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mardi 16 décembre 2025 - 05h43rech / rep
cnl-allong413-074555

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(taille reelle)
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Elle avait décidé de s'offrir";"C'était le début de matinée,le ciel etait bleu l'air déja chaud.
A peine montée dans la voiture, elle posa sa main sur ma cuisse
elle avait un regard enjoué, une robe légère,
qui lui arrivait au dessus du genou, et qui flottait dans le vent
Je sentais à travers le tissu , la douceur et la chaleur de sa peau de jeune fille.
Petit à petit , ma main s'est glissé sous la robe.
Sa peau etait chaude, un peu moite
Je la carressais avec douceur, elle semblait aimer.
Ses reins se creusaient,
elle avait les yeux fermés, la bouche légèrement entre-ouverte,
elle posa, une de ses main sur la mienne, et me guida vers des endroits plus intimes
je repris mes carresses par des mouvement legers, puis de plus en plus precis.
Elle ecarta encore ses jambes, avançant doucement son bassin,
elle s'offrait à moi,
mon doigt s'enfonca naturellement
Juste un doigt, titillant, glissant, tournoyant en elle
et son bassin, comme le reflet de mes carresses, s'agita.
Sa tete en arriere, m'offrait une gorge tendue,
nos mains semblaient avoir trouver un rythme commun,
Ses cuisses se serraient, pour mieux s'ecarter dans l'instant suivant,
s'offrant sans detour à mes carresses, oubliant le lieu, la promiscuité,
excitée sans aucun doute, par ce plaisir qui montait en elle
Elle exprima sa jouissance dans un râle long.
Elle s'agrippa à moi, serrant les cuisses sur mes doigts,

nous sommes arrivés chez moi,
Je l'ai emmené dans ma chambre, j'ai mis un peu de musique, ouvert les volets.
Elle s'était assise sur le lit, son regard etait une invitation à lui tout seul,
les jambes croisées, légèrement en arrière elle s'appuyait sur ses mains.
Elle remarqua mon regard qui remontait, le long de ses jambes,
elle les ouvrit doucement, sa toison etait dans la lumière, claire, presque blonde.

Je m'approchais d'elle doucement , m'agenouillais devant elle , au pied du lit.
j'otai ses chaussures, ils etaient si petit, si tendres.
je remontais doucement le long de ses mollets, soulevant sa jambe.
Elle se laissa glisser sur le lit, j'embrassais ses jambes , y deposais mes levres gourmandes, les lechais.

Bientôt je la rejoignis dans le lit, nos deux corps l'un contre l'autre,
j'embrassais sa bouche, ses levres qui tout à l'heure m'avaient tant manquées.

je decouvris un sein, il etait encore dur ,
je commençais par embrasser le tour de son sein.
je dessinais doucement le contour de son sein,
passais doucement sur le dessus, puis le coté exterieur.
ma langue frolait à peine sa peau seule,la salive qui j'y deposais doucement etait notre lien, je tournais autour de son teton doucement , puis relevant un peu la tete, j'emis un souffle leger, un frisson la parcoura, hummm j'adore tant cela !

J'avais ouvert et descendu son corsage, jusqu'à son ventre,
ses seins pointaient devant moi,
J'embrassais son ventre jouais, de la langue, avec son nombril, deposais pareille au sein, ma salive , engendrais le frisson sous la bise de ma bouche, elle se tentait tendrement.Le bas de ses cotes etait bien dessiné et lors d'un sursaut, j'entrepris de le mordiller, d'y deposer ma bouche, faire glisser legèrement , ma morsure sur elle. Elle se laissa entrainé, ses petits gemissements, presque inaudible s'interrompir.

L. : fais moi l'amour !
Me dit elle d'une voix sensuelle et lointaine.

Je glissais sa robe , le long de ses jambes, elle etait nue contre moi,
ce n'etait pas la première fois que je la voyais ainsi mais j'aimais son corps,
elle etait vraiment tres belle, fine, douce, si fragile d'apparence.
J'embrassais son corps, avec envie et delactation.

Je posais mes levres sur son sexe, passais la langue sous les levres fines , legèrement gonflées de plaisir et d'envie. Les mordillais, tendrement, doucement, sensible aux reactions que je faisais naitre en elle.

Ma langue jouais, mes mains parcouraient son corps carressant ses flancs, un sein, le contour de ses hanches, remontant le long de ses jambes , dans son entre-cuisse:

Ma bouche aspirant tout son sexe, la langue attaché a son clitoris je la lechais , variant les vitesses, la pression, aspirant \"suçautant\", mordillant, le faisant rouler sous mes dents, pendant que ma langue le caresse.Tous mes sens en eveils, pour mieux la ressentir, trouver la faille, jouer avec elle. mon index, en elle carressait, ce petit cercle un peu rugueux à l'interieur de son vagin,

je la sentais se retenir, se contenir,
la pression se faisant de plus en plus forte, oprressante.
elle venait je le sentais,
elle agrippa ma tete se contractant d'un coup tandis que ça gorge lachait un rale long, suivie d'un relachant salvateur et d'autres contractions alletantes.

Je remontais vers sa bouche et l'embrassait, nos relations s'arretaient là habituellement, dans un echange de caresses et de douceurs.

L: Viens , viennnns ... , son souflle et sa respiration etait courte, presque inaudible, l'avait elle dit vraiment ? je l'embrassais tendrement en lui carressant les seins.
Moi : Tu es sur ? tu en as vraiment envie ?
L. : Oui
L. : il faut que je te dise quelquechose ....
Une larme coula sur sa joue , telle la rosée du matin, perlant sur une fleur,
je la recuperait dans un baiser.

je me plaçais au dessus d'elle, et elle me guida.
Je sentis sous mon gland s'ouvrir ses levres humides,
j'avais pris une de ses mains, nos doigts entrelacés et à chaque pression
je suis entré doucement en elle,
son vagin etait doux et chaud,
je continuais ma lente penetration,
et c'est son corps tout entier qui peu à peu s'est offert,
telle une fleur au matin de sa premiere floraison.
son souffle etait lent , aussi lent que la penetration,
plus je penetrais en elle plus il etait long et profond.
j'atteignis rapidement le fond
je restait un moment en elle sans bouger , toujours en exerçant une legere pression,
elle avait les yeux fermés, le corp offert, la bouche ouverte,
toute entiere concentrée sur la douce penetration et les sensations qu'elle engendrait.
Je l'embrassais , passant ma main dans ses cheveux, carressant son visage.

Doucement j'amorcai un va et vient,
elle avait les yeux grand ouvert, elle se mordillait les levres,
doucement le rythme s'accelera,
elle etait maintenant totalement offerte, si chaude, si douce à l'interieur,
je ne quittais son regard, il etait si intense,
je sentais le plaisir, l'envie de m'abandonner ,
mais il ne fallait pas , pas maintenant, pas encore,
je devais tenir , profiter encore un peu, quelques minutes .

Son souffle devint court , plus saccadé,
elle se mordait les levres, recherchait ma bouche,
serrait mes doigts d'une main et avait agrippé mon epaule de l'autre,
les traits de son visage etaient tirés, les yeux fermes,
mes va-et-vient etaient devenus vigoureux,
j'accellerai le rythme,
nos regards, nos doigts entrelacés,
nos sexe unis dans un meme elan, un même desir,
cette envie folle qui nous etreignais,
elle redressa la tete,dans un rale profond, la bouche ouverte
et mordit dans la chair de mon epaule,
je n'en pouvais plus ,
encore un assaut,
tenir encore un peu,
un autre,
encore un
oui,
et enfin .... la liberation
dans un gemissement incontrolé et liberateur,
mon sexe vibrant en elle, ne cessant ses contractions,
se liberant enfin.

je l'embrassais encore et encore
restant en elle de longues minutes encore,
l'un sur l'autre, comme pour faire durer ce moment inoubliable,
j'aurais aime en cet instant, que pour nous deux, le temps s'arrete !