me concentre sur ce gros gland qui la fouille et qu'elle aime. La transpiration perle entre ses seins, nous poursuivons notre course. Je lui donne du plaisir, elle me le rend au centuple. La sensation de mon enorme sexe dans le sien lui fait perdre toute retenue.
- Maintenant ! me dit elle.
Je saisis ses épaules, augmente l'ampleur et la puissance de mon mouvement, le clapotis de nos sexes emmêlés et le claquement de nos chairs m'excite. Elle se cabre, je poursuis ma chevauchée. Elle jouis encore et je continue. Je n'en peux plus. Mes muscles se tendent. Je me plante vivement au fond d'elle ... Je me raidis, me retiens, me crispe ... et, d’un souffle, je me vide et me répand en elle en une apothéose ! en plusieurs chaudes et copieuses décharges qui la remplissent Je m'effondre sur son cou, la caressant et l'embrassant doucement. Je me penche sur elle. Je l'embrasse dans le cou, elle sourit, sentant un flot la remplir. Je l'inonde d'une douce chaleur. Elle en gémit de bonheur. Je m'effondre sur elle avec des grondements d'ours blessés. Je caresse amoureusement sa tête nichée au creux de mon épaule. Elle conserve dans sa chair mon sexe emprisonné. Des larmes de bonheur inondent ses paupières.