L'infirmière entra dans la chambre, s’approcha du lit, elle jeta un œil à la feuille de soins accrochée au bas, et vint vers moi pour me tâter le front et prendre mon pouls. Sa blouse blanche aux derniers boutons ouverts devoilait un soutien gorge abondamment rempli. Elle se pencha pour réajuster l’oreiller et, ce faisant, fit bailler sa blouse un peu plus, Sa poitrine genereuse débordait du soutien gorge. Elle arriva à portée de ma bouche, touchant mes lèvres furtivement. A ce contact, l’infirmière poussa un petit soupir, elle se pencha un peu plus ce qui eut pour effet de plaquer son sein sur ma bouche. Je sentis la chair ferme, douce et ronde contre mes lèvres et respirai une odeur de savon à la lavande. L’infirmière resta un court instant penchée sur moi. Elle finit par se redresser.
- Allons, je dois vous laisser dormir à présent.
Elle tourna les talons et quitta la chambre aussi doucement qu’elle était y était entrée. J'étais complètement ébranlé par ce qui venait de se produire, je finis par trouver le sommeil.
Un bruit de froissement de tissu me fit revenir à moi. L'infirmière de tenait devant mon lit. Splendide. Elle avait déboutonné sa blouse, et reajustait sa poitrine dans son soutien gorge, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible,
sentant ma queue durcir entre mes jambes mais ayant trop mal pour faire le moindre mouvement. Elle s’assit sur le lit, fit « chut » avec l’index de sa main droite avant de la passer sur ses seins dont les bouts durcissaient à vue d’œil
Plantée à côté du lit, un sourire carnassier sur les lèvres, ma belle infirmière écarta les draps et s'installa à califourchon sur moi, Elle prit mon sexe bandé dans sa main et le dirigea vers son puit luisant. Elle se laissa enfoncer sur mon pieu et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. J'entendais les bruits mouillés de mon sexe glissant dans son vagin Le doux clapotis allié à la vision de ce sexe de femme absorbant mon penis eut pour effet de m'amener une puissante éjaculation . L’infirmière eut un orgasme, ondulant du bassin, avec moi enfoncé dans son vagin, elle se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la chambre. Je me retrouvai de nouveau seul, sans la possibilité de me soulager sous peine de souffrir un maximum.
Lorsque je me réveillais, il faisait jour. La lumière baignait la chambre doucement. J'avais soif et la bouche pâteuse. ma gorge était vraiment très sèche. Comme si le ciel m’avait entendu, je vis la porte s’ouvrir sur une autre infirmière, blonde cette fois-ci. Elle portait un plateau où se trouvaient, à côté des mets, une carafe d’eau et un verre. Elle me salua, posa le plateau sur une table roulante qu’elle amena au niveau du lit, versa de l’eau dans le verre et me fit boire. Le liquide, certainement de l’eau du robinet, me fit du bien.
- Vous avez dormi, il faut vous nourrir !
Elle prit place près de moi et me donna à manger. Sa blouse était ouverte sur le haut et à chaque bouchée, je pouvais admirer l’étroit sillon à la naissance de ses seins. Sous sa blouse, ses cuisses étaient gainées de bas sombres.
- On m’a dit que vous aviez apprécié notre service de nuit.
Cette infirmière était aussi sinon plus désirable que la première J'étais pratiquement réduit à l’état de légume mais je mangeais tout. Elle rangea le plateau et vint se rasseoir sur le lit à coté de moi
- Il paraît que vos reflexes fonctionnent bien. Cela ne peut que nous faire espérer un rétablissement rapide.
Je la vis alors, était-ce encore un rêve ? défaire son chignon et laissa ses cheveux blonds descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna legerement sa blouse, découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Je bandais comme un fou et une colonne déformait mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes. Elle se saisit de mon sexe en érection, le sortit entièrement pour refermer ses lèvres dessus tout en me caressant les couilles. Elle engloutit toute la hampe, l'aspirant très fort en me branlant d'une main. Je poussai un gémissement.
Combien de temps durèrent les mouvements de va et vient de cette crinière blonde au bas de mon bassin ? Je ne pus le dire. Je sentais les lèvres de la belle gober mon gland avec douceur, puis ceindre le périmètre de mon membre pour l’envelopper et l’avaler jusqu’à la base. Elle savait y faire et je crus bien que j'allais de nouveau jouir et me répandre au fond de sa gorge, mais elle s’en douta certainement, vu les soubresauts qui agitaient mon penis, et elle abandonna ses mouvements buccaux. Dans un demi-sommeil je l'entendis dire:
- Vous réagissez bien aux stimuli. Je pense que vous vous remettrez rapidement.
Toujours à moitié inconscient, je la vis monter sur le lit, et l’enjamber après avoir tiré les draps à mes pieds Elle abaissa mon pantalon de pyjama au niveau de mes genoux. Elle tira sur ma veste de pyjama et découvrit mon torse recouvert d’hématomes. Elle ne portait pas de culotte. Elle remonta sur moi à genoux, sans me quitter des yeux, introduisit un doigt entre ses petites lèvres, puis attrapa mon sexe dressé et le présenta à l’entrée de sa vulve et s’empala sur toute la longueur du membre. J'avais les jambes serrées l’une contre l’autre tandis qu’elle avait ses cuisses de chaque coté des miennes. Elle se soulevait pour coulisser sur moi avec son ventre. J'avais mal mais c’était si délicieux de la voir se démener sur ma queue… Au bout d’un moment, le plaisir gronda et je me vidai dans le ventre de l’infirmière
Elle resta assise, empalée au plus profond, sans bouger, savourant les jets de sperme chaud. Elle resta très longtemps dans cette position, caressant mes couilles qu’elle torturait en même temps qu’elle me comblait.
Je vis poindre le clitoris rouge et brillant hors du capuchon, tel un petit sexe en érection. Elle jouissait comme une folle et les spasmes agitant son bas ventre semblaient ne pas pouvoir s’arrêter. Je l'entendis une nouvelle fois m'encourager:
- Vous savez, dit-elle, la volonté constitue cinquante pour cent du chemin.
- Même si vous êtes faible, même si vous souffrez, vous devez persévérer.
- Votre volonté, nous sommes là pour lui répondre et vous remettre en forme.
J'avais l'impression que mon sexe ramollissait dans son vagin et se recroquevillait peu à peu, dans la convalescence.