Quand les vingt amazones eurent passé le rempart
Et refermé la porte, elles posèrent leurs poignards
En riant, en chahutant, elles me déshabillèrent,
Puis chacune leur tour, de mon corps, s’approchèrent !
Le dos et les fesses furent leur première conquête
Car dans ce petit jeu je ne devais les voir
Les plus hardies ensuite caressèrent ma tête
Avant de saisir ce qui sert d’exutoire
Elles dansent autour de moi, des plumes me transpercent
Je commence à mon tour à leur prendre les seins
Mais les luth s’arrêtent ! les jeunes filles m’enserrent
Puis m’allonge dans un bain où s’agitent leurs mains
Pendant qu’une métisse d’un onguent va m’enduire
Et que d’autres s’épilent sur le bord du hammam
Je vois s’approcher la plus belles de ces femmes
Et son sexe mouillé avide de jouir
Mon cimeterre gonflé qui luit entre mes cuisses
Est pris par la langue d’une des guerrières
Avec un drap de soie pour seul artifice
La Reine frôle ma bouche, son pubis grand ouvert
Elle commence à poser son ventre en liesse
Sur ma verge érigée, prête à la rassasier.
Je n’ai pas le temps de lui prendre ses fesses
Que déjà par sa bouche mon phallus est happé.
Ses papilles se déchaînent ! Alors moi de mes mains
Lui portent les prémices qui ouvrent le jardin
Qui transforment le désert en une vrai oasis
Qui transforment mon machin en noble pénis !
Après avoir embrassé son derrière et ses reins
Et caressé tout ce qui fait qu’elle frémit
Je saisi sa croupe et transperce son fruit
Pour que ma semence répande ses parfums
Avant que cette histoire, mirage, ne devienne
Je me cache sous un voile au milieu des sirènes
Et le sirocco qui venait me chercher
Loin de ce doux harem s’en va à tout jamais