J'étais dans un demi-sommeil, la chambre dans la pénombre. Un bruit de froissement de tissu me tira soudain de ma torpeur. Je n'entendiss plus rien. Le silence dura une éternité. Puis, Un bruit feutré de tissu qui tombe sur le sol. Un bruit d'élastique. Un nouveau silence. Je tentais de déglutir. Je ne pouvais pas parler. Je sentis à coté de moi une bouffée d'air chaud subtilement parfumé, puis de nouveau le contact d'une main. frissonement. Je sentis une autre main, sur mon ventre, un corps se rapprochait. Sa chaleur m'envahissait. Mon corps se raidissait. Je sentis des gestes lents. Elle était à mes côtés, son parfum est discret, entêtant. Elle parcourait ma peau de ses levres humides. Je me cambrai sur le lit. Le désir enflait en moi. Je sentis alors sa poitrine au contact de mes lèvres. Je caressais ses cheveux, son visage, essayant de deviner ses traits. Je saisissais ses chairs à pleines mains. La sensation me comblait. Sa respiration s'accélera. je sentis mon membre, dur comme du marbre au contact de son corps. J'étais exténué, vidé, j'avais envie d'elle, je voulais la posséder. Je cherchais sa poitrine, la touchais avec mes lèvres L'infirmière défit son chignon et laissa ses cheveux descendre en cascade sur ses reins. Puis, elle déboutonna legerement sa blouse, dégagea sa poitrine de son soutien gorge, tout en me regardant la dévisager. J'étais dans un état d'excitation indescriptible, sentant ma queue durcir entre mes jambes. découvrant deux seins plantureux aux aréoles roses et larges et aux pointes dressées. Je bandais comme un fou et une colonne déformait déjà mon pantalon de pyjama à l’entre-jambes. Elle me présenta un de ses seins qu'elle me mis contre mes lèvres
Je baisais doucement sa belle poitrine, qui coulait dans ma bouche. Je pouvais sentir sa pointe, palpitant sous mes touches. J'essayais de le contenir entier entre mes lèvres ; Son grain prêt à bondir, sous l'effet de ma fièvre. Je suçais son élixir, la joie de mon œuvre... Ce beau sein sur ma bouche, Qu'il était pur ! Ce bouton que je touchais, Qu'il était dur ! Je voulais descendre au-dessous;
Elle s’assit alors sur le lit, fit « chut » avec l’index de sa main droite, un sourire carnassier sur les lèvres, elle écarta les draps et se positionna sur moi, Elle prit mon sexe bandé dans sa main et le dirigea vers son buisson luisant. Je me cabrais pour aller en elle. Nos sexes sont au contact. Elle halèta de plus en plus fort puis elle saisit mon membre, le fit de nouveau glisser autour de ses lèvres béantes, Je n'en pouvais plus, j'essayais de relever le bassin pour hâter l'instant. Elle me tint à distance, un court moment seulement.
Puis elle se laissa progressivement enfoncer sur mon sexe dressé tel un mat et se donna ainsi du plaisir pendant de longs moments. Je sentais son corps s'embraser. Penchée vers moi, avec un sourire gourmand, elle s'empalait en me regardant fixement, ses seins ballottaient et réveillaient ma vigueur ! je bandais comme un cheval au fond de son ventre, elle soulèvait son bassin puis se laissait redescendre pour mieux me sentir glisser sur ses muqueuses, ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée jusqu'aux bourses, J'entendais les bruits mouillés de mon sexe glissant dans son vagin Elle l'absorba petit à petit en surveillant mes réactions Je le vis disparaître entre ses grandes lèvres. Aspiré, sucé, absorbé, digéré, Il s'enfonçait dans du beurre ! Mon penis était en feu, enrobé de ses sécrétions. ma verge tantôt sortie, tantôt enfoncée jusqu'aux bourses, elle remuait sur moi, son vagin coulait sur sur mes bourses. avec un bruit de succion terriblement érotique. Le drap se tachait de nos sécrétions. ses seins ballottaient et exacerbaient ma vigueur ! je bandais comme un cheval au fond de son ventre, Je pétrissais ses seins, elle se mit à gémir, la bouche ouverte, haletante, puis brusquement se mit à vibrer, trembler en une série de spasmes ininterrompus, Elle se déchaîna, ses seins ballotterent de droite à gauche elle se mit à gémir, la bouche ouverte, haletante, elle jouissait au-delà de l'imaginable, enfilée sur mon sexe jusqu'aux bourses, rouge suffocante, splendide ! Elle jouissait sur mon sexe. Elle excitait mes sens Elle était comme folle, haletant, criant sa jouissance. Je n'en pouvais plus. J'accélèrai ! Elle se crispa. Un dernier coup de rein Je ne me retins plus ! Je me plantai au plus profond d'elle Je lâchais ma semence. un flot de sperme gicla en elle par saccades La sensation du sperme chaud se répandit dans ses chairs prolongeait sa jouissance. Elle s'écroula en sueur. Un immense sentiment de bien être m'envahit ! En me retirant, ma queue émit un indécent bruit de siphon Elle se redressa, ramassa ses affaires et sortit de la chambre. Je me retrouvai de nouveau seul, sans la possibilité de me soulager