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samedi 13 décembre 2025 - 07h42rech / rep
--hrem-12-0zahra

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(taille reelle)
Zahra à Teheran ()
C'est le crépuscule sur Téhéran. La nuit est fraîche. Des jeunes filles en groupes restreints s'amusent à narguer l'étranger que je suis, le groupe se resserre autour de moi, les filles sont légères et volubiles, belles derrières ces voiles légèrement écartés qui laissent deviner un peu de leurs charmes enfouis,
Zahra a attiré mon attention, elle se trouve légèrement à l'écart du groupe. La forme de son corps se devine sous son voile légèrement translucide, l'oeil noir provoquant, les doigts effilés bardés de quelques bijoux. Zahra a capté mon regard comme une supplique, elle éveille en moi un désir sensuel et violent. Je me rapproche d'elle, à la toucher, humant les parfums de son corps, elle me fixe d'un regard bienveillant, voir complice. Je l'aborde, elle de semble pas s'effaroucher, bien au contraire. Son visage est tout proche du mien.
Elle m'entraîne alors chez elle par la main, c'est à deux pas, une petite maison toute simple. Elle m'accueille dans son petit logement. Je ressens toute l'ivresse de l'exploit, Elle prend ma main et la guide lentement vers son visage la glissant pudiquement sur ses chairs aisément palpables à-travers les tissus enveloppants qui moulent son corps, les ondulations de ce corps magnifique réveillent en moi une violente attirance,
J'approche mon visage, elle n'esquive pas. Je dépose un baiser sur son front comme un père à sa fille, pudique, imprécis et malhabile. Elle se laisse faire et s'incruste volontiers contre moi. Elle accepte sans retenue, puis me tend une bouche entr-ouverte. Elle s'offre à ma bouche et j'y plonge avec ferveur, je dégage sa langue, j'aspire ses onctueuses salives, j'hume le souffle chaud qui jaillit de sa poitrine exhaltée. Je sens ses doigts parcourir mes reins. Les miens vont vers sa croupe, s'infiltrent dans les dédales sinueux de ses voiles lâchement disposés autour de son corps, atteignent les zones plus intimes, s'y attardent faisant vibrer son corps de spasmes erratiques. Puis elle s'écarte de moi, me regarde, intensément, et m’entraine par la main dans la pièce voisine. Elle me conduit dans l'alcôve puis elle s’allonge sur le lit. Elle écarte doucement les jambes, relève ses voiles sur ses hanches Elle est étendue là, devant moi, offerte. L’air frais sur sa toison humide me donne le frisson. Son regard tendre et humide me trouble terriblement
- Releve mon voile de soie, Ce voile, plein de ma faim, de ma soif de toi, Ce voile que j'écarte maintenant pour que tu viennes à moi.
- J'ouvre mes lèvres pour toi, pour que tu viennes en moi, regarde ce duvet au milieu de mes jambes nues. Entend mon ventre murmurer. Viens ! Goutte ! Entre ! C’est mon cadeau le plus émouvant !
Zahra m'attire vers elle avec une extrême douceur, comme si je planais comme si nos corps avaient cessé de se toucher. Son regard au fond du mien, elle me fixe intensément, comme un signe d'appel. Mon envie d'elle se lève, se raidit, libre sous le voile, cherche instinctivement, sa voie ... pas longtemps, je sens sa main qui me guide.
Elle s'ouvre, tendre et humide, onctueuse et chaude, Je la sens. Elle me sent, elle mouille, elle m'aspire. Je glisse en elle. Nos corps se réunissent en une complète osmose. Je sens ses douces et chaudes caresses intimes. Je la pénètre. Elle m’absorbe. Son corps tout entier se donne peu à peu, telle un offrande, telle une fleur au printemps. je suis bien. Une eternité de douceur et de plaisir controlé. Son ventre est doux, chaud et etroit, Je la pénétre doucement, tendrement. Son souffle est lent. Plus je pénètre en elle, plus il est long et profond. J'atteins bientot le fond, je reste un moment en elle sans bouger. Elle a les yeux fermés, elle est offerte, la bouche ouverte, tout son corps semble jouir de ma douce penetration. Je passe ma main dans ses cheveux, carresse son visage, elle se mordille les levres, doucement le rythme s'accélère.
Elle est maintenant si offerte, si chaude, si douce à l'interieur, je ne quitte plus son regard, sublime de satisfaction, de plaisir naissant. je sens le plaisir, l'envie de m'abandonner , mais il ne faut pas, pas maintenant, pas encore,
J’oscille en elle, sans faire de bruit, juste du plaisir. Elle m'avale, m'absorbe, digere sa proie. Ses yeux se plissent, Je suis alors saisi par une puissante vague d’un plaisir encore plus grand, plus lourd Je n’ai jamais rien senti d’aussi doux depuis longtemps. Comme une crème enveloppante, un cocon envoutant qu’on ne voudrait jamais quitter.

Autour de moi, les lumières tournent, je sens les pulsations dans mon corps, ma gorge est sèche. Elle esquisse une grimace, Elle incline son bassin pour que je la pénètre plus au fond. J’entame des mouvements d’avant en arrière, fou d’un désir que je ne connais pas. Elle frissonne soudain, puis tremble ..... de plus en plus. Tout son corps vibre accompagné de spasmes intenses. Elle est comme folle, haletant, criant sa jouissance. Puis elle se cabre, elle me serre, ses muscles se raidissent ... ses doigts s'incrustent dans mes chairs. De violentes secousses lui traversent les entrailles... elle jouit dans mes bras !
Je saisis ses seins, je les palpe, les masse. Nos sexes l'un dans l'autre émettent un bruit de succion terriblement sensuel. Ses lèvres trempées suintent sur mon membre et sur mes bourses. Le lit se tache de nos sécrétions, ma queue entre et sort de plus en plus vite, Je sens ses contractions à chacune de mes pénétrations. Elle respire fort, ancrée en moi, ouvre les yeux, me tire vers elle, me supplie de lui donner ma sève. Je ne parviens déjà plus à me retenir, jouissant à me faire perdre la tête dans le corps de cette femme que je ne connais que depuis quelques minutes. Je n'en peux plus ! Je me plante au plus profond d'elle ... Et je lui donne tout ! Je me vide au plus profond de son ventre, Un trait, un premier, violent jet de plaisir. Elle me fixe intensément. Un second, abondant, elle sourit et ouvre grand les yeux Un troisième, je sens ses ongles me pénétrer. La sensation du sperme chaud se répandant dans ses entrailles la comble. Un quatrième jet, elle ferme les yeux et tend ses muscles. Un cinquième, poussé loin et long au fond de son ventre. Elle pousse un long râle, se cabre. Un sixième qui avoue sa fin. Elle prend, récolte, cueille, ingère ce plaisir que nous partageons. Je m'effondre sur elle, en sueur, épuisé, avec des grondements d'ours blessés.
Zahra caresse amoureusement ma tête nichée au creux de son épaule. Des larmes de bonheur inondent nos paupières. Elle conserve un moment dans sa chair mon sexe emprisonné. Je la regarde aimer mon corps. Elle est belle. Elle rouvre les yeux, étonnée, heureuse. Je ne saurais dire combien de temps nous sommes restés la, étendus, emboîtés, assouvis. Tout ce que je veux, c’était la tenir dans mes bras, presser sa chaleur sur sa mienne, sentir sa poitrine sur ma peau.
Au bout d,un moment, elle se relève, m'envoyant un généreux sourire d'une grande tendresse, et se rhabille en silence, puis elle vient déposer un très sensuel baiser sur mes lèvres, comme une reconnaissance.Tous deux enlacés sur le lit en désordre, elle murmure à mon oreille:
- Ne bouge plus ! Serre moi contre toi ! Sens mon parfum sur ta peau. Tu me laisses apaisée, comblée.
- Tu as bousculé ma vie. Tu m'as donné ta douceur, ta chaleur ... Embrasse moi, caresse moi ...
- Je veux garder en mémoire ce moment, de tendresse, de douceur,
- Je veux me souvenir de tes soupirs, de ta fougue qui se déclenche quand tu serres tes muscles et que tu n'y tiens plus... de ton jet de vie qui m'envahit, de ta semence chaude qui inonde mes chairs, de la jouissance qui nous prend, tous les deux, jusqu'à l'épuisement.
- Tu es mon délicieux amant secret !
- Ecoute moi: Quand tu reviendras chez moi, je prendrai tes lèvres dès la porte. Nous irons de nouveau, sans parler, dans l'ombre et les coussins, tu m'y feras tomber, longue comme une morte, et, passionnément, tu chercheras mes seins. A travers mon bouquet de voile, ta bouche prendra leur pointe nue et rose entre deux fleurs, et m'écoutant gémir du baiser qui les touche, tu me désireras, jusqu'aux pleurs ! De tes lèvres a mon sein, ta main adroite fera vibrer mon corps intime et moite et exaltera ma chair sensible pour toi. Toi mon amant ami, je t'en prie, reviens moi vite !