Soucieuse de mon état de santé, Lea, ma douce infirmière engagée auprès de moi, entra dans la chambre, s’approcha du lit et vint vers moi pour me tâter le front et prendre mon pouls. Sa robe de chambre de soie blanche aux derniers boutons ouverts devoilait la délicieuse fente de ses seins. Ma douce Lea se pencha pour réajuster l’oreiller et, ce faisant, fit bailler son peignoir un peu plus, Sa poitrine imposante débordait du soutien gorge. Elle arriva à portée de ma bouche, touchant mes lèvres furtivement. A ce contact, Lea poussa un petit soupir, se pencha un peu plus ce qui eut pour effet de plaquer son sein sur ma bouche.
Je sentis la chair ferme, douce et ronde contre mes lèvres et respirai une odeur de savon à la lavande.
Lea resta un court instant penchée sur moi et finit par se redresser.
- Allons, je vais te laisser dormir un moment.
Elle tourna les talons et quitta la chambre aussi doucement qu’elle était y était entrée. J'étais quelque peu émoussé par ce qui venait de se produire, je finis par trouver le sommeil.
Un bruit de froissement de tissu me fit revenir à moi dans un demi sommeil. Lea était devant moi, magnifique. Elle avait déboutonné sa robe de chambre, et reajustait sa poitrine dans son soutien gorge, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes mais ayant trop mal pour faire le moindre mouvement. Elle s’assit sur le lit, fit « chut » avec l’index de sa main droite avant de la passer sur ses seins dont les bouts durcissaient à vue d’œil Plantée à côté du lit, un sourire carnassier sur les lèvres, elle écarta les draps et s'installa à califourchon sur moi. Elle prit mon sexe bandé dans sa main et le dirigea vers sa vulve trempée. Elle se laissa enfoncer sur mon pieu et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. J'entendais les bruits mouillés causés par les mouvements de mon sexe dans son vagin. Le doux clapotis allié à la vision de ce sexe féminin absorbant mon penis eut pour effet de m'amener une puissante éjaculation ce qui provoqua chez elle un violent orgasme, ondulant du bassin, avec moi enfoncé dans son vagin,
elle se redressa, me donna un doux baiser et sortit de la chambre.
La lumière baignait la chambre doucement. J'avais soif et la bouche pâteuse. ma gorge était vraiment très sèche. Comme si le ciel m’avait entendu, je vis la porte s’ouvrir sur Lea, Elle portait un plateau où se trouvaient, à côté des mets, une carafe d’eau et un verre. Elle posa le plateau sur une table roulante qu’elle amena au niveau du lit, versa de l’eau dans le verre et me fit boire.
Le liquide, certainement de l’eau du robinet, me fit du bien.
- Tu as dormi, il faut te nourrir !
Elle prit place près de moi et me donna à manger. Sa blouse était ouverte sur le haut et à chaque bouchée, je pouvais admirer l’étroit sillon à la naissance de ses seins. Sous sa blouse, ses cuisses étaient gainées de bas sombres.
- Je crois que tu as apprécié mes soins amoureux !
Lea défit alors son chignon et laissa ses cheveux blonds descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna legerement sa blouse, découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Elle ne portait pas de culotte. Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes. Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main. Je poussai un gémissement. Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient de ma douce crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire. Je sentais les lèvres de ma belle gober mon gland avec douceur, puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base. Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge, mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis, et elle abandonna ses mouvements buccaux.
- Tu réagis bien aux stimuli. Je pense que tu vas déjà beaucoup mieux !
Là-dessus, elle monta sur le lit, l’enjamba après avoir tiré les draps à mes pieds Elle abaissa mon pantalon de pyjama au niveau de mes genoux. Elle tira sur ma veste de pyjama et découvrit mon torse.
Elle remonta sur moi à genoux, sans me quitter des yeux, introduisit un doigt entre ses petites lèvres,
puis attrapa mon sexe dressé et le présenta à l’entrée de sa vulve et s’empala sur toute la longueur du membre. J'avais les jambes serrées l’une contre l’autre tandis qu’elle avait ses cuisses de chaque coté des miennes. Elle se soulevait pour coulisser sur moi avec son ventre. J'avais mal mais c’était si délicieux de la voir se démener sur ma queue… Au bout d’un moment, le plaisir gronda et je me vidai dans son ventre Lea resta assise sur moi, empalée au plus profond, sans bouger, savourant les jets de sperme chaud. Elle resta très longtemps dans cette position, caressant mes couilles qu’elle torturait en même temps qu’elle me comblait. Je vis poindre le clitoris rouge et brillant hors du capuchon, tel un petit sexe en érection. Elle jouissait comme une folle et les spasmes agitant son bas ventre semblaient ne pas pouvoir s’arrêter. Puis mon sexe finit par ramollir dans son vagin et se recroqueviller peu à peu, dans la convalescence. J'étais guéri.