Retirant de sa bouche gourmande mon dard presque fumant,
Au-dessus d'elle je me redresse.
Je saisis alors avec adresse mon pieu frémissant de plaisir
Je l'agite avec entrain, pour le faire jouir !
Dirigeant mes giclées sur les seins de la brune,
gorge tendue bien haute Ah ! Mes lubriques femelles !
J'aime vous voir me sucer si sereines
Quand ma trique se vide de toutes ses veines
Sur vos corps souples de reines.
Et quand la source se tarit enfin, toutes les bonnes choses ayant une fin,
Nos trois dépouilles s'allongent repues, corps alanguis, encore chauds et nus,
Dans les draps tourmentés de nos précédents assauts
Accueillant maintenant : notre mérité repos…