A hue et à dia Dans le jouir, dans la joie !
Moi en maîtresse Glisse et coulisse
Danse en chaleur Faisant l'ascenseur
Sur les deux pénis L'un entre mes cuisses
L'autre entre mes fesses...
Je domine Le corps de Cyr
Qui s'amuse avec mes seins A la fois doux et durs
comme la cire Et devine Le corps de Marc
A l'aventure Dans l'arc
De mon dos jusqu'à mes reins
Je sens Dans mon ventre Les deux sexes qui entrent
Et sortent Et se frottent
L'un contre l'autre En ma chair et mon sang
Bon sang Que c'est bon ! Je m'y vautre
Dans cette jouissance Double étalons Double évanescence !
Joyeusement je m'empâte Sur leurs pieux dressés,
Cyr dans ma chatte écartelée Marc dans mon trou de balle
Et les deux compères S'activent de concert
Pour bientôt me faire jouir Dans cette symphonie du plaisir !
Les deux fameux compères Décident de changer la donne !
De se faire lions à la place de la lionne Et de m'envoyer dans les airs
Et donc voilà Cyr et son ami Se relevant et attrapant leur amie
Qui se retrouve enlacée dans les bras de son amant
Et pénétrée de chaque côtés par deux pénis charmant !
Mes deux pieds ne touchent même plus terre
Je chavire et m'enfonce dans les abysses d'une mer
Déchaînée qui n'en peut plus d'attendre
Et veut me submerger sans attendre
Mes yeux s'allument de désir,
Un feu immense envahi mon ventre !
De ma bouche s'échappe le langage du plaisir
Des oh ! des ah ! pendant que l'on pénètre mes antres
Cyr entre mes lèvres qui ne cessent de mouiller
Marc entre mes fesses qu'il ne cesse de torturer
Charmante douleur que je chante
Tandis que Je trésautte sur les deux membres tendus, De belle et haute Tenue
Cyr voit s'allumer Au travers de ma fente des yeux mi-clos
Une flamme, une tourmente, Qui signale que bientôt L'orgasme va se jouer
Dans les autres fentes De leur torride Jane Où les deux amis se sustentent Leurs vigoureuses veines !
Tandis que Cyr de son visage Entre mes seins en sueur nage
Tout en remuant sa verge douce Dans ma vulve chaude mousse
Et que Marc s'escrime entre mes fesses offertes
De leur diva libertine en état d'alerte, Celle-ci soudain explose de joie
Tous ses sens aux abois, Hurlant à tout vent son plaisir d'enfin par ces pines ô jouir !
Secouée de spasmes incontrôlables Epuisant mon désir insatiable
Je m'écroule alors au sol Affalée, béante, offerte,
Seins déployés, cuisses grandes ouvertes
Entre les deux hommes qui s'affolent Bites en poupe et luisantes, A l'air libre toutes tremblantes.
Se saisissant de leurs pieux solitaires Les voilà qui se branlent avec ferveur
Et jouissent ensemble, compagnons solidaires, Sur mon corp où brille déjà la sueur !
Une cascade de foutre s'abat sur ma peau zébrant mes cuisses, ma bouche, mon ventre, mes seins...
Je me tords de jouissance à nouveau M'offrant sans retenue à cet étrange et torride bain.
C'était bien la peine de s'être sêchés...
Après l'orage du dehors Est venu celui des corps
Tout encore serait-il à recommencer ?
Sûr que Moi qui aime trop ces bites bien dures
Fera tout pour que ces corps à corps encore durent